//Hakuouki fanfiction//
その作成者の前でさえ、獣は慈悲を知りません。
❝𝘔ê𝘮𝘦 𝘥𝘢𝘷𝘢𝘯𝘵 𝘴𝘰𝘯 𝘤𝘳é𝘢𝘵𝘦𝘶𝘳, 𝘭𝘢 𝘣ê𝘵𝘦 𝘯𝘦 𝘤𝘰𝘯𝘯𝘢𝘪𝘵 𝘢𝘶𝘤𝘶𝘯𝘦 𝘱𝘪𝘵𝘪é❞
On l'a battue, torturée, tué ses parents et privé de toute innocence... Mais ça n'a fait qu'agrandi...
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- T-tu es une fille ?
- Ça te choque tant que ça ? Je demande en vidant la bassine.
- Mais pourquoi tu ne nous l'a pas dit ?
- Vous ne m'avez simplement pas demandé. Je répondis calmement
Il m'a prit soudainement par les mais et m'a conduit, non, TRAINÉ jusqu'à la salle de repas. Il ouvrit alors le shoji dans un grand fracas.
- Heisuke je suis déso-
- Juuzou est une fille !
Il n'y eut plus aucun bruit.
- Heinnnn ? S'exclament Shinpashi, Harada et Chizuru, ensemble.
- Il faut dire que je m'en doutait un peu. Elle a des traits féminins. Souris Souji.
- T'aurais pas pu le dire plus tôt ? Râle Shinpashi.
- Dire que le même scénario s'est produit en seulement une semaine... Soupire Harada.
- Je peux retourner manger ? Je demande calmement.
- Non ! Cria Heisuke, Harada, et Shinpashi.
- Pff... Vous êtes pas gentils. J'avais soupiré bruyamment en croisant les bras tel un enfant de 4 ans.
Ils semblaient tous étonnés par ma réaction. Je m'assis alors en les ignorant puis je continue à manger.
Souji, qui était à côté de moi le pris soudainement les deux joues, puis il commence à me les tirer.
- Okita-san ! Ça fait mal ! Me plaignais-je.
- Ça t'apprendra à nous cacher ton identité, gamine ! Alors c'est Juuzou-kun, ou juuzou-chan ? Sourie-t-il en continuant.
- En fait Heisuke... Je voulais m'excuser pour tout à l'heure... Bégueilla Harada en baissant la tête.
- C'est à moi de m'excuser, je suis parti trop loin... S'excusa à son tour Heisuke.
- Okita-san ! Avais-je crié en pinçant les joues de ce dernier
Tout les regards se tournèrent vers nous, y compris celui de Saito-san.
- Ah ! Lâche moi ! Couine t-il.
- Lâchez moi d'abord !
- Non, toi lâche moi !
- À trois, on se lâche tout les deux. Un... Deux... Trois ! Dis-je en lâchant les joues de Okita-san.
Il n'a pas lâché les miennes... Abruti...
- Hi hi hi, je t'ai bien eu !
À la fin, tout le monde avait fini par rire. Quand à moi... Bah je boudais dans mon coin en caressant mes joues rosies, j'étais néanmoins contente. À la fin, on débarrassa avec Chizuru puis on lava les couverts.
- Ah Juuzou-kun, Inoue-san m'a dit de vous prévenir que je docteur Matsumoto arrivera demain pour t'examiner, comme tu semblais blessée. M'informe Chizuru en continuant de rincer la vaissaile.
Ils le connaissent ? Impossible... Je ne l'avais plus revu depuis l'incident d'il y a six ans.
- D'accord.
Le docteur Matsumoto avait de nombreuses fois remplacé Yukimura-san -qui était notre médecin de famille- quand il n'était pas là. Il connaissait notre secret et me traitait comme sa fille. On était néanmoins plus proche du docteur Yukimura.
On continue alors à sécher les couverts en silence. Une fois terminé, je salue Chizuru, puis vais le coucher. Je me change, lâche mes cheveux puis enlève le bandage de mon oeil gauche.
- Je suis fatiguée mais je n'arrive pas à dormir... Soupirai-je.
Je me force alors à dormir.
~Rêve~
J'ouvre mes yeux en me retournant dans une sorte de forêt, on entendait les oiseaux chantent et l'eau d'une source ruisseler.
- Où suis-je tombée encore ? Marmonai-je à moi même.
- Yano.
Je me paralysa, personne ne m'a appelé comme ça depuis des lustres. Je me retourner lentement pour faire à une personne
- Maître... ? Je marche doucement en se direction.
- Mon enfant.
- Vous m'avez terriblement manqué ! Je vous croyais mort ce jour là avec mon père et-
- Je suis bien mort Yano. Je suis ici sous ma forme spirituelle.
- Mai-
- Ne t'inquiète pas, tout va bien. Je suis venu te montrer quelque chose. Tu veux bien me prêter ta flûte ? Me demande-t-il en me tendant sa main.
- Bien-sûr. Je dis en la lui donnant.
- Cette flûte donné par ton père n'est pas simplement pour jouer de la musique, c'est aussi une arme.
Je me disais aussi que c'était pas pour faire mumuse...
- Comment ça ? Le questionnais-je, confuse.
- Il y'a ce qu'on appelle, les instruments de la mort. Ce sont diverses mélodies qui tuent à petit feu l'ennemi choisi, c'est simple et pratique. Tu connais déjà l'une de ces mélodies.
- Oui ! C'est papa qui me l'a montrée ! Mais pourquoi n'a t-elle aucun effet sur moi...
- Nous sommes les créateurs de ces partitions, ainsi que de ces instruments. Ils sous sont donc inoffensifs. Explique le maître.
- Je comprends.
- Je dois partir mon enfant. Nous nous reverrons sûrement dans quelques années... D'ici là, prends soin de ta vie.
~Fin du rêve~
- Maître ! Avais-je crié en me relevant de mon futon. J'étais en train de respirer bruyamment en tenant mon coeur. C'était quoi ça ?
Je vis alors ma flûte, qui été posée à côté de moi puis la pris dans mes mains.
Je voulais retourner me coucher mais je n'y parvenais pas.
Il y a quelque chose dehors.
Je sorti alors doucement du futon, puis sorti. J'avais commencé à déambuler. Je sentait qu'il y avait des présences exceptés celles du Shinsegumi. C'était des espions.
Je saute alors sur le toit pour agrandir mon champ de vision. C'est là que je les vis, ils étaient environ une dizaine. Je me téléporte alors en face d'eux.
