//Hakuouki fanfiction//
その作成者の前でさえ、獣は慈悲を知りません。
❝𝘔ê𝘮𝘦 𝘥𝘢𝘷𝘢𝘯𝘵 𝘴𝘰𝘯 𝘤𝘳é𝘢𝘵𝘦𝘶𝘳, 𝘭𝘢 𝘣ê𝘵𝘦 𝘯𝘦 𝘤𝘰𝘯𝘯𝘢𝘪𝘵 𝘢𝘶𝘤𝘶𝘯𝘦 𝘱𝘪𝘵𝘪é❞
On l'a battue, torturée, tué ses parents et privé de toute innocence... Mais ça n'a fait qu'agrandi...
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PDV externe :
Une fois que les deux filles aient quitté le shoji, une atmosphère pesante envahi la pièce.
- C'est intéressant... Je ne savais pas qu'elle connaissait la médecine occidentale. Murmura le secrétaire du Shinsegumi. Cela pourra nous servir à l'avenir.
- Je trouve ça quand même suspect, à son âge connaître tant de choses... Questionna Harada.
- C'est qu'elle est très brillante comme enfant ! Ria de bon coeur le commandant, avec une pointe d'inquiétude dans sa voix.
- Kondo-san ! Peux importe comment elle est intelligente, ça dépasse les bornes ! S'écria Heisuke. Les jeunes filles de son âge ne pourraient même pas tenir un sabre et encore moins s'en servir.
- Eh bien, nous devons alors nous estimer heureux d'avoir un tel soldat dans nos troupes. Affirme Kondo.
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PDV Juuzou :
Après avoir fini de vérifier les blessures des patients, je retire mon tablier puis m'assois sur une marche à l'entrée du shoji en posant ma tête sur la poutre.
- *Soupir* Je veux dormir...
- Juuzou ! Tu m'accompagnera tout à l'heure en patrouille. S'écria la voix de Shinpashi.
- D'accord... Je répondis en commançant à somnoler.
Je sentis quelqu'un à côté de moi.
- Hé Juuzou ? Tu dors ? Demanda l'homme à mes côtés.
- Oui...
- Ey... Tu dois être vraiment fatiguée. Repose toi en attendant l'heure de la patrouille. Tu as bien travaillé ! Me félicite-t-il en ébouriffant mes cheveux.
Après son départ, je ferme les yeux puis tombe dans les bras de Morphée.
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- Hé Juuzou ! Juuzou ! J'entendis quelqu'un crier mon nom en me secouant.
- Non... Je suis fatiguée...
- Allez réveille toi. C'est l'heure de la patrouille. Déclara Shinpashi-san d'une voix plus douce.
Je soupira fortement puis me releva pour ensuite commencer à frotter mes yeux.
- Je ne veux pas y aller... Je me plains pour la énième fois.
- Oui mais c'est obligatoire. Bon, monte sur mon dos.
Je m'exécute en baillant puis ferme les yeux mais cette fois, sans dormir.
