Ma vie, mon histoire!

Chapitre 6

Sasuke ne tarda pas à rentrer. Sur le seuil de la porte, il me salua sans que je ne répondisse. Il comprit que quelque chose n'allait pas. Il n'insista donc pas.
Peu après, avide d'explications, je le rejoignis dans la chambre loin de l'attention des gosses puis fermai la porte à double tour. À ma série de questions relatives à ses aventures extra-conjugales en m'appuyer sur ses différents courriers électroniques, il répondit tout imbu de lui même et de façon laconique:

Tu es vraiment trop jalouse!

Il ne s'agit pas d'une crise de jalousie, lui rétorquai je hors de moi à nouveau. Ce dont il est question ici, c'est du respect de ton corps et par ricochet du mien. Comment peux tu faire ça avec toutes ces écervlées?

Le ton monta d'un cran lorsqu'il fit preuve d'une arrogance intolérable:

Je ne te permet pas de les insulter. Ce son des femmes comme toi et certaines te sont supérieures en titre, en garde et en fonction. Tu conprends?

Je me crus en plein cauchemar. Quel monstre cet homme! Au lieu de faire son mea-culpa et me présenter au besoin des excuses, Monsieur semblait se vanter de ses dérivés abominable. Bléssée dans mon amour propre, je ne pus me contrôler plus longtemps et me jetant sur lui en sanglots, je me mis à hurler« dégueulasse, salaud, ordure!». Mes nerfs étaient encore vif. Les enfants qui m'avaient entendue ainsi crier accoururent. En pleure aussi, ils cognait tellement à la porte, que je finis par leur ouvrir. Mes pauvres choux! Ils ne m'avaient jamais vu ni en larmes ni en rage. Aussitôt, les gamins se jettèrent dans mes bras et nous tegagnâmes leur chambre tout ébranlés par cette horrible scène de ménage.

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Après cet incident, je décidai de faire chambre à part et demandai à rencontrer mon témoin de mariage pour lui faire part de mes déboires. Je voulais tout juste qu'elle prodiguât des conseils à mon époux. C'était une dame d'une soixante aire d'année qui avait une bonne expérience de la vie conjugale. Elle fut tout yeux tout oreille.

Sakura, tu n'as pas de preuve irréfutable que ton mari a commis un adultère. Vos histoires sur Internet ne peuvent convaincre personne. Et puis, vous êtes un jeune couple, ne surveille pas ton mari,ne rouille pas non plus dans ses affaires. C'est la clé de la réussite d'une vie à deux. Chacun y vient avec ses qualités mais aussi avec ses défauts. Un conseil: si tu veux la paix dans ton foyer et une bonne éducation des enfants, laisses faire, cela ne signifirait pas que tu es une idiote. Pas du tout! Seulement, fais semblant de ne rien voir ni entendre. Tu sais Sakura, les hommes sont comme des enfants, ils savent courir mais ne savent pas se cacher. Demain je lui parlerai, il n'a pas le droit de t'affliger ainsi.

Pendant qu'elle passait ses douces mains sur mes cheveux, elle conclut:

Sakura, comme tu es belle! Ne te laisses pas vieillir par les chagrins. Écoute, tu es encore toute ravissante!

À la fin, mon témoin de mariage réussit, par je ne sais quel tour de magie, à nous réconcilier. J'en avait quand même gros sur le cœur mais, sans toutefois oublier les faits j'acceptai de réconsidérer ma position et regagner notre chambre.

Pendant les premiers jours, mon mari se montra attentionné et disponible. Il m'offrir même un cabriolet neuf avec, à ma disposition, un chauffeur qui me déposait au travail et venait me chercher plus tard. Les weekends, nous partions en villégiature avec les enfants. J'eus droit, pendant quelques semaines, à une vie de couple épanouie comme j'en rêvais.

Puis un beau matin, ma vie s'effondra de nouveau tel un château de cartes. En effet, Sasuke fut accusé de pédophilie. Il appartenait à un vaste réseau d'adulte qui abusaient des petits garçons dans la ville et fesaient des échanges. Quelle horreur! Je faillis entrer sous terre. C'était la grande honte! D'abord pour moi même, ensuite pour mes enfants. Comme un éclair, le mot «suicide» traversa mon esprit, mais je me ressaisis du premier coup en regardant attentivement mes enfants. Ils étaient si naïfs, si innocents !

Mon marié fut jugé et condamné à six ans de prison ferme. C'était donc lors de ma dernière participation à un examen de l'enseignement secondaire, en attendant mon intégration au cycle supérieur, que j'avais rencontré Naruto. Je venais de lui raconter la vie et surtout celle de la mère dans les moindres détails, comme à un vieil ami. Je lui alors des excuses. En fait, j'avais eu besoin de vider et il m'en avait donner l'occasion. En homme expérimenté, il comprit ma gène et me tranquillisa par des tapes amicales sur mon épaule gauche.

Aussi, me réconforta t'il d'avantage :

Tu as beaucoup souffert, mais évites de regarder chaque fois  dans le retroviseur. À ton âge, tu as encore plus à gagner qu'à perdre. Tu as la chance d'avoir de superbes enfants, un boulot et surtout une beauté à en faire trembler plus d'un et assurément à faire exploser un gouvernement de putschistes dans n'importe quel pays de monde. Gardes espoir en des lendemains meilleurs car la vie est belle, et te concernant, elle n'a pas encore dit son dernier mot.

À cet instant là, n'était sûr d'être toute rouge, ce qu'il m'avait dit là c'était exactement ce que j'avais besoin d'entendre, que tout irait bien dès à présent. Naruto était un homme cultivé, ouvert et tolérant. En plus, il avait le bon don de mêler humour et sujets préoccupants dans ses conversations sans ennuyer ses interlocuteur. Il n'en fallait pas longtemps pour moi de tomber sous son charme. Je me plaisais en sa compagnie. Il était veuf avec seulement une fillette de sept ans. Toutefois, je le voyait venir avec sa constante disponibilité et ses prévenances avec propos. Fallait il attendre mon mari pendant dix ans car il l'était toujours, même en prison, ou demander le divorcé?

Cette question fondamentale trottait dans ma tête lorsqu'un soir je reçue sur mon téléphone un message libellé comme suit:

«Tu hantés mes nuits et éclairés mes journées. Comme la terre et la mer contiennent des trésors inouïs, mon cœur regorge d'une importante réserve d'or pour toi. Cette richesse je veux la partager ce weekend avec toi dans un endroit féerique. Accepterait tu de m'accompagner dans la belle cité balnéaire de « la baie des milliardaires ?» on pourrait y aller avec les enfants.

Je t'aime.

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Au bout du compte, je me laissai guider par mes émotions car je n'arrivais pas à pardonner à mon époux cette trahison humiliante, et le divorcé avait êté approuvé.

Six mois plus tard, Naruto me demanda en mariage. Je n'attendais que ça!
Mes nouveaux beaux parents l'apprécient véritablement et l'atmosphère dans mon foyer était si merveilleuse que je ne tardait pas devenir mère à nouveau. Cette fois, c'était une fille dont les cheveux était rose comme les miens, de magnifique iris bleus comme son père. Au bout du compte, j'ai peu être ma place dans ce monde finalement!

THE END!