chapitre 3

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Cela faisait une semaine qu'elles avaient quitter la ville, ma mère était revenu dans sa ville natale, Konoha. Elle vivait avec sa tante Chion.
Chinon était veuve depuis cinq ans. C'était une femme belle, battante, elle avait réussit à s'occuper correctement de ses enfants. Malgré ses difficultés financières, ses enfants ne manquaient de nourriture et étaient normalement scolarisé. Elle avait eu trois enfants: le premier était médécin et le deuxième magistrate. Seul le dernier, bâti à chaux et â sable, lui avait créé maints ennuis pendant son cursus scolaire, mais avait finalement réussi dans le sport. Il fesait partie de l'équipe nationale de basket-ball.

Ses enfants lui avaient proposé de déménager dans un quartier moin bruyant et plus accéssible mais elle avait toujours refusé.

«une grande partie de ma vie ce trouve dans cette maison, c'est ici que vous avez vu le jour et grandi. J'ai des repaires dans ce quartier, donc je peux pas m'en aller» leur avait elle rétorqué. La magistrate avait beau chercher à convaincre sa mère mais rien n'y fit. Tout bien considéré, les enfants se résolurent à ne pas la contrarier.

La mère de Mégumi prit congé de son hôte trois jours plus tard. Mais bien avant, elle avait espliqué à sa cadette les raisons de sa visite inopinée. Elle souhaitait ardemment que sa fille restât dans cette ville auprès de sa tante. Son objectif était non seulement de l'éloigner de Monsieur Haruno mais aussi qu'elle bénéficiât d'une attention particulière à cause de sa grossesse et de son avenir. Chion n'y trouvait pas d'abjection. Bien au contraire, c'était avec beaucoup de joie qu'elle accueillait sa nièce. Ses enfants avaient tous quitté la maison familiale pour se mettre en couple.

Aussi, pour ne pas rester toute seule et vivre en ermite, s'était-elle accommodé de la présence à ses côtés de jumeaux orphelins, Takumi et Ima. Elle les les avait recueillis après le décès de leur géniteurs.

Les jumeaux étaient totalement pris en charge par Chion. Élève,il avaient un parcours différent. Ci Ima s'illustrant par de bon résultats scolaires, ce n'était pas le cas pour son frère qui avait de la peine à suivre les cours. Il avait prit du retard sur sa sœur. Pendant que cette dernière était en second, lui attendait encore les classes du premier cycle. Élève médiocre avec une vraie tête de mule, il était un des principaux animateurs de la puissante organisation syndicale de l'école et avait déjà manqué de se faire renvoyer définitivement pour insuffisance de résultat, insubordination et trouble à l'ordre du collège.

Chion veillait constamment sur sa nièce. Elle lui concoctant de bon petit plats comme les aimaient si bien les femmes enceintes. Tout ce déroulait à merveille pour Mégumi. Sa tante était proche d'elle et l'entourait d'affection maternelle. Elle était ouverte et lui posait des questions sur sa vie sexuelle. Elle lui conseillait d'utiliser des préservatifs avant tout rapport intime avec un homme.

Cette ma mère était heureuse chez sa tante mais un fait horrifiant faillit emprisonner son existence. En effet, une nuit, en plein sommeil, dans une obscurité totale, alors que sa tante était à une veillée, elle sentit des mains lui enlever ses dessous. Elle se réveilla en sursaut et t'intéresse solidement le bras qui tentait de la violer. Elle cria, cria encore et encore. Ce dernier ne ménageait pas ses éfforts et tentait de l'étouffer en lui fermant la bouche de ses puissantes mains. S'engagea dans une lutte farouche. Ne pouvant résister plus longtemps, ses forces l'abanbonnèrent devant la vigueur, l'endurance et la détermination du criminel sexuel
Ses dessous partirent en lambeaux sous une hargne destructrice. Sentant sa proie à sa merci, le robuste gangster était sur le point d'abuser d'elle tranquillement. Tout à coup quelqu'un toucha l'intérieur, ce qui le freina net.

Qui cela pouvait il être? On attendit pas plus longtemps que la lumière fut établit. Au même instant, Ima, depuis la porte, vit un homme en érection qui s'apprêtait à passer à l'acte. Légumineuses suffoquait et n'arrivait pas à se dégager de l'emprise de son agresseur. Fallait il la secourir immédiatement au risque de se faire aussi dompter par fauve ou appeler à l'aide? En un clin d'œil, elle le dévisagea. C'était son frère jumeau.

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