10 - Désir ou envie ? ✅

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● Marc Drew Miller ●

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● Marc Drew Miller ●

Deux semaines plus tard.

Étant dans ma chambre, assis sur mon bureau, à me prendre la tête avec mes devoirs de droit pour la fac, j'entends sonner à la porte. Je laisse tomber ma plume pour aller ouvrir. J'aperçois sur le seuil de la porte, ma tendre aimée, Florence. Mon cœur s'arrête de battre tant je suis supris par sa beauté.

-Salut mon cœur! Ça va?, me demande-t-elle.

-Oui et toi ?

-Super

-Viens, rentre.

J'attrape sa main et l'emmène dans la cuisine en lui proposant à manger, elle décline en me disant qu'elle a déjà mangé. Je lui propose donc d'aller dans la chambre.

En entrant dans la chambre, elle aperçoit mes cahiers éparpillés sur le bureau et me demande ce que je faisais.

-Certains devoirs, je suis exténué!

Entre temps, elle s'est déchaussée et s'est installée au milieu du lit en me regardant d'un air farouche. Alors, je m'allonge à côté d'elle. On discute pendant plusieurs minutes de tout et de rien.

Dans un élan, je passe ma main autour de son cou amenant sa tête à mon niveau. Je m'empare de ses lèvres et l'embrasse avec fougue. En quelques secondes, je me relève, me mets au dessus d'elle et la fais basculer sur le lit tout en me mettant entre ses jambes.

Je glisse ma langue le long de son cou, la descend doucement au milieu de ses seins tout en caressant sa jambe de ma main droite. Ma main se glisse dans son pantalon et commence à caresser son clitoris pendant que ma langue livre un combat à l'un de ses tétons.

Elle se cambre suite à une petite morsure dont j'efface toute trace de petits coups de langue. Je glisse mes doigts dans son vagin et commence de petits va-et-vient accueillis par des gémissements de madame.

Satisfait, j'accelère le mouvement. En me délectant de ses soupires, je me lève, glisse ma tête entre ses jambes, arrache sa culotte avec mes dents et plonge ma langue dans son antre et là, elle hoquette.

Encouragé par un mouvement de reins, j'alterne entre pénétrer sa chatte de ma langue et sucer son clitoris comme si ma vie en dépendait, tout en continuant à la doigter d'un rythme violent.

D'un coup, ses mains, qui tenaient les draps, se posent sur ma tête, me tirent les cheveux et exercent aussi une telle pression sur ma tête que j'ai l'impression qu'elle voudrait que je lui bouffe la chatte, ce dont je ne me prive pas en enlevant mes doigts.

Agrippant ses jambes de mes mains et en la tirant à moi en me frottant à sa chatte.

De façon aléatoire, je donne coups de langue, j'y vais de haut en bas, je fourre ma langue, je suce et j'aspire. Pour la taquiner, de temps en temps, je m'arrête quand elle crie mon nom et à ces moments là, elle remet ma tête là où elle devait être, effaçant mes sourires en coins.

Je ne l'aurais pas cru capable d'une telle autorité au lit et sans que je m'y attende, je me reçois du jus de femme en pleine gueule. Je remonte à son niveau pour la regarder, pour regarder ce visage empreint de jouissance. Elle me sourit, incapable d'articuler le moindre mot. C'est la première fois que j'ai autant pris plaisir à faire un cunnilingus.

Je l'embrasse et pose ma tête sur ses seins qui, je découvre, sont parsemés de suçons et c'est pas que ses seins d'ailleurs. Elle me caresse la tête. Drôle de contraste avec sa poigne de toute à l'heure. On resta comme ça quelques bonnes minutes sans parler avant qu'elle décide de mettre un film. Pendant qu'on le regarde, elle m'annonce qu'elle a un congé d'une semaine et je saisis l'occasion pour l'inviter à la foire de la ville ce qu'elle accepte sans hésiter.

Au loin de moi tu es Où les histoires vivent. Découvrez maintenant