Florence Elena Woods, jeune stagiaire dans Le McCall Enterprise. Indépendante, fougeuse et souriante. Du haut de ses vingt ans, elle à tout pour plaire à un homme.
Marc vient d'entamer son troisième année en science juridique. Tourmenté par son ex...
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● Marc Drew Miller ●
Un dilemme, c'est être partagé entre deux décisions sans savoir pour autant laquelle est le bon choix ou le mauvais choix.
J'ai toujours été très sûr de moi, je prends mes décisions en un claquement de doigts sans pour autant les regretter après. Mais à l'instant où elle a posé ses lèvres sur les miennes, le temps s'est comme figé.
Répondre à son baiser ?
Non !
Je ne peux pas faire confiance aussi vite et devenir encore un pantin avec lequel une femme peut jouer. Je ne veux pas que mes blessures s'ouvrent encore sur de nouvelles d'autant plus que j'étais toujours marquée par Clara.
Mes blessures d'amour sont à peine fermées. Mais contre tout attente, j'ai répondu à son baiser, mais mon subconscient m'a stoppé.
J'apprécie certes Florence, mais était-ce assez suffisant pour me laisser emporter par les belles promesses que l'amour ne peut pas encore tenir ?
J'apprécie certes Florence, mais était-ce assez suffisant pour me laisser emporter par les belles promesses que l'amour ne peut pas encore tenir ?
Je me suis doucement écarté d'elle rompant ainsi le contact de nos lèvres. Je suis resté là, à la regarder, elle était belle, assez timide, et en ce moment elle était rouge, tellement mignonne, je n'avais pas encore remarqué sa beauté soudaine, Diable ! Non, je dois avoir toute ma tête, ne te perds pas dans sa beauté.
-Hey, chuchoté-je en voyant sa mine surprise. Je ne sais pas ce qui m'a prit de t'embrasser comme ça, désolée.
-Mais qu'est-ce que tu dis ? Ah, je vois, tu n'as pas aimé, je comprends, lâche t-elle un peu déçu.
-Non, ce n'est pas ça, je dis.
-Je ne voulais pas t'offenser mai-.
Son téléphone sonna d'un coup me coupant dans ma phrase. Sans rien dire, elle a raccroché.
-Écoute, elle commence doucement, reste loin de moi Marc.
-Mais qu'est-ce que tu dis ?
-Je dois m'en aller, j'ai du travail.
Je suis resté là sans dire aucun mot ne voulait sortir de ma bouche ou peut-être que c'était moi qui ne voulais rien dire. Je l'ai regardé ramasser ses affaires, puis partir vers la porte.
J'étais figé et le seul mot que j'ai réussi a dire tout bas était son nom.
- Ne pars pas, Florence.
Tard, dans la nuit, réfléchissant à ce qui venait de se passer, j'étais meurtri par le regret. Je ne voulais pas la rejeter.
Était-elle la bonne ? La dernière ? Ma moitié ?
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