08 - Envieux ou dégouté ✅

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Regret, un mot si banal mais pourtant rempli de définition

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Regret, un mot si banal mais pourtant rempli de définition.

Ne dit-on pas que la vie est pleine de surprise? Ne dit-on pas que parfois les choses qu'on ne peut pas changer finit par nous changer? Florence est arrivé subitement dans ma vie. Elle a tout chambouler me laissant même pas le temps de me préparer.

Florence n'est pas belle. Elle est pire. Elle possède une beauté à en couper souffle et à en faire damner n'importe quel saint. Elle m'a embrassé sans me laisser le temps de me préparer et elle à tout gâcher encore une fois. Je ne crois pas que je réalise ce que je viens de faire. Je ne crois pas que je comprends que je viens de la briser. Je ne crois pas que je puisse me comprendre tout court, c'est dommage parce que maintenant c'est trop tard.

Je crois que c'est le déstin qui nous ai rapproché, le jour ou je l'ai vu. J'ai eu l'impréssion que tout était traçé. C'était juste Marc et Florence, deux êtres brisés aux coeurs meurtris.

Assis sur le lit dans ma chambre, je regarde les étoiles à travers la fenêtre. Les larmes veulent couler aux abois sur ma joue mais je les retiens du mieux que je peux. Pourquoi j'ai repoussé Florence si je l'aime? Pourquoi je me sens tout patraque à l'idée de ne plus la voir et que j'ai envie de pleurer?

Just en l'imaginant avec un autre mec ça me met hors de moi. Je pars dans la salle de bain et fouille les tiroirs de fond en comble et trouve finalement une brosse neuve. Il était temps! Je rentre dans le baignoire que je remplis avec de l'eau chaude après quelques minutes à somnoler tout en jouant avec la mousse. Je sors de la salle de bain avec une serviette autour de ma taille et une autre avec laquelle que je sèche mes cheveux, je fouille dans mes affaires et trouve finalement un jogging et un pull blanc.

Je sens pour la millième fois l'odeur de florence dans mes dras. Je sens son odeur féminin. C'est doux, paisisble. Je me donne mentalement une claque pour ce que je suis entrain de faire. Dans tout le cas c'est trop tard pour reculer, je fais le lit et regarde ce qui est écrit sur le pull en laine bleu qui est sur moi.<< Stay free , Stay positive >> je passe ma main dans mes cheveux en batailles et les arrange un peu. Je finis par m'endormir avec un coeur remplit de regret et de chagrin.

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Je la vois, elle est la devant souriant comme jamais

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Je la vois, elle est la devant souriant comme jamais. Les yeux plissés me fixe comme si je suis l'être le plus précieux de la terre. Elle s'approche doucement de moi, mon coeur s'accélère et je crois même que des minutes ont passées mais on continue à se fixer. Ses yeux sont plonger sur mes lèvres et je sais qu'elle à une folle envie de les embrasser. Voyant que cela l'interesse, je décide d'en jouer pour la faire céder. J'approche ma tête vers tienne ce qui fait un petit frottement entre nos nez la faisant sourire. J'enlève les mèches rebelles qui cachent jalousement le front de Florence.

Elle me sourit et attend mon approbation. Je laisse tomber ma tête dans son cou, mon nez frotte contre cette peau fine. J'hume son odeur comme un drogué. Il y'a cette tension entre nous mais je ne peux pas l'embrasser. J'en ai envie, tellement envie mais je peux pas.

Je sais qu'on devrait pas à cause de nos sentiments melangés mais pour vous dire je m'en branle complètement à cet instant. Elle laisse tomber sa tête contre mon front et je dépose des baiser contre sa machoire et descend jusqu'à cet endroit sensible : son cou. Alors qu'un gémissement sort de la bouche de Florence. un grognement sort de ma bouche lorsqu'elle enfonce ses doigts dans ma chair.

Elle pose ses lèvres contre mon cou et les mordille délicatement avant de la suçoter pour y laisser une jolie marque violette. Alors que j'allais parler elle me plaque plus fermement contre elle. Je la regarde interloquer, ou est passé la Florence timide? Un gémissement m'échappe, elle attire mon visage contre le sien et ses lèvres prennent possession de ma bouche de façon plus qu'imperieuse et je me maudis intérieurement quand un gémissement m'échappe.

Je passe ma main dans sa nuque et l'attire vers moi. je me tends en pensant que c'est notre premier baiser. je sens sa langue contre mes lèvres, elle les serre timidement, je met ma main sur ses fesses tout en les pressant. Elle laisse passer un hoquet de surprise elle en profite pour y glisser sa langue. On commence à s'embrasser timidement, puis férocement. Ma main sur mes fesses, sa bouche contre la mienne me rend d'un coup fou d'elle.

Je caresse doucement sa nuque chaude du bout de mon doigt. Ses yeux me fixent, elle me regarde timidement et me mords la lèvre inférieure, gênée. J'échange nos places d'un claquement de doigt, elle pousse un hoquet de surprise lorsqu'elle voit que je viens de m'installer entre ses jambes. Sa tête sur le dras, le vent dans nos cheveux, ma main droite sur sa jambe gauche. Je passe mon pouce sur son visage et embrasse Florence sur le bout du nez.

-T'es belle, chuchotai-je.

Elle me regarde gênée et elle me souffle un merci. Je la regarde tout en me mordant la lèvre alors que je passe ma main dans sa nuque et l'embrasse. Elle serre plus fort ma jambe, je gemis doucement. J'entre ouvre la bouche pour lui donner l'accès qu'elle convoite.

Je presse plus fermement l'une de mes jambes entre les siennes, oh mais putain! Dans quel galère je me suis foutu? Je la regarde, elle plaque doucement sa bouche contre la mienne pour la millième fois. Notre baiser est lent, timide, calme et chaud. Je me décolle d'elle et me lève d mon lit. Ma respiration est toujours couper tellement que je suis étoné par ce qui vient de se passer.

La réspiration de Florence est sifflante, elle rougit.

- Tu peux réspirer princesse, je dis tout en lançant un clin d'oeil à Florence mais lorsque je comprends ce qui viens de se passer je me met à paniquer et met ma main devant mon visage et dis:

- Putain!! Qu'est ce qui viens de se passer?

- On vient de s'embrasser, rien de grave, souffle t-elle doucement.

- Non non, dis-je en la fixant appeureux. Dégage de ma chambre!!

- Quoi!?

- Je t'ai dis de dégager, bordel!

Et c'est lorsque je vois les larmes coulés sur la joue rosie de Florence que je comprends que je viens de la bléssée. Lorsqu'elle met sa main sur le poigné de la porte pour l'ouvrir, j'écarquille les yeux et cris.

- Non, reste Florence!!

▪▪▪

Je me reveille brusquement et vois que je suis dans mon lit seul. Et c'est la que je comprends que j'ai perdu Florence depuis longtemps et que tout était qu'un rêve...

Un rêve qui semblait si réel...

Un rêve qui semblait si réel

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Au loin de moi tu es Où les histoires vivent. Découvrez maintenant