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Bonne lecture 📖

- Sheut Bachir couches-toi correctement, je te masse, xamngueu dagueu niak fayda naq (tu aimes trop faire le gamin). Dis-je à mon mari qui profiter de cette position pour mettre ses mains sous ma robe.

J'étais assise sur ses fesses et lui massait délicatement le dos.

- Hum, vas-y monte un tout petit peu, hum voilà oh mon dieu appuie un plus là-bas, voilà.

Je suis attentivement ses instructions. Il caressait les cuisses en même temps que je lui faisais son massage. Après ça , c'est moi que l'on traite d'affamée de sexe alors que ce genre de choses nous savons tous comment ça va se terminer.

- Et en plus c'est moi, ton mari, que tu traites de « niak fayda » (gamin) . Franchement les épouses d'aujourd'hui aucune tenue . C'est désolant. Me dit-il avec un air tellement sérieux que je ne pus m'empêcher de pouffer de rire .

- Non mais vraiment Bachir tu m'énerves. Et oses dire le contraire a croire que tes mains habitent sous ma robe. Lui dis-je.

- C'est pas de ma faute si ma femme est aussi sexy. Non mais sérieusement cette robe est vraiment tentante avec cette texture hum la crème de la crème.

- Pourquoi tu ne peux pas rester sérieux pendant au moins 5 minutes. Non mais tu m'étonnes et tu m'exaspères.

- Non Mais plus sérieusement, c'est parce que j'ai remarqué quelque chose de bizarre sous ta robe et je voulais vérifier ce que c'était, c'est tout. Me sort-il

- Quoi? Quelque chose de bizarre comme? Lui demandai-je en soulevant ma robe.

- Ah c'était ça je crois. Dit-il en s'approchant de plus près . Avant que je n'eus le temps de comprendre quoi que ce soit, ce fou tire mon string avant de le déchirer.

- BACHIR ! Criai-je surprise .

Il ne m'écoute pas et commence à me masser la foufoune avec ses doigts, je ferme automatiquement les yeux.

- Bachir s'il te plaît je suis fatiguée, aies pitié de moi. Et en plus on a fait l'amour toute la nuit.

- Shut dit-il en la massant à nouveau mais cette fois-ci avec son membre. Oh merde! Je n'en pouvais déjà plus c'était tellement mais tellement délicieux que je perdis tous les mots qui voulais sortir de ma bouche qui à présent sortais des choses vraiment indescriptibles.

- Mon amour dis-moi que tu aimes ce que je suis entrain de te faire. Me demande Bachir.

- Ba... c'est trop hhhhh.

Il continue le mouvement mais cette fois-ci avec accélération ce qui n'était pas bien sûr pour me déplaire. Quand que je m'y attendais le moins, il me pénètre avec une telle férocité que je me suis mise à sortir toutes les injures que je connaissais, les unes plus salaces que les autres . Bachir est vraiment tout ce que vous voulez mais au lit, c'est un vrai Don Juan. Il réussit à me chambouler les idées en moins de deux, sa façon de me faire l'amour hum...exquise. Il a réussi à me pervertir. On finit tous les deux essoufflés. Je le regarde avec un sourire très fier, il a fait du très bon boulot.
Je n'ai même pas eu le temps de me remettre les idées en place que l'on sonne à la porte. Bon qui que cela puisse être, j'insulte toute sa descendance.

Je me lève très très très difficilement et traîne les pieds pour aller ouvrir. Bachir n'est vraiment pas allé de main morte avec moi, résultat, j'ai mal partout comme si j'avais reçu des coups sur tout le corps. Mais heureusement pour moi que ça en valait la peine, rien qu'en y repensant je suis excitée.
J'ouvre la porte et devinez qui j'ai en face de moi? Ni plus ni moins que Son Excellence Madame Mame Fatou Sall. Elle a vraiment beaucoup de culot à venir se pointer chez moi et surtout un week-end. Quelle manque de tenue celle là alors! Je la dévisageais tellement qu'elle était mal à l'aise au point d'ouvrir sa bouche pour la refermer trois fois de suite. Elle peut commencer par dire bonjour, non? Je continuais à la regarder sans ciller . Elle n'était pas prête à dire ce qui l'amenait tout comme moi je n'étais pas sûr de la laisser franchir cette porte.

Jahia Sow: Aléas d'une vieOù les histoires vivent. Découvrez maintenant