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J'ai que mes larmes pour soulager cette peine qui ronge mon cœur , je ne peu pas appeler Fifi pour quoi que ce soit par ce que c'est mon foyer et je ne peux encore moins faire part de mes problèmes à mes frère puisqu'il sont occupés à préparer leur avenir , l'université que mon mari paye bien sûr.

Je la sers puis décide de regagner ma chambre mais elle m'arrête dans mon élan.

Neissa : Absatou il est où l'eau et le jus ?

Absatou : je te l'apporte

Je l'apporte ce qu'elle a demandé avec fierté, Abdallah veut que je traite sa sœur comme la reine D'Angleterre et bien je vais le faire.
Je regagne ma chambre et là il n'y a pas de trace de Abdallah.
Je vais dans la salle de gym et c'est la même chose.
Je décide de regagner ma chambre et là je le voit franchir la porte d'une des chambre d'amis avec deux coussins en main.

Que fait-il comme ça , non ce n'est pas ce que j'imagine. Il ne va pas quand même faire chambre à part. Je cours vers lui et malheureusement pour moi il ferme la porte à clé. Je tape sans succès mais il n'ouvre pas.
Mes larmes coulent , elles ne veulent pas s'arrêter. Pour quoi je suis obligé de vivre tout ceux-ci , depuis le jour je lui ait connu je n'ai eu que déception sur déception. Quand , je dis bien quand et à quel moment je vais être heureuse.

Deux mois plus tard...

Deux mois que je ne ressemble à rien , je suis l'ombre de moi même. J'ai l'impression d'être là bonne de cette maison par ce que figurez vous que je fais tout pour la sœur de mon mari qui rentre enfin en Amérique tout à l'heure.

Entre mon mari et moi c'est juste des salutations. On fait toujours chambre à part et il passe tous son temps à parler au téléphone tardivement la nuit. Chaque nuit j'attend ses rires à grands éclats. J'ai un pincement au cœur rien que de penser qu'il parle à une autre femme diffèrent de moi , ça fait mal qu'une autre le faut rire comme je le fais.

J'ai beau essayer de tout faire , j'ai tenté tous genre de rapprochement mais MR ne veut en aucun cas me voir même en peinture.

Dans la peau de Abdallah...

Ma femme me manque , toutes ces nouvelles choses qu'elle me fait vivre me manque mais je ne tenterai jamais des rapprochements avec elle par que qu'elle ma dessus. Il est arrivé des fois j'ai eu des regrets de l'avoir épouser mais bon l'amour est plus fort que tout , oui j'aime ma femme mais je ne permet en aucun cas ces betises.

Je viens tout juste de déposer ma sœur à l'aéroport et sur le chemin du retour je me rend dans la famille de Djena. Son père veut me voir.

Abdallah : bonsoir les aînés

Le père de Djena : bonsoir mon fils , je ne t'ai pas appelé pour grand chose , je t'ai fais venir pour te faire part du souhait de ma fille qui n'est rien d'autre qu'elle veut divorcer , j'ai beau la faire changer d'avis mais non elle reste sur sa parole

Abdallah : très bien papa , si c'est son choix , je la répudie alors

La mère de Djena : c'est mieux ansi , tu t'es foutue de ma fille , comment tu peux prendre une autre femme et en plus cette dernier ose la blessé

Abdallah : sauf votre respect , j'ai droits jusqu'à quatre femmes et de toute façon c'est finit , plus rien ne me lie à votre fille

La bête et sa proie ( Mariage polygame)~TERMINÉEOù les histoires vivent. Découvrez maintenant