Chapitre 4 - Le goût de ses lèvres.

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Fridolf - Avant que tu ouvres la porte, je t'aurais attrapé par les hanches, la porte serait restée fermée

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Fridolf - Avant que tu ouvres la porte, je t'aurais attrapé par les hanches, la porte serait restée fermée. Une de mes mains aurait glissé lentement sous ton haut, atteint un de tes seins, mon autre main se serait aventurée bien plus bas... Dis-je en faisant une pause. Je suis surpris lorsqu'elle attrape ma main pour accompagner mes propos, elle la pose sur son sein, je sens sa respiration s'accélérer après ce geste assez sensuel.

Son mamelon se dresse sévèrement entre mon pouce et mon index. Délicatement je prends son sein entier en main. Son corps bouillonne sous mes caresses, un petit gémissement s'échappe de sa bouche, je sens ma verge durcir, j'aime cette sensation de maitriser la jeune Française. Mon regard trouve le sien, elle ne voit qu'un loup du grand froid face à elle, prêt à la faire frissonner d'envie. Je joue avec elle, elle aime ça.

Séréna -  Continue... réussit-elle a me dire. J'hésite un instant entre mon récit ou mon autre main.

Alors j'accompagne mon geste aux mots, afin d'accentuer toujours plus son désir.

Fridolf -  Je descends délicatement le long de ton ventre pour arrivée sur... dis-je, Ma main trouve la direction de son bas-ventre. 

Fridolf - Ta culotte inondée, dis-je en me mordant les lèvres.

 En glissant mes doigts dans sa culotte, elle mouille littéralement sous mes paroles. Une nouvelle vague d'excitation me traverse de la colonne verbale jusqu'au bout de mon être, je durcis. Face à son désir, je ne suis plus rien. Elle frissonne lorsque je glisse mes doigts près de son sex trempée, tout en l'embrassant dans le cou. 

Je sens la pression monter entre ses cuisses, sous mes doigts qui s'enfonce en elle, elle ondule son corps pour intensifier le vas et viens de mes doigts en elle, je ne parle plus, j'aime la dominer.

Séréna - Oh oui, hum comme ça, hum plus fort, oh encore Fridolf ! gémit-elle

Lorsqu'elle prononce mon prénom avec son accent français, je la pénètre avec deux doigts. L'écho de ses cries m'incite a aller plus fort et plus profondément, je la sens chavirer autour de mes doigts, elle vibre, elle se contracte, elle grogne violemment. Elle me tire à elle et goûte à mes lèvres. Elle est au bord du vide, prêt à sauter, son corps se raidit...

Tout s'arrête...avant... Un pat sourd retentit dans l'escalier. Un gardien arrive, ses râles ont dû l'attirer, j'arrête tout. 

Elle est prise au dépourvu, surprise, puis remarque le bruit aussi, je retire ma main, elle reboutonne son short , elle me prend la main et nous courons vers l'escalier.


___


Nous nous cachons derrière un pilier, elle a le dos contre le pilier à observer, je suis plaqué à son corps brulant, le gardien s'arrête près de nous sans nous voir, mon coeur bat beaucoup trop vite, il va exploser. Elle me sent paniquer et choisit ce moment pour m'attirer et m'embrasse.

Étrangement, j'oublie tout et me retrouve dans le placard, elle m'embrasse délicatement, joue avec mes lèvres, elle attend un espace entre mes dents, pour s'introduire et chercher ma langue, je la sens autoritaire et joueuse, j'aime cet effet qu'elle a sur moi.

Elle s'échappe de moi, me sourit, me caresse le visage d'une de ces mains, passe la langue sur mes lèvres d'une rare sensualité, je ne résiste pas, elle sourie à nouveau, elle pose un doigt sur la bouche.

Elle me fait comprendre de ne plus faire de bruit, nous entendons deux gardiens discuter et partir fumer une cigarette. Ils nous laissent seuls. Ils nous donnent le temps de monter les escaliers furtivement, elle ne me tire a elle, m'agrippe la main, je suis enivré par elle, nous arrivons devant les entrées du théâtre que je n'ai pas encore vu, nous en essayons une, puis deux, les portes sont fermées, puis la troisième s'ouvre, mon premier pat dans cette salle est magique, unique, j'entends une douce musique jouer au fond de ma tête celle de « the middle east - blood. » 

Tout m'émerveille, les lumières sont allumées, la scène est sublime, nous sommes là a marché entre les allées a avancer sous la fresque de Chaghall, unique majestueuse. 

Nous nous asseyons. Je suis sonné. Un silence s'installe entre nous, je regarde chaque détail: les sièges bordeaux, les colonnes, la scène, l'énorme lustre... Lorsque je reprends mes esprits, je la regarde...

Sérèna - Je crois que nous n'avions pas fini ... me lance-t-elle avec désir.


Elle n'a pas idée de ce qui l'attends...

Elle n'a pas idée de ce qui l'attends

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L'inconnue de L'opéra (Terminée)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant