Nous sommes enfin seuls, enfermés comme deux lions dans une arène. Son pantalon tombe sur le sol la lumière verte des sorties de secours, ce qui nous permet de voir chaque détail de nos corps bouillant d'envie.
Il m'embrasse tendrement, je prends cette fois le temps de goûter à chaque millimètre de sa bouche, une plainte franchit ses lèvres, lorsque ma main glisse dans son boxer. Je sens son sexe dur impatient d'être délivré, ses mains on atteint mon dos, il enlève mon soutien-gorge. Il prend un de mes seins dressés dans sa bouche, j'oscille sous cette attaque.
Je l'empoigne et commence des vas et viens insolent avec le joujou de mon bucheron suédois. Il grogne, la chaleur entre nos deux corps augmente.
Sérèna - J'ai tellement envie de toi, prends moi fort, dis-je entre deux souffles.
Fridolf - J'arrive Sérèna ! chuchote-t-il.
Ses mains enlève ma culotte humide, a cet instant il attrape mes fesses, il me soulève de ses bras tatouer, mes bras s'enroulent au tour de sa nuque, mes jambes s'agrippent autour de son bassin, je sens sa queue ferme et dure tapoter sur mon sexe moite,
S- Qu'attends-tu , mon corps est au bord de la rupture.... Commençais-je... je n'ai pas le temps de terminer ma phrase lorsqu'il me pénètre d'un coup franc, j'exulte à son coup de reins, me faisant gémir bruyamment.
Fridolf - Comme ça ? ! dit-il avec un grand sourire, je ne réponds pas. Il me pénètre à nouveau et plus profondément.
...Comment aimes-tu être pris, Sèrena, continue-t-il en chuchotant à mon oreille.
...Profondément comme ça ... souffle-t-il. Je ne réponds pas tellement que la sensation est bonne. Il réitère sa pénétration toujours plus profonde, mon corps se cambre ...
Répond-moi ! me dit-il avec insolence en m'enfonçant sa verge une nouvelle fois. Je reste muette, me concentrant sur les sensations folles qui m'envahit, alors il s'arrête, je le fixe de mon regard sombre et lui répond.
Sérèna - Par pitié continue ! dis-je, il sourit et m'embrasse passionnément,
Oui... j'aime ça, allez continu, finis-je par dire.
Il reprend tout en accélérant le rythme, mes cris s'envolent vers la fresque de Chagall, il continue ainsi me tenant fermement contre son corps.
Cette position me rend folle. J'endure ses assauts, je ne contrôle plus rien, j'approche ma bouche de son oreille et lui murmure avec beaucoup d'orgueil.
Sérèna - Laisse-moi te chevaucher le Viking ! soufflais-je,
A ces paroles, il m'inflige un dernier coup viscéral, le faisant grogner dans le creux de mon cou. Il me laisse glisser contre son corps, je touche le sol, je reprends a cet instant les rennes, je le fais basculer, il est dos au sol, instinctivement il saisit mes seins de ses grandes mains de bûcheron et me les presse.
Je choisis ce moment pour m'empaler sur lui, j'accélère le rythme, je l'entends grogner. Il apprécie le mouvement de mon corps sur son membre, je sens mon corps tomber le masque. J'ondule mon corps avec un rythme frénétique, je commence à trembler, je m'oublie sur cette scène, je ne me contrôle plus , il abandonne mes seins pour attraper mes fesses.
Il se redresse pour accentuer la sensation de nos deux corps, en pleine jouissance j'aime son initiative... je me cambre, il m'inflige des coups de reins puissants et bestiaux, je lui attrape la nuque, le ramène contre moi, je l'entends succomber à son tour, j'hurle intensivement, il nous offre un incroyable orgasme.
Je m'effondre dans ces bras, il s'allonge sur le sol, je reste soudé à son corps. Après quelques instants, je roule sur le côté, je suis à sa hauteur aussi sur le dos.
Nous regardons la fresque de Chaghall, on se regarde, nos corps sont illuminés par cette lumière verte.
Sérèna - Il est quelle heure ? dis-je à bout de souffle. Il regarde son bracelet en cuire, tourne la tête vers moi.
Fridolf - Il est pratiquement 2h, dit-il.
Sérèna - Okay, et si on rentrait chez moi ? dis-je en ne le regardant pas.
Fridolf - Et ton parie ? me répond-il.
Sérèna - J'aimerais que tu regardes un meuble IKEA, pour le test de résistance annonçais-je.
Fridolf - Je croyais que ton meuble était toujours sous garantie, lâche-t-il naïvement, je le regarde et souris.
Sérèna - J'ai un gros doute sur le lit, j'aurais besoin de ton expertise, le Viking. Dis-je avec malice, il me sourie.
Fridolf - Partons ! dit-il.
On s'habille, sortons par les sorties verte de secours créant une panique à l'Opéra, nous courons dans les rues de Paris main dans la main....
Elle m'attire dans une ruelle, nous nous embrassons elle m'observe avec son regard espiègle me sourit. Je suis envouté.
À chaque fois, que son regard se pose sur moi, je repense à notre nuit à l'opéra, un flashback délicieux. Ce matin dans ce lit d'Ikea, je la regarde, je la goûte avec volupté,
lorsque nos langues se rencontrent nous nous embrasons, une folle chaleur m'envahit, je me sens durcir sous notre passion.
Nos corps se serrent, se collent, se lient. Elle délaisse ma bouche pour se perdre dans mon cou. Elle me tire entre ses cuisses, je m'y glisse, elle est moite, je suis dur, elle bouge son bassin furieusement, son corps me supplie de la prendre. Ses ongles se plantent dans mon dos lorsque je m'enfonce en elle, elle gémit dans mon cou, ce qui m'excite.
Je commence mes allers-retours frénétiques, sous mes grognements je l'entends se perdre, nos corps se tordent, je me sens partir, je la rejoins dans cette nouvelle ivresse.
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L'inconnue de L'opéra (Terminée)
Short StorySérèna fait un pari avec une amie : " se faire enfermer dans à l'Opera une nuit." Elle tente sa chance le soir même. Dans sa tentative, elle se fait enfermer avec Fridolf, un touriste suédois très charmant. Une nuit devant eux à se découvrir. AVERT...