Chapitre 6: Adieux Trésor, Papa S'envole.

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                ''Arrivé à la boutique je me remis au travail rapidement en voyant une foule de personne devant la porte.
Je les fis entrer et je pris place à mon bureaux.
Ils entraient les uns après les autres. Je me contenter de décrire dans un carnet, comment ils désiraient que leur proche soit habillé, maquillé et positionné dans le cercueil. Certains venaient seulement pour commander des cercueils.
Je continuais à servir la clientèle quand j'entendis un '' hum hum '' aussi sérieux que celui William.
Je relevais la tête de mes papiers et carnets, posé sur mes jambes me faisaient table, car mes pieds étaient sur le bureaux, pour voir si c'était bien ce cher William.
D'un large sourire, je lui souris.

'' William, tu m'as retrouvé, bravo à toi.
- Il ne m'a pas fallu longtemps après avoir compris que ton nom était Undertaker et en voyant l'enseigne de la boutique... Elle porte ton nom
- Et, il te plaiiiiiit ??-fis-je en me précipitant pour me mettre la figure en face de la sienne, les mains sur le bureaux-
- J'avoue que tu le portes assez bien.
- hi hiiii... J'aime te voir jaloux. -puis je me rassis- Comment vas-tu depuis le temps ?
- A ce que je vois tu es pas mal débordé. - il regardait du coin de l'œil la clientèle pendant que j'élargissais un sourire plein de malice-
- Cela aurait-il un rapport avec l'Office ?
- .... Cela se pourrait.
- Parles donc Mon p'tit Willy.
- En privé cela serait mieux. ''

Il se mit sur le côté pour laisser la place à la clientèle.
Je finissais de prendre les renseignements des dernières personnes et d'en conseiller d'autres encore avant d'aller à la porte, fermer la porte et mettre l'escrito '' fermé '' pour pas que l'on vienne nous déranger.
Je l'ai invité à prendre place à une table visible au public étant donné qu'elle est installé dans la partie boutique mais vers l'autre mur à gauche de mon bureau.
La cuisine et mon bureaux sont au même endroit.

Pendant que je préparais un chocolat chaud et quelques biscuits en forme d'os, William prit la parole.
Je finis par le rejoindre avec les tasses et les biscuits.

'' Une lettre du Conseil dis-tu ?
- Oui. -Il la sort de l'une de ses poches intérieur de sa veste pour me la donner-''

Je lis la lettre attentivement tout en mangeant des biscuits.
Au fur et à mesure que je lisais la lettre, mon sourire s'affichait, s'elargissais.
Il était plein de mépris, de malice, de moquerie.

'' Vous êtes notre ultime espoire ? Est-ce une blague ?
- Pas vraiment...
- Je suis un Joker donc ?
- Je suppose...
- Les morts sont nombreux en ce moment, il est vrai. Avez-vous cherché la cause ?
- Nous ne l'avons pas trouvé.
- William, voyons... Comment te le dire: tu m'as donné beaucoup de travail pour m'empêcher de voir mes filles mais il est également vrai que tu as gardé le secret, et je t'en suis reconnaissant. Mais. Si j'ai fuis ce n'est pas pour revenir, alors pourquoi, dis le moi, pourquoi devrais-je revenir alors que je peux aujourd'hui voir mes filles ? Regarde, hier j'ai dormi avec l'une d'elles après avoir jouer, discuter et lui avoir lu une histoire. Pourquoi donc devrais-je te suivre alors que je peux être plus libre aujourd'hui ?
- Car il n'y a que des décès. Aucun suicide et nous manquons d'êtres en retard pour des âmes décédées à des heures trop proche. Tu es le seul à avoir remplis 4 carnets en une journée alors que des âmes se trouver parfois dans des régions plus éloigné que celles de l'Angleterre. Et aujourd'hui, ayant conservé ton tire de Shinigami supérieur, tu peux être beaucoup plus performant grâce à ta teleportation. - il parlait pendant que je souriais-
- Tu dois être affreusement frustrer de la mission qui t'as était donné.
- Pourriez-vous, je vous pris, garder un minimum de sérieux.
- Voilà que tu te remets à me vouvoyer hé hé.
- Vous auriez plus de liberté. Ils ont accepté, ayant découvert l'existance de vos filles, les visites avant et après votre travail de dieux de la mort.
- Mais encore ?
- Comment ça ?
- Voyons, je tiens une boutique aussi et j'ai pas mal de clientèle. J'ai également 2 petits fils.
- Vous avez eu contacte avec vos descendants ?!
- N'ai crainte William je me fait passé pour un simple ami fidèle, mais ileur père me confit parfois ses fils. ''

Il réfléchit un certains temps à une solution.
Je regardais son chocolat chaud auquel il n'avait pas touché. Ainsi qu'à ses biscuits.

-Toujours aussi sérieux. Quand il vient pour une affaires il ne veux pas se distraire avec quelques sucreries, quel gâchis.-

'' Bien, voilà ce qu'on va faire William. Je veux pouvoir voir mes filles avant et après le travail. Mais également travailler à la boutique au moin une demi journée. Quand il y aura urgence je veux bien venir et vous prêter main fort, mais seulement en cas d'urgence. Aussi, je veux pouvoir poser des jours de congés pour m'occuper de mes petit fils. Ça te paraît faisable ? ''

Je vis que William hésita. Il se leva comme je l'avais fait pour parler des quelques conditions.
Je savais bien qu'il ne pouvais pas prendre la décision seul. Le Conseil était, est et restera le juge emsupreme de la réponse à me donner et de toute autre décision à prendre.

'' J'en parle au Conseil dès aujourd'hui. Si la réponse me parvient rapidement et qu'elle est positive, le travail commencera dès ce soir pour te laisser finir le travail de la boutique cette après-midi encore et te laisser le temps de te preparer.
- Bien, faisons comme ça. ''

Sur ces bonnes paroles, je le raccompagnais à la porte, remettant l'escrito ''ouvert '' et lui fis mes '' au revoirs''.

Après quelques heures, je reçus une lettre de William avec les conditions, que je leurs avais demandé, acceptées.
Ce soir, après la visite de mes fillettes, je reprendrais le travail que j'avais depuis un moment, abandonné.

J'étais à la fenêtre de Rose ce soir là avant le travail. Je me suis dis que j'allais retenter le contact en espérant que cela ne la perturbé pas trop.
Malheureusement, comme je m'y attendais, cela n'a pas fonctionné et cette fois elle eu peur.
J'ai tenté de la calmer et par miracle cela a fonctionné.
J'ai jouer un peu avec elle en lui disant que je n'étais qu'un rêve et qu'elle dormait et que quand elle se réveillerait, je ne serais plus là. Elle le cru.
Au soir, dans le lit, je fis comme avec Pétunia et lui raconta une petit histoire.
Maria était sorti donc elle ne fut pas là pour la coucher et elle avait charger Kaï de le faire, qui avait oublier. Il fumait dans le salon buvant des bières et ne faisait pas attention à l'heure.
Rose fut plus vite endormi que Pétunia et après un bisous sur le front en guise d'adieu, je rejoignais la Chambre de Pétunia où elle m'attendait à un petit bureau, prête à apprendre quelques leçons. ''

Undertaker - Livre 3-Où les histoires vivent. Découvrez maintenant