Histoire M/M
C'est aux abords de la petite ville de Landrosh, dans les profondeurs de la forêt de Black-Wood que tout commença...
Au fil des ans, les gens ont commencé à oublier. Ils ont oublié cette sensation glaçante d'effroi lorsqu'il approche...
Steven se senti lourd au réveil, il ne pouvais pas bouger, un sond constant et aiguë se faisait entendre et des voix étouffées semblaient anxieuses et énervé autour de lui.
Lorsqu'il ouvrir les yeux se fut pour croiser le regard assassin de son père.
"Steven Silvia Velson!! A tu une idée de la crise cardiaque que tu aurais pus me causer !?" S'écrit le vieil homme.
"Hurle pas comme ça papa s'il te plaît... J'ai la migraine. " Répondit-il en se redressant doucement.
"Quoi ?!" S'exclame le père. "Attend... Attend, reprenons depuis le début. Qu'est ce que tu foutais dans cette forêt ?" Repris calmement le patriarche.
"Je... Je suis désolé." Avoue t-il en découvrant du regard la chambre d'hôpital. "Comment m'a tu retrouvé ?"
"Edward m'a appelé après t'avoir ramené ! Mais qu'est ce que tu as dans la tête !? Quel idée de t'en fuir dans les bois !!??"
"Le braconnier ?" demande simplement le cuivré rassuré de savoir qu'il était rentré chez lui.
"Oui, sauf que Mr Cillers n'est pas un braconnier mais le garde forestier et tu es bien chanceux que l'homme t'ai sauvé."
"Hein ? Co-comment tu l'a appelé ?"
"Fiston tu ferais mieux de t'inquiéter pour toi ! Il m'a expliqué que tu lui avait sauté dessu alors qu'il voulait te protéger d'un loup. " Répondit son paternel en soupirant. "Ton message d'adieu... Tu auras ma peau un jour... Heureusement tu n'a rien de grave."
"PA! Je peux tout expliquer ! Mais tu dois me dire où habite ce Mr Cillers !"
Son père le fixa du regard ." Non, mais est-ce que tu t'entend ?"
"Écoute, Je... Je sais qu'il y a peu de chance que tu me crois... Mais il faut aller fouiller le manoir Loctor ! Il y a un cadavre la bas !"
"Steven... Est ce que tu t'entend parler ?" Répéta son père.
"Mais PA!" S'écrit-il. "Tu ne comprend pas Élisabeth Ci--"
"Stop! Maintenant ça suffit avec tes histoires de manoir et de monstres ! Tu as failli te faire tuer !" Le coupe son père en se levant de sa chaise.
"Attend ! J'ai une preuve !" reprit le jeune homme en repensant au pendentif de la défunte.
Mais son père quitte la pièce sans un regard en arrière, laissant la place à l'infirmière venu s'occuper de lui.
Le rouquin serre les dents de rage. Il n'est pas fou et il le savait ! Si au moins sont père pouvait faire l'effort de l'écouter.
"Eh bien jeune homme vous en avez de la chance. La balle vous a à peine effleuré et vous n'avez qu'un léger traumatisme crânien. " Affirme l'infirmière en souriant. "Vous pourrez sortir des cette après midi."
Steven détourna le regard vers la fenêtre. Il se sent seul contre tous comme à chaque fois personnes ne cherchaient à le comprendre où à l'écouter... Et pourquoi le feront-il.
Je vous prouverez à tous !
Le retour se fit en silence... Le jeune homme s'écroula dans son lit en compagnie de Shell.
Il avait récupéré ses affaires et regarda le vieux pendentif avec exaspération... Même après lui avoir montré ça, son père ne le croyait pas.
"Et tu es parti dans les bois pour un pendentif vieux de plusieurs décennies ?"
"Mais PA ! Il était attaché au cou du cada...."
"ÇA SUFFIT!"
Mais il savait qu'il se passait des choses pas net là bas.
Élisabeth était morte dans le manoir pourtant personne n'en parle dans l'histoire de Landrosh... Comme si après l'incendie personne n'avaient cherché à fouiller les décombres à la recherche de survivant.
D'ailleurs la famille Cillers avait disparue juste après cette nuit sans laisser aucunes traces. Comment on t-ils puent partir sans même chercher après leur fille disparue ? Ou ont ils bien pu partir ? Cet Edward Cillers savait-il quelque chose ? Élisabeth était là plus jeune ! Mais elle avait un frère aîné ! Peut-être était ce l'un de leurs descendant.
Pourquoi personne n'a jamais retrouvé les restes calcinés des Loctor ?! Pourquoi personne n'a cherché dans la cave ? Élisabeth était là lors de l'incendie et elle était morte dévorée vif sans que personne ne l'entendent hurler ??? Et surtout pourquoi était-elle là ?
Le rouquin caressa Shell avec douceur alors que celle ci lui léchait la joue l'air inquiète.
"Toi aussi tu trouve cette histoire louche non ?" murmura t-il en la câlinant.
Il devait retrouver cet Edward ! Peut-être qu'ils pourraient lui en dire plus sur leur histoire familiale...
Si seulement il y avait des descendants des Loctor aussi...
Il devait passer voir Denis ! Il se releva sous le regard étonner de Shell, il sourit en la regardant .
"Tu veux venir ?" le questionna t-elle sortant.
La chienne aboya pour toute réponse en le suivant le regard brillant. Le jeune homme fit attention a ne pas déranger son père.Il traversait le bourg aussi vite que possible afin d'éviter de croiser du monde.
"Tiens, tiens mais qui voila ?!" S'exclama une voix qu'il connaissait que trop bien.
"Whottar ." Se contenta t-il de dire en poursuivant sa route Shell sur ses pas.
"Hey ! Ou tu vas la crevette ???" Ricana James en le suivant. " A ce qui parait toi et ton crétin de pote vous vous êtes encore perdu en foret ?! Ben alors les nullos on cherche a impressionner les filles ? Pathétique !!!"
"Quand tu auras fini de te donner en spectacle tu me le diras. Le seul pathétique ici c'est toi avec tes deux gorilles qui te servent de potes." Répliqua le jeune Velson en accélérant.
"Pardon ? Comment tu me parle la crevette ?!" S'énerva t-il en lui attrapant l'épaule. "Je crois qu'il est temps de t'apprendre qui commande ici !"
GRRRRR!!!!
"C'est quoi ça ? " Demanda James en fixant Shell qui lui grognait dessus les babines retroussés. "Rappel ton putain de clébard !"
"Lâche moi ! Ta une haleine de chacal. Tu connais la brosse à dents ??" Rétorqua le cuivré en se dégageant de la poigne du jeune Whottar alors que celui-ci fusillait Shell du regard.
"Ignore le Shell." Dit-il en s'éloignant.
"Comment tu me parle l'avorton !? Vais te le faire regretter à toi et à ton stupide chien !" Hurla James en le regardant partir.
Il repris son chemins vers la maison de Denis. Le cœur lourd d'inquiétude, il espérait que son ami avait réussi à rentrer sans une égratignures et qu'il comprendrait la situation.
Le pendentif serré dans son poing comme pour s'assurer qu'il ne délirait pas, il entra dans le quartier résidentiel de la Roseraie.
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