chapitre 24 🟢

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🎶 Don Diablo- Survive 🎶

* Je me retourne en regardant la personne qui me parle. C'est Bruna. *

Moi : tu parles à moi ? Prune, Ah.

Bruna : c'est Bruna.

Moi : bref, tu veux quoi ?

Bruna : que tu arrêtes avec Neymar.

Moi : (en croisant mes bras) tu ne crois pas qu'il est un grand gars pour parler et être amis avec qu'il veut.

Bruna : tu crois que je ne t'ai pas vu avec Neymar en train de vous embrasser, c'était dégueulasse de voir ça.

Moi : je ne vois pas ce qu'il est dégueulasse mais personne t'as forcé à nous regarder ou même de te mêler de l'histoire puis demander à Neymar, s'il a aimé et pour informations on s'embrassait plusieurs fois donc je ne pense pas que ce soit ton problème.

Bruna : tu vas me le payer parce que je suis plus connue que toi.

Moi : c'est bien, tu as fini parce que je n'ai pas le temps d'écouter ton melon. Puis ici, on est en Espagne pas au Brésil.

Bruna : oh, donc tu détestes le Brésil, j'ai hâte de voir ce que va dire Neymar de ça.

Moi : bah, tu as qu'à lui dire parce que je vais lui raconter ma version, il va te trouver tellement pathétique que tu ne l'es déjà pas.

Bruna : ce n'est pas fini avec toi, petite allumeuse que tu es, tout ça pour avoir un footballeur entre tes pattes juste pour lui prendre son argent.

Moi : s'il te plaît, Pruna, ne dis pas tes plans parce que l'on voit bien que t'y connais.

Bruna : t'es tellement arrogante que tu n'as même pas d'éducation.

Moi : avant de me parler d'éducation va déjà apprendre le respect pour les gens.

Bruna : quel respect que je dois pour une chienne.

Moi : en tout cas, comme tu dis, la chienne, elle a Neymar qui préfère passer du temps avec qu'avec l'autre chienne en détresse qui lui court derrière h 24

Bruna : un jour, tu vas tout perdre et je serai là pour admirer.

Moi : super merci, mais je pense que l'on ne peut pas être plus cas désespéré que toi-même.

* Je pars même avant d'entendre ce qu'elle a me dit parce que j'ai d'autres choses à faire. Je remonte dans la voiture avec Aimara comme Antonella nous a prêté son véhicule. Je mets mon téléphone sur le tableau de bord sans mettre le volume parce qu'Aimara déteste le football et elle met sa musique.*

Aimara : tu n'as pas dormi à l'appartement cette nuit.

Moi : je sais.

Aimara : Maria, tu as tellement changé que tu ne me dis plus rien alors que je suis ta meilleure amie.

Moi : je suis désolée Aimara, mais actuellement, je suis si perdue que je ne sais même pas comment faire.

Aimara : si un jour, tu trouves le pourquoi du comment, je serai là pour toi.

Moi : merci beaucoup, ça me touche.

Aimara : c'est normal puis tu es
comme ma sœur, mon cœur.

Un destin unique                              Où les histoires vivent. Découvrez maintenant