Chapitre 3

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Note de l'auteur: J'empreinte un univers qui ne m'appartient pas mais les changements et les différences, eux, m'appartiennent. Pour toute personne qui voudra copier mon texte, je demande juste qu'il ou elle me prévienne pour qu'un jour je ne retrouve pas une copie de mon livre ou de mes chapitres sur le compte d'une autre personne

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Point de vue: Harry Potter:

Je me réveille en me cognant la tête contre le haut de ma "chambre", en effet mon placard devient de plus en plus petit au fur et à mesure des années. Je regarde l'heure grâce à une veille montre venant d'une poubelle et voit qu'il est 6h30. j'enfile difficilement d'anciens vêtement de Dudley. La séance de "torture" faite hier soir par mon oncle dans le seul but de me faire regretter d'exister ne m'a pas laisser indemne. Je sort de mon lit en grimaçant tout en observant le dessin de la chambre de mes rêves. Je sens tout mes muscles me tirer et chacune de mes blessures se réveille et me dise: " Et là moi j'existe ". Rien qu'en pensant à ce qu'il c'est passait hier soir les larmes me montent aux yeux. Vernon a encore abusé de moi bien plus qu'en me donnant des coups. Je vais vers la cuisine pour faire le petit-déjeuner de mes maîtres quand Vernon arrive derrière moi et me dit:

-Non, tu peux aller te recoucher, tu as bien servi hier donc tu as le droit d'avoir un jour de repos. En plus comment veux tu marcher l'anormal, tu es si faible que 2 coups suffise à te casser les os.

Je frissonne et me force à ne pas répondre, cela vaut mieux pour moi, déjà que je peux à peine marcher, il ne me faut pas des blessures en plus si je veux faire mon truc. Mon truc c'est la nuit quand je dors après m'être fait taper ou agresser un halo blanc m'entoure et soigne la plupart de mes blessures. Le truc c'est que ça ne réduit pas la douleur du pendant ni celle de l'après. Si mon maître ne se calme pas ce que je trouve irréaliste, il ne sert à rien que je continu à me battre. De toute façon je finirai bien par mourir s'il continu de frapper aussi fort, quelque soit ma chance elle finira par tourner et à ce moment je serais mort mais au moins j'aurais arrêté de souffrir aussi bien moralement que physiquement.

Je me recouche en gardant ces sombres pensées à l'esprit et en me disant que dans une autre vie j'aurais plus de chance de survie et que dans cette autre vie j'aurais des parents qui m'aimeront pour ce que je suis.

Il est 17 heures quand je me réveille et j'ai eu le temps de pas mal récupérer du traitement de Vernon hier. Soudain la sonnette se déclenche, apparemment mes maîtres attendez de la visite puisque sinon jamais personne ne vient ici à cause de ma réputation de monstre qui date d'une fois où j'avais pu sortir et j'avais rencontré un serpent avec qui j'avais parlé sauf que maîtresse Pétunia s'en ai rendu compte et elle a appelé Vernon. C'est ce jour-là que Vernon avait abusé de moi autrement que avec des coups. Je n'ai jamais compris pourquoi mais c'est aussi là qu'ils ont commençaient à m'appeler l'anormal ou le monstre, enfin bref des gens que je ne connaît pas entrent sur le seuil de la maison.

Le premier est un homme de la trentaine je pense, il a de longs cheveux noirs, un nez tordu, les dents un peu jaune et les yeux d'un noir si intense que l'on pourrait se perdre dedans. A mon avis il doit faire très peur quand il est en colère mais il n'a pas l'air de l'être ou en tout cas ça ne se voit pas. La deuxième est une femme assez veille avec un chignon très serrés et les yeux qui lancent des éclairs, elle a l'air assez stricte mais juste. Ils sortent tout les deux un petit morceau de bois de leur poche et prononce quelque chose que je n'arrive pas à entendre. Une lumière rouge jaillit de leurs bouts de boit et fonce sur mes tuteurs elle les touche et ils s'immobilisent.

Je prends peur et je referme doucement la porte du placard pour qu'ils ne me remarquent pas et qu'ils repartent une fois qu'ils ont ce qu'ils sont venus chercher. Cependant je les entends s'approcher dangereusement de mon placard pendant que mon cerveau tourne à cent à l'heure pour comprendre. Ce qu'ils font là, ce qu'ils cherchent ou pourquoi mes maîtres ne bougent plus.

Tout d'un coup la porte de ma chambre s'ouvre sur les deux personnes qui ont immobiliser mes tuteurs. La femme s'approche tandis que moi je recule au fond du placard jusqu'à que ma tête frappe avec force les escaliers qui passent au dessus. Je frotte ma tête et je vois des points noirs de plus en plus gros apparaître dans ma vision. Une douleur lancinante me déchire la tête quand tout devient noir et je tombe.

Si tout avait été différentOù les histoires vivent. Découvrez maintenant