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Rattraper le temps perdu c'était ça l'idée mais d'un autre côté j'avais déjà accompli mon objectif de l'été . J'avais déjà eut ma première expérience sexuelle et j'étais approximativement au même pied d'égalité que mes potes de l'époque. Ils n'avaient pas besoin de savoir comment cela s'est passé ni avec qui l'important c'était qu'ils sachent que tout comme eux je ne suis plus un mec puceau. Je suis donc prêt à me bonder le torse dans le campus. J'allais plus du tout m'exciter dès que je vois des paires de fesses passées. J'étais pas particulièrement à la recherche d'une autre petite-amie, je dirai que je cherchais plus des amis , de nouvelles connaissances avec qui j'allais terminé en fanfare ces vacances d'été . Par un après-midi de septembre, alors que j'étais occupé à chatter en ligne avec mes potes , je fis une rencontre plus où moins intéressante. Une fille d'un an ma cadette , elle venait également de décrocher son baccalauréat. On a fait connaissance et très vite une alchimie s'est installé puis un jeu de séduction. En deux ou trois jours ont étaient déjà au stade où on ne pouvais pas se passer l'un de l'autre. On s'écrivait H24 tout les jours . Comment elle s'appelle tu dis? Elle se fait appelé Cynthia. Quelques jours après, elle a manifesté le désir de me voir en chair et en poil donc elle m'a indiqué chez elle . J'avais hâte aussi d'y être , je voulais enfin rencontré celle là qui rendait mes derniers jours de vacances d'été inoubliables. Je me suis garé devant chez elle , elle est sortie et là j'ai pas compris ce qui s'est passé dans ma tête . Bien vrai elle m'avait envoyé des photos d'elles quand nous avions faits connaissances mais en vrai elle était bien plus jolie que sur les photos. Je me rappelle encore de ce qu'elle portait ce jour là, un décolleté sans manche de couleur rouge , un shorty de la même couleur et des sandales qui faisaient sûrement le double de la taille de ses pieds, on aurait dit qu'elle les avaient emprunté au Big foot. J'étais assis sur ma moto et je la regardais traverser la ruelle pour me rejoindre de l'autre côté. Plus elle approchait , plus mon rythme cardiaque s'accélérait , elle n'avait rien à envier à toutes les filles avec qui je suis sorti. Elle m'a demandé de laisser ma moto devant chez elle et je vais l'accompagner faire une course à sa mère un peu plus haut dans la ruelle histoire de discuter. J'ai exécuté sa parole et je l'ai accompagné. Durant toute la durée du date , j'ai pris la peine de l'observer attentivement dans le but de savoir si elle pouvait faire l'affaire et s'il fallait passer à la vitesse supérieure avec elle. De retour chez moi, j'ai pas manquer de lui faire savoir mes nouvelles intentions et on peut dire que le rendez-vous qu'elle a demandé avais pour même but aussi de son côté. Très vite, nous nous sommes retrouvés à être plus que des amis, je tenais donc ma cinquième petite-amie. On s'écrivait à longueur de journée, on ne s'en lassait pas. Un matin vers 7h , elle m'a envoyé un message me disant qu'elle voulait me voir. Je venais de me réveiller, en plus 7h du matin ce n'était pas commode comme heure pour rendre visite à une personne. J'ai pris une douche et je suis parti la voir. Elle était à la boutique de sa mère donc c'est là je suis allé. Ce n'est pas comme si la boutique était séparé de la maison , les deux étaient sur la même parcelle et une porte de la boutique donnait sur le salon et puis l'autre sur la cour de la maison. Nous restez à la boutique à parler  de tout et de rien puis est venu le moment où je voulais me retirer et rentrer chez moi. Je lui ai formulé mon désir de la quitté pour vaquer à d'autres occupations et elle n'a pas manquer de me faire savoir en retour qu'il n'était pas question que je quitte chez elle sans lui avoir rouler une pelle au préalable. J'étais surpris parceque c'est la première fois une meuf me demandais de l'embrasser. C'était pas sorcier sa demande du coup je suis rapproché d'elle. Elle était derrière le comptoir et moi de l'autre côté, vu qu'elle n'était pas grande de taille, elle a due s'appuyer sur le comptoir pour atteindre mes lèvres. A peine avait-elle collé ses lèvres aux miennes qu'elle s'est retirée pour me faire savoir qu'un client pourrait venir nous prendre sur le fait accompli. N'aimant visiblement pas remettre à plutard une chose qu'elle pouvait terminée sur le champ, elle me demanda alors de la suivre de l'autre côté de la porte, celle qui donnait au salon. De l'autre côté de la porte à l'abri des regards indiscrets , ont pouvaient se donner corps et âme à nos pulsions de l'instant. Elle avait comme habillement, une robe verte avec la fermeture à moitié remonter. Alors qu'on se mangeait les lèvres comme deux adolescents en chaleurs , ce que nous étions , je me permettais d'avoir les mains baladeuses sur son arrière train. Elle de son côté  , avait ses bras autour de mon cou et ses mains sur ma nuque comme si elle ne voulais pas que ce moment s'arrête. Mais un client en a décidé autrement en venant frapper à la boutique. Elle m'a libéré de sa prise et ma demandé de l'attendre sagement dans le canapé, elle ne serai pas longue, j'ai tout de suite compris que c'était une entrée en matière ce qu'on venaient de faire et qu'elle n'était pas prête de me laisser partir de si tôt. A son retour , j'étais assis dans le canapé je me demandais ce qui allais être la suite maintenant. Elle a tiré sa robe vers le haut de manière à avoir de faciliter pour me grimper dessus. Alors que j'étais assis sur le canapé, elle vint s'asseoir à son tour sur moi, me faisant face et c'était reparti pour un tour encore plus intense que le premier. Elle prenait du plaisir à se frotter à moi pendant qu'elle m'embrassait. Pour te dire vrai Karl, elle embrassait tellement bien que je m'étais focalisé uniquement sur ses lèvres jusqu'à ce qu'elle s'arrête pour poser elle même mes mains sur son postérieur avant de continuer. Celui qui a dit que le paradis n'existait pas sur cette terre n'a pas connu ce moment là. Je n'étais clairement plus présent , j'étais emporté par l'intensité qu'elle mettait à par la chaleur que dégageait son corps . Elle m'a enlever mon tee-shirt et moi j'ai achevé l'ouverture de la fermeture de sa robe. Vu que le balcon lui faisais un peu défaut , elle n'avait pas porter un soutien-gorge . Je n'avais que mon pantalon de sport noir et elle , il ne lui restait plus que sa lingerie . L'intensité grimpait encore de plus en plus et nos deux corps étaient au diapason. Elle était  bien moins lourde que moi donc j'ai réussi sans trop de mal à l'allonger sur le canapé, a mon tour de lui faire découvrir ma spécialité que j'avais pris le soin de pofiner depuis le temps: l'art du cunni. Heureusement ou malheureusement Karl , nous sommes pas aller plus loin que ça . Elle m'a finalement libéré et je suis rentrer chez moi.

Journal intime d'un Bad BoyOù les histoires vivent. Découvrez maintenant