A New York, se trouve l'une des plus grands école du pays la G.E.N.Y, La Grand Ecole de New York. Tout les élèves de la G.E.N.Y la connaissent. Tous, sauf Tayron Smith, 19 ans et nouvel élève. Il n'y a qu'une seul règle : ne pas l'approcher.
Mais q...
" En Angleterre, tout est permis, sauf ce qui est interdit. En Allemagne, tout est interdit, sauf ce qui est permis. En France, tout est permis, même ce qui est interdit. En URSS, tout est interdit, même ce qui est permis. "
Winston Churchill
Jour 33 - Samedi
Après la petite soiré d'hier chez Tayron, j'ai continué a parler avec Davina. On a parlé de sa soeur qui lui fait la misère a base d'humiliation et d'autres choses horrible. Je lui ai re propose de venir chez moi quelques temps pour s'éloigné de sa famille. A son habitude, Davina passe une bonne partie de son samedi au Tomi Jazz, mais aujourd'hui je viens la chercher chez elle pour qu'on est le temps de sortir cette après midi.
De : Davina A : 8h53
Je suis contente de partir d'ici mais sa me stress un peu...
De : Moi A : 8h54
Je suis content de te sortir de là j'arrive bientôt
J'attrape mes clefs dans l'entré et prend la route vers Brooklyn. Le chemin me parait long... très long, entre le monde dans les rues à Midtown et l'éternel bouchon du pont de Brooklyn. Passé le pont les rues sont vide, le sud de New York semble beaucoup plus calme derrière le brouhaha constant de Manhattan. Je me garde sur le trottoir. Je sors a peine de ma voiture que quelqu'un me prend dans les bras. Je resserre mes bras autour de la belle rousse. Je prends quelques instant pour la regarder. Je prend ses bagages, les mets dans le coffre et lui ouvre la porte.
- Comment tu te sens ?
- ça va je crois, me répondit elle.
On continu de discuté sur le chemin de la maison. Elle ne peut s'empêcher de sourire, ce sourire tellement beau. Je lui prend doucement la main, ce qu'elle ne refuse pas, au contraire. Ses beaux yeux se posent sur moi. J'aime ce regard doux et espiègle. Elle semble surprise du fait que je m'engage sur la 5 ème Avenue. Et encore plus lorsque je m'arrête devant l'un des hôtels particuliers de l'avenue mythique.
- Attend, attend...!
- Quoi ?
- T'habite sur la 5 ème ?!
- Oui, lui dis je avec un rire un peu gêner.
Je sors de la voiture et lui ouvre la portière. Elle est plus que choqué de savoir que le 990 Fifth Avenue Apartments appartiens à ma famille. Je prend ses affaires dans le coffre et l'invite a entré dans le grand bâtiment. Elle regarde tout autour d'elle : les murs et plafonds blancs ornés de moulure, le grand escalier en bois ressemblant a du marbre... Elle ressemble a une enfant dans un magasin de jouets. Je lui présente toute les pièces de l'appartement que j'occupe au derrière étage.
- Et là c'est ta chambre.
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- Mon dieu c'est magnifique Seth...
- Je te laisse t'installer.
-Attend...
Elle me prends dans ses bras et me chuchote un "merci" au creux de l'oreille. Je voudrais que cette étreinte dur éternellement. Je pars dans la cuisine après avoir déposé un léger baisé sur son front. A 10h30, j'entrevois la chevelure rousse de cette petite new yorkaise apparaître dans la cuisine.
- Sa sens bon ! Je savais pas que tu savais cuisiner.
- Ma mère est chef et on peut dire qu'elle m'a transmis sa passion pour la cuisine. Au menu aujourd'hui pour la belle Mlle Stevenson poulet à la mexicaine, pommes de terre revenu a l'huile d'olives et en dessert crumble aux fruits des bois avec ses décorations de chocolat et nougatine.
- Waw c'est toute un programme.
- Tu veux goûté le poulet ? Je sais pas si c'est pas assez salé.
- Avec plaisir !
Elle goûte et me dit que c'est délicieux. Je continu de cuisiné sous sont regard émerveillé. On discute pendant de nombreuses heures dans le rire sous la fumé des fourneaux. Après manger, on se balade dans New York, on discute autour d'une boisson chaude au Tomi Jazz, on imagine la vie passé de la ville dans le froid rude de l'hiver new yorkais au Belvedere Castle, on vagabonde parmi les arbres démunie de feuilles sur Roosevelt Island... Je ne peux m'empêcher de la regarder avec tendresse. Elle est vraiment belle. J'ai rencontré Davina par hasard, je crois que le hasard fait vraiment bien les choses. J'ai appris qu'elle voulait devenir journaliste pour le Times et qu'elle a peu faire un stage là bas grâce à la mère de Soon qui y travaille. Je trouve que sa lui va très bien, elle est curieuse de tout et s'intéresse à beaucoup de choses. Je plus est beaucoup parlé de ma famille, mon père qui est chirurgien, ma mère qui est un chef réputer dans l'est du pays, et ma cousin qui vit avec nous et que je vois plus comme une soeur.
Le soir venu, on se commende a manger. On regarde un film, a vrai dire, je regarde plus Dav' qui elle regarde le film. Son visage est si beau dans le noir juste éclairé par la lumière artificiel de la télé. Sa tête sur mon épaule, mes bras autour d'elle, rien ne peut entaché ce moment. Arrivé au trois quart du film je me rend compte qu'elle s'est endormie, je la porte jusqu'à sa chambre en essayant de ne pas la réveiller. Je la dépose dans son lit, rabat la couverture sur elle. J'allais partir quand sa petite voix me demande de resté avec elle. Je m'assois sur son lit lui dégage une mèche de cheveux du visage et la regarde dans la peine ombre de la lune. On s'endort l'un à coté de l'autre.
