02.

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Je veux t'aimer à en crever.

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Pétunia et Harry se trouvent tout deux dans le garage de Vernon. C'est le nettoyage de printemps aujourd'hui et comme chaque année, le garage devait être récurer. Alors que tante Pétunia se saisit du plumeau, Harry l'observe en silence patientant ses instructions.

— Il faut que tu passe le plumeau sur toutes les toiles d'araignée que tu voit. Je ne veux plus en voir une seule, compris ?

Harry hoche la tête en silence. Il prend le plumeau et laisse tante Pétunia rentrer dans la maison, laissant le gosse à ça corvée.

Comment allait faire l'enfant ? Il ne pouvait pas détruire toutes les maisons de ses amies, c'est horrible ! En soupirant, Harry pose le plumeau au sol et prend la parole.

— Bonjour... Commence l'enfant maladroit. Je vais devoir détruire vos maisons.

Cet aveux fit baisser la tête d'Harry alors qu'il sent qu'on l'observe. En se donnant du courage, Harry reprend la parole.

— J'ai un endroit où vous serez bien ! Venez sur moi le temps que je passe le plumeau et je vous conduirez à votre nouvelle maison.

Une trentaine d'araignées arrive aux pieds d'Harry, sortant de leurs cocons, leurs toiles et maisons. Harry eut un sourire ravis et montre ses vêtements.

— Venez sous mes vêtements, il ne faut pas que tante Pétunia ou oncle Vernon vous voit !

Sans attendre leurs restes, les araignées de toutes tailles et de gabarit différents montent sur les tissus de ses vêtements.

— Je risque de bouger alors n'hésitez pas à vous accrochez.

Plusieurs murmures venant des araignées est signe pour Harry qu'elles avaient compris. Reprenant le plumeau, Harry commence alors le ménage sous les menaces des petites araignées. En effet, il détruisait leurs maisons et ses petites arachnides décidèrent entre-elles de mené la vie dure pour cette horrible femme.

Lorsque toute traces de toiles furent sur le plumeau, Harry se dirige vers le jardin pour le secouer sous l'énorme et massif hortensias qui est planté juste sous la fenêtre du salon. Pétunia voyant par la fenêtre ce que fait l'enfant elle l'interrompt en lui lançant des menaces à tout va. Il devait secouer cet immondice loin de la maison. En soupirant, l'enfant se dirige vers le trottoir du Privet Drive pour ne pas se faire disputer plus que de raison.

Plusieurs maisons plus loin, Harry retire les toiles du plumeau, laissant le vent emporter les maisons de ses amies. Un brouhaha monstre se fait entendre sous les vêtements sale de Harry.

— Silence vous tous. Dis l'enfant aux araignées, je vais rentrer. Il ne faut pas qu'ils vous entendent.

Les paroles de l'enfant eut don de faire taire toutes les araignées en même temps. Il ne savait pas que lui seul pouvait les entendre, il préférait ne pas tester sous peine de se faire disputé. Harry remercie en souriant ses amies et entre dans la maison avec un plumeau propre. La femme de la maison prend vivement l'objet des mains d'Harry et le regarde avec dégoût.

— Voilà tante pétunia, j'ai terminer.
— Va-t'en.

Harry entre rapidement dans son placard et soupire de soulagement. Heureusement que oncle Vernon n'a pas passer à l'aspirateur les toiles. Il ne voulait pas que ses amies finissent par mourir. En ouvrant son chemisier à carreau, Harry libère les araignées des tissus étouffants.

— Voilà, c'est ici que je vis. Prenez la place qu'il vous plaira.

Les araignées rejoignent leurs congénères dans un brouhaha assourdissant. Harry était persuadé que des couples se formerait. En souriant joyeusement, Harry entame la conversation avec certaines d'entre elles. À nouveau, Harry avait fait une bonne action en protégeant les arachnides.

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C'était un mardi lorsque Harry relève le courrier, une araignée sur son épaule. Jetant un coup d'œil dans les lettres, Harry découvre avec stupeur qu'il y en avait une pour lui. En souriant, Harry glisse cette lettre sous sa porte et demande en murmurant à l'araignée de ce cachée. Celle-ci ne se fait pas priée et décide de se glisser sous son t-shirt.

Alors que la famille Dursley déjeunent en écoutant les nouvelles venant de la télévision, Harry s'approche de sa tante. En tendant les lettres, Harry patiente que celle-ci lui donne autre chose à faire. Pétunia s'en rend compte et lui ordonne de faire la vaisselle.

Harry se met rapidement à faire la vaisselle, écoutant les nouvelles. Rien de bien intéressant dans le Surrey. Lorsque la vaisselle fût faite, Harry eut pour consigne de retourner d'où il venait, c'est-à-dire dans son placard sous l'escalier.

C'est alors avec joie que le gamin retourne dans son placard, saisissant la lettre avec impatience. Il voulait savoir ce qu'elle contenait, pour peu qu'une personne pense à lui. En prenant soin de lire le devant de la lettre, Harry fronce les sourcils "Dans le placard sous l'escalier", comment cette personne sais où il dors ? Derrière la lettre, un cachet avec un nom y est inscrit. Poudlard. Qu'est-ce que c'est ? En ouvrant la lettre avec une légère inquiétude, Harry découvre que la magie existe bel et bien. Est-ce une blague ? Harry devait en avoir le cœur net alors en sortant de son placard, il décide d'affronté son oncle et sa tante. Les mains tremblantes, Harry prend la parole, sous les yeux ébahis et peureux de sa famille.

—La magie existe ?

Tandis que Vernon s'époumone, Pétunia ferme les yeux résignée.

—Non garçon ! Pourquoi racontes tu des choses pareilles ?
—J'ai reçu une lettre. Poudlard.

Vernon deviens livide, tandis que Pétunia soupire en passant une main tremblante sur son visage pincée.

—Jamais m'entends tu bien, jamais tu n'ira dans cette école pour monstre !

Sous ses paroles, Harry fut malmené jusqu'à ce que Vernon le balance dans son placard et le ferme à double tours. La magie existe donc bel et bien.

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Huhu. Voici le chapitre deux.

Je vous fait plaisir en vous le publiant maintenant haha. De nouvelles capacités vont arrivé pour Harry. Il n'est qu'au début de ses peines.

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