Power. []IN PROGRESS[]

03.

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Il faut s'accrocher pour ses rêves.

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Harry ne se plaignait pas. Il allait dans deux jours partir pour Poudlard, l'école des sorciers et il est complètement surexcité. Il allait partir de cette maison infâme, ne plus revoir l'air pincé de Pétunia, l'horrible voix de Vernon et les coups bas de Dudley. Il en rêvait depuis tellement longtemps qu'il a l'impression que tout ceci n'est qu'un rêve.

Pourtant lorsque le géant surnommé Hagrid est venu le chercher pour le conduire au Chemin de traverse, tout était bien réelle. Et les objets qui encombre son petit placard est réel ! En souriant à son nouveau familier, une araignée ayant un ventre noire, les pattes et sa tête sont beige, Harry l'apprécie pour sa compagnie. Celle-ci n'as pas encore de nom, Harry veut être sûr de bien choisir. Cette araignée est de la taille de la main de l'enfant, cette dernière se trouve souvent sur son épaule quand Harry la laisse en liberté. Elle est d'une compagnie agréable et elle as fais connaissance avec les autres compagnes de Harry.

C'est en se réveillant le 30 août, Harry eut le sourire aux lèvres. Rien ne pouvait gâcher se moment et il espère que cela dure. En préparant le petit-déjeuner sans que tante Pétunia n'eut à le réveiller et lui dire, Harry dispose sur la table tout les aliments pour que la famille puisse déjeuner. Saisissant un bacon, Harry le mange rapidement pour ne pas se faire attraper, manquant de se brûler.

Lorsque la famille Dursley fût dans la salle à manger, ils restent pantois devant le festin que leurs as confectionner Harry. Bien entendu, Vernon et Pétunia ne relève pas et s'installe malgré tout. Dudley avait l'eau à la bouche et décide de manger directement.

Harry n'eut aucun remerciement, aucun regards. Mais ce n'était pas grave, il avait l'habitude et il comptait bien ne pas s'en formaliser.

— Garçon. Tonne la voix de Vernon, en colère. Fais la vaisselle.

En voyant les assiettes vides, sauf celle de Dudley, Harry débarrasse essayant de ne rien faire tomber. À la moitié de la vaisselle, la voix tonitruante de Vernon fait frissonner le gamin.

— Apporte moi mon café garçon.
— Oui oncle Vernon.

Le gamin délaisse la vaisselle pour remplir la tasse de café. En se brûlant les mains, Harry sursaute et laisse tomber la tasse remplie, brûlant au passage ses pieds.

Tentant de ne pas se brûler d'avantage, Harry s'éloigne des dégâts. Cependant Harry finit par s'écorcher les pieds à cause des bouts de verres qui traînait au sol.

Plusieurs hurlements venant des deux adultes fait tressaillir Harry qui grimace dû à la douleur. Malgré les lancements de ses pieds Harry ressent quelque chose couler entre ses orteils, il est ouvert.
Il n'eut pas le temps de vérifier si les plaies ne sont pas importante qu'une poigne saisit son t-shirt et le balance à terre.
Un gémissement franchit les lèvres de Harry lorsque sa tête cogne contre l'armoire de la cuisine. Plusieurs coups  violent atterrissement dans le ventre du gamin de onze ans, lui coupant sa respiration.

— Tu as cassé une tasse ! La vaisselle de ma femme ! Hurle Vernon, continuant de frapper le petit garçon.

Tandis que Harry arbore une position fœtale afin de protéger son torse et sa tête, il entend par dessus les injures de Vernon d'autre cris. Ceux de ses amies. Tout se passe ensuite très vite, Pétunia hurlant à Vernon de tué les araignées qui arrivaient en masse, Vernon qui ne prend même pas attention à sa femme, continuant de frapper le gosse dans une rage incontrôlable.

La horde d'araignée de toute taille et de forme différentes se pose sur les jambes du gros Vernon, le piquant, le mordant à souhait. Le faisant peur, Vernon tente de se débarrassée des arachnides tandis que certaines chuchote à l'oreille du survivant.

— Viens avec nous Harry, partons.

— Tu peut le faire ! Lève toi, il faut partir.

Alors que Harry se redresse avec difficulté, certaines araignées s'agrippe aux vêtements large du bonhomme. Le gamin se dirige vers la porte d'entrée rapidement malgré les hurlements agaçant de Pétunia, délaissant la famille Dursley joyeusement. Il ne voulait plus avoir affaire à eux et c'était le moment de partir. Le visage tuméfié par les coups, Harry cours aussi vite qu'il le peut dans le quartier du Privet Drive, rejoignant le parc de la ville.

Harry as finalement dormis dehors, cela ne changeait pas de d'habitude. Quand Harry dépassait les bornes, Vernon le laissait dehors comme un chat de gouttière. L'enfant n'avait donc pas eu peur de dormir sous les étoiles malgré la dangerosité du monde moldu. Harry ne prenait pas conscience que c'était dangereux pour un enfant de dormir dehors, pouvant se faire kidnappé où d'autres choses peu envieuse à un enfant. Les pieds de l'enfant se sont infecté, le faisant gémir de douleur à chaque pas qu'il faisait. Les araignées lui ont bien gentiment fait un cataplasme de toile afin que la blessure ne s'aggrave pas et comme par magie cela ne s'infecta pas plus.

Le premier septembre arrive rapidement et c'est honteusement que le gosse se trouve dans le salon de Vernon et Pétunia à neuf heures du matin. En recevant une gifle pour tout un tas de raisons, Harry baisse la tête, laissant les deux adultes lui cracher à la figure qu'il n'était qu'une monstruosité. Malgré tout, Vernon conduit hâtivement Harry à la gare King's Cross, lui disant qu'il ne devait pas revenir même si l'année scolaire était terminée. Il le mettait à la porte. Comment Harry allait faire ? En se rongeant les ongles durant le voyage, Harry sort rapidement de la voiture lorsqu'ils arrivent devant la gare. Vernon démarre rapidement, s'éloignant de la monstruosité qu'était l'enfant. 

En soupirant de lassitude, Harry tire ses affaires derrière lui et entre dans la gare tentant de trouvé la voie 9 ¾. Hagrid lui as obligé d'avoir une chouette qui était indispensable selon lui, malheureusement les Dursley ne voulait pas d'une telle monstruosité chez eux alors ils l'ont placé dans le garage. En soupirant, Harry observe sa chouette blanche et lui sourit doucement. Il espérait que cette année dans ce collège allait être bien. Il ne voulait pas se faire frappé ni insulté. Se faire des amis n'était pas important pour lui. En errant dans la gare, Harry fronce les sourcils en voyant un gamin aux cheveux blond possédant les mêmes valises et cage que lui devant la voie entre 9 et 10. C'est avec une certaine curiosité que Harry s'avance vers celui-ci un léger sourire timide aux lèvres.

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J'ai écris ceci lorsque j'avais mal au crâne. Un peu d'indulgence haha.
J'espère que ça vous plaît tout de même.