tu m'as detruite

chapitre 17

Clarke 

bellamy m'emmène dans la véranda, on s'assied au bord de la piscine, il commence ainsi son explication de la situation. 

-l'un des gangs a infiltré quelqu'un il y a un moment pour surveiller leur gang et pouvoir nous prévenir de la moindre décision nous concernant, il leur a communiqué ce matin que l'attaque serait lancée cette nuit quand on serait censé dormir, et que pratiquement tout le monde allait y participer c'est à dire une quinzaine de mecs, on peut les battre rien qu'en nombre. Les chefs de gangs ont appelé Marcus ils nous envoient des gens cet aprèm et ce soir, ils se cacheront et sortiront quand l'attaque débutera. Les filles et toi, vous serez cachée dans la salle d'entraînement pendant qu'on se charge du reste 

je hoche la tête négativement mais il continue malgré tout

-tu n'as pas le choix, on ne vous laisse pas le choix, on aura des gilets par balle, on a déjà préparé où chacun va se poster. Les ordres viennent de Marcus donc tu obéis, de plus je ne veux pas que tu te mettes en danger inutilement alors qu'on va gérer, ça sera vite réglé, je te le promets. 

Il m'embrasse le front et s'en va, me laissant gober l'énorme connerie qu'ils sont en train de faire, j'ai un mauvais pressentiment je sais que ça va mal se passer, je le sens. Je retourne dans ma chambre bien déterminée a dormir un peu en tentant d'oublier ce qu'il va se passer, ou plutôt le massacre qui va se produire. 

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tout ce dont je me rappelle c'est les cris incessants, les bruits sourds de détonation d'armes à feu, et enfin moi qui tire à plusieurs reprises. Je ferme les yeux rien que quelques secondes pour reprendre mes esprits, Octavia me tire par le bras et m'attire à l'extérieur de la maison, je ne veux cependant pas quitter ceux qui s'y trouve encore, comment les quitter après ce qu'il vient de se passer, plusieurs ambulance arrive, ainsi que la police. Une vive douleur, un visage, et puis plus rien 

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bellamy 

cela fait deux jours que ça s'est produit. Je ne sais pas par où commencer si vous lisez ces mots c'est que probablement vous ne savez pas non plus ce qu'il s'est passé, je vais vous racontez le souvenir que j'en aie, il est peut-être erroné. 

tout avait bien commencés on avait cachés les filles dans la salle d'entrainement, armée jusqu'au dent, les autres gangs étaient venus en renfort, ce qui heureusement nous a soulagé mais on ne s'attendait pas a ce qu'ils soient aussi redoutables. Finn et murphy faisaient partis de la partie forcément, on s'est bien battu mais Finn a réussi a accéder à la salle d'entrainement, je me débarrassa donc de ceux qui tentait de m'arrêter mais quand j'arriva le mal était déjà fait, Raven était en train d'agoniser par terre et Clarke avait une arme a feu dans les mains, elle la pointait vers Finn, mais avant que je n'ai pu l'atteindre elle tira, le corps de Finn tomba au sol déversant son sang sur le sol. Clarke fixait le corps de Finn sans aucune émotion perceptible, à l'autre bout de la pièce murphy sortit de sa cachette, avec un fusil à pompe c'est donc lui qui a tiré sur Raven, clarke pointe son arme vers lui mais elle hésita a tirer. Elle lui tira donc dans la jambe choisissant ainsi de l'épargner, une grossière erreur sans doute. Une femme d'âge mûre déboula dans la pièce avec une arme, elle la pointa immédiatement sur Clarke, elle avait un air tellement malveillant sur le visage. Lukas arriva en courant et cria sur la femme, c'est donc elle la fameuse mère de Clarke, elle se tourne vers son fils, et bizarrement la colère sembla s'effacer un peu, elle a donc belle et bien une préférence pour l'un de ses enfants. Elle hésita longuement sur ce qu'elle allait faire avant de se tourner vers sa fille et de tirer. Lukas quant à lui resta figé, j'assomma la mère de Clarke quand des sirènes retentirent, je sortis donc de la maison pour aller voir, les pompiers et la police, on est grave dans la merde là. Je voyais énormément de corps sans vie, mais aussi de corps s'accrochant à la vie, je sentis une douleur me submerger, mais je n'en pris pas compte ma sœur emmenait clarke dehors n'ayant pas vu que sa mère l'avait belle et bien touchée. Elle s'écroula sous mes yeux sans que je ne puisse rien faire.