tu m'as detruite

chapitre 21

Clarke 

les fêtes sont enfin passés, ce fut riche en émotions, entre le repas du réveillon, les cadeaux, et le gui. Que je vous raconte le réveillon, ben on a bien mangé, bien bu, on a profité comme une grande famille. On a ouvert nos cadeaux, vous allez trouver ça bizarre mais je déteste ce moment, enfin surtout quand j'ouvre je préfère regarder les autres ouvrirent, on a reçu beaucoup de choses diverses, autant utile que débile. Mais je pense que mon plus beau cadeau ne fut pas le collier que Bellamy m'avait offert, mais l'annonce de O' et Lin', enfin ce ne fut pas une annonce ils se sont embrassés comme dans les films sous le guis, j'ai trouvé ça magique. Bon la tête qu'il a fait a ce moment là était mémorable, il s'est énervé, mais il a vite compris qu'ils s'aimaient depuis longtemps en secret, il leur a donc accordé sa bénédiction, heureusement pour eux, et pour moi d'ailleurs, un Bellamy énervé est relou, et bien moins câlins, et je ne me couche pas tant qu'il ne m'a pas fait l'amour. Kane nous a aussi annoncé que la maison serait de nouveau habitable dès début janvier, c'est ainsi que en ce 2 Janvier les autres préparent leurs affaires pendant que nous réfléchissons Bel' et moi, à ce qui serait le mieux pour nous. On a passé une fin d'année géniale, j'ai terminé l'année en l'embrassant et je l'ai commencée de la même façon, on se demande si on ne devrait pas rester ici. Malgré qu'il n'y ai pas de système de sécurité, on se pose beaucoup de questions auxquelles on espère répondre rapidement. Je suis en train de me préparer dans la salle de bain collective, qui bientôt ne sera qu'à nous comme le reste de la maison d'ailleurs, je pense qu'on va se sentir bien seul, sans toute l'agitation que les autres provoquaient. Mon téléphone se met à sonner en émettant ma sonnerie stridente dans toute la salle de bain et en coupant aussi ma musique, je déteste qu'on interrompe mes expériences musicales. Mais je me décide à décrocher juste pour en finir avec cette sonnerie. 

-Allo?
-Clarke? 
-Qui est à l'appareil? 
-C'est lukas
-Lukas? Mais où es-tu? on te cherche depuis des semaines 
-Je suis de retour en ville faut qu'on se voit rejoins-moi, je t'envoie l'adresse

Et il raccroche, il a l'air plutôt mal en point, je finis de me préparer en vitesse, je descends difficilement l'escalier, j'embrasse Bellamy, je m'apprête à m'en aller quand il me tire le bras

-tu vas où là?
-Lukas veut me voir
-où?

Je lui écris donc l'adresse pour le rassurer et après l'avoir embrassé une dernière fois je m'en vais. Je rentre l'adresse dans le GPS et m'y précipite, sa voix m'a vraiment inquiétée, je sentais que quelque chose n'allait pas, et je n'arrivais pas à savoir quoi. J'arrive devant l'entrepôt, et je rentre dedans 

-Lukas? Lukas t'es où? 

personne ne répond, personne ne vient, je prend donc mon téléphone et appel son numéro. Le téléphone sonne dans le vide, je me retourne donc pour sortir de l'entrepôt, quand une détonation se fit entendre. Et ce fut la dernière chose que je pu entendre

Bellamy

je sens que quelque chose cloche, j'ai un mauvais pressentiment, j'essaie d'appeler Clarke en vint, cela fait deux heures qu'elle est partie et que je n'ai pas de nouvelles d'elle. J'espère qu'elle va bien, je réquisitionne donc Wick, et Lincoln pour aller jeter un coup d'œil à l'adresse que Clarke m'a communiqué, je conduis comme un fous juste pour pouvoir vérifier qu'elle va bien. Je suis protecteur, je le sais, mais j'ai déjà failli la perdre tellement de fois, comment je ferais sans elle, j'en mourrais si elle venait a disparaître, ou pire être tuée. On arrive dans l'entrepôt, on avait eu la jugeote de prendre des armes, on ne sait jamais, l'intérieur de l'entrepôt semblait avoir été victime d'une explosion, des éclats de bombe étaient éparpillés un peu partout dans la pièce. Mais je me glaça quand je distingua une marre de sang au niveau de l'entrée, Clarke était là, et quelqu'un l'avait soit tuée, soit enlevée. Son frère faisait partit du piège qui lui avait été tendus, quel traître... Je commença a frapper la porte de l'entrepôt de toute mes forces, je n'ai rien maîtrisé comme d'habitude, et une fois de plus je manque de la perdre, peut-être l'ai-je déjà perdu. Quelqu'un me tire en arrière, mes mains sont en sang, elle n'est plus là, une larme roule sur ma joue.