Jadis maison de métayers,
Bordée parles arbres et les buissons,
Ancienne dépendance du château d'Argenson,
Aux abords de Maillé.
Son escalier de pierre et sa rampe en fer forgé,
À côté de l'avancé de toit en ardoise
Nous donne raison quand on se pavoise,
En disant : « Quelle beauté ! »
Tenant sur un pilier de pierre,
Le préau de la cour est ouvert sur deux côtés.
Des pierres de taille moulurées,
Que je décris en ces vers.
Il y aussi le puits
Avec sa margelle
Et sa manivelle
Que c'est joli !
Les Doucets !Elle avait cinq ans lorsqu'en quarante cinq elle partit.
Le Doucets !J'en avais cinq aussi lorsqu'en soixante quinze j'arrivai.
Peut-être ces deux petites filles, séduites par l'endroit,
Obtinrent ainsi le goût de l'écriture et de la poésie.
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Recueil de poèmes
PoetryQuand un poème me vient à l'idée, je le note là ! Du coup, la publication sera forcément très très irrégulière.