J'avais reçu ces lettres , ou poèmes, plus tôt cet après-midi. Nous venions d'arriver à Los Angeles, et beaucoup de fans nous avaient accueilli à l'aéroport. Quand j'ai pu nager à travers la foule jusqu'à la voiture de sécurité qui nous ramènerait, les gars et moi, à la maison, une fille dans une veste à capuche est venue vers moi et m'a donné une petite boîte bleue. J'avais rencontré ses yeux pendant une seconde, ils étaient le plus bleu que je n'ai jamais vu, encore plus dynamique que ceux de Luke. Puis elle s'est enfuit. Elle n'a même pas demandé une photo que je aurais pu heureusement donné.
La voiture nous a emmené à l'endroit où nous devions aller. L'atmosphère dans la voiture était remplie de bavardage insensé, dans lequel j'ai participé. Mais de temps en temps la jeune fille dans la veste à capuche faisait son chemin dans mon esprit et je restais confus et sans voix.
Nous sommes arrivés à notre appartement qui était un peu trop grand pour quatre garçons désordonné. Le vol de quatorze heures nous avait fatigué, et à la minute où nous avons poser le pied sur le plancher de bois, nos jambes nous ont immédiatement diriger vers nos chambres respectives.
"Si l'un de vous perturbent mon sommeil, je vous arrache vos tête." Michael grommela endormi.
Nous avons répondu une série de marmonnement, nous savons tous que un Michael fatigué est un Michael grincheux.
Je vais dans ma chambre, et la regarde. Ça fait un moment depuis que j'ai été ici, huit mois pour être exact. Huit mois de voyage autour du monde et de jouer devant des milliers de personnes. Les murs bleu clair sont les mêmes, si ce n'est un peu poussiéreux. Un lit kingsize simple, blanc, se trouve dans le centre de la pièce, et un bureau est pas trop loin. Un petit placard de plein-pied est à l'extrême gauche du lit, et je marche là pour transférer mes vêtements de mes bagages. J'ouvre paresseusement l'énorme sac, renversant accidentellement le couvercle trop fort, l'amenant à faire renverser une petite table et la faire tomber au sol. C'est une bonne chose qu'il n'y avait rien dessus. Il y avait un aquarium avec un poisson vivant à l'intérieur, mais il est mort il y a quelques temps. Soupirant, j'ai replacé la table à sa place d'origine et commença à déballer.
Après environ vingt minutes, j'ai finalement fini. Je me laissa tomber dans mon lit, et j'ai couvert mon visage entre les oreillers. Dieu, l'Australie me manque.
Nous devions rester ici à Los Angeles pour environ un mois avant de pouvoir rentrer à la maison.
Maison.
Quelque chose remue en moi quand je pense à la maison. Et pour une quelconque raison, je me souviens de cette boîte bleue. Je me suis levé pour prendre l'objet de mon sac à dos et presque instantanément, l'image de la jeune fille à capuche se précipite de nouveau dans mon esprit, si vite que une pointe de douleur m'a frappé et je suis tombé en arrière momentanément.
Je me sens nerveux.
Mes mains tremblent et mon cœur bat trop rapidement et des perles de sueur commencent à se pointer sur mon front. J'ouvre prestement la boîte, et à l'intérieur, j'ai trouvé des morceaux de papiers. Les mots sont écrits dans une écriture cursive soignée.
Oubliant mon décalage horaire, j'ai commencé à lire.
-
"Mec, tu ressembles à un zombie." Ashton rit de mon visage tandis qu'il pris un siège en face de moi. "As-tu dormi?" Demanda-t-il, mettant de la vegemite sur son toast.
La vérité est, je n'ai même pas fermer un oeil. Les lettres - poèmes - m'ont gardé réveiller toute la nuit. J'avais pourtant reçu des lettres de milliers de fans, alors pourquoi cela me tracasse autant?
Peut-être que c'est juste la façon dont elle l'a écrit, si plein d'émotion et si brut.
"Hey cal, tu vas bien?" Luke entra dans la cuisine et tapota ma tête, agrandissant ma douleur. Je gémis, appuyant mes coudes sur le comptoir et frottant mon visage avec mes mains.
"Est-ce que j'ai l'air d'aller putain de bien, Luke?" J'ai dit à travers mes mains
Les deux garçons se moquaient de moi. Et pendant un instant, je suis énervé. Ils n'ont pas le droit de rire de moi, ils ne savent pas ce qu'il se passe.
Est-ce que je sais ce qu'il se passe?
"Qu'est-ce que tu as?" Demanda luke, occupant le siège à côté de moi. Il nous manque seulement Michael, et ce serait un petit déjeuner complet. Mais bien sûr, il dort encore. Il a tendance à beaucoup hiberner.
Dois-je leur dire? Dois-je leur parler des poèmes?
Ils vont simplement se moquer de moi à nouveau, comme ils l'ont fait il y a à peine deux minutes?
Mais avant de pouvoir penser, les mots sortent de ma bouche: "j'ai reçu des lettres."
Ils me regardaient bizarrement.
Je savais que cela arriverait putain.
"Ce n'est pas pour paraître narcissique, mais nous recevons des lettres tout le temps, Calum." Ashton déclara, en prenant une bouchée de son toast.
"Non, vous ne comprenez pas. Celles-ci sont différentes. Ce sont des poèmes... et ils me font sentir... " Je m'arrête, ayant de la difficulté à trouver le mot correct. "...quelque chose comme, de la familiarité? Je ne sais pas, mec. c'est effrayant. Bordel c'est effrayant," je fronce les sourcils.
"Pouvons-nous les lire?" Demanda Luke.
Je me raidis instantanément, me sentant un peu sur-protecteur des lettres, de mes lettres. J'ai l'impression qu'elles n'ont été réservés que pour mes yeux, seulement pour moi.
Ils doivent avoir vu l'hésitation dans mes yeux, car ils ont levé leurs mains en signe de défaite.
"Bien, tant pis, oublie ce que j'ai dit," marmonna Luke.
J'ai soupiré.
Ce n'est pas bon.
Ça me rend fou.
Mes respirations deviennent lourde, qu'est-ce qui ne va pas avec moi? Calme toi putain!
J'ai pris rapidement un toast dans l'assiette d'Ashton et claqua la porte de la cuisine jusqu'à dans ma chambre, mangeant sur mon chemin. J'ai sorti la boîte de mon dressing, où je l'ai caché sous plusieurs chandails.
J'ai ouvert le couvercle et pris toutes les lettres et j'ai commencé à sentir les papiers.
Je ne sais même pas pourquoi je fais cela, je le fais juste.
Je ne sens rien. Rien ne sort de l'ordinaire. Je me lève et tourne autour de la salle, passant une main dans mes cheveux dans la frustration, gardant les poings serrés.
Qu'est-ce qui ne va pas avec moi ?!
Je repère la boîte bleue sur le sol, et je marchais la courte distance pour l'obtenir. J'ai tourné et retourné la boîte entre mes mains, puis j'ai entendu un doux thud, thud, thud de l'intérieur. Confus, j'ai ouvert la boîte, mais il n'y avait rien, juste le mot quinze griffonné à la main dans le fond. J'ai tourné la boîte à l'envers, et une minuscule lampe de poche y est tombé. Il y avait un compartiment secret. J'ai pris la lampe de poche et l'alluma, éclairant la pièce. La lumière violette rebondit sur mes murs, mais je ne comprenais pas.
Puis tout à coup, ça m'a frappé.
J'ai attrapé le premier poème et flashé à travers le papier.
C'est de la lumière violette - vous savez, celle utilisée pour l'encre invisible.
Mon cœur battait avec impatience, tandis que j'éclairais avec la lumière à travers chaque morceau de papier, mais rien ne sort. Mais sur le dernier poème, juste à côté de la dernière ligne, trois mots montrent :
"vient me trouver"
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eccedentesiast // c.h (version française)
Fanfictionje ne connais pas cette fille, je ne sais pas ce qu'elle veut de moi. je ne sais pas ce que signifient ces poèmes. je ne sais rien du tout, mais une chose: je vais la trouver. traduction officielle de eccedentesiast de ghxts-