Prisonnière

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Chaque jours je suis revenu te voir, essuyer tes larmes avec tous le papiers que j'ai pût trouver. Mais chaque jours tu pleurait à nouveau, je te voyais, enfermé dans toi-même, tu ne voulais plus m'entendre quand je te disais que je t'aimais plus que tout. Tu faisais peur à voire, livide, de gros cernes bleuté précédait tes yeux. Chaque jours j'ai tenté d'effacé ta tristesse, c'était perdu d'avance, c'était un seul espoir dans une étendue de désespoir, il était si petit que je n'ai pas sut le trouver.

Tu t'es dit que c'était de ta faute si je n'étais plus là, je te disais que non, c'était ma décision. Et tu ne pas pas savoir ma joies, quand lui, il t'as expliqué ce que je te disais. Il avait trouvé l'espoir que j'avais échoué à te donner. J'étais heureux, je pouvais partir en paix.

"Il est mort, il ne reviendra pas, mais il t'aime toujours."

Les recueils d'une vieille chouetteOù les histoires vivent. Découvrez maintenant