La mort d'une étoile

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Je n'aie jamais crue aux étoiles filantes. Ont as beau me répéter que ce n'est pas une croyance, où est l'intérêt de demander à un phénomène naturel d'accomplir quelque chose.

Je n'aie jamais souhaiter quelque chose, ou alors enviés quelqu'un, je n'ait aucun désire. Je ne demande jamais rien, et la jalousie ne me ronge pas lorsque qu'on se vante. À la mort de quelqu'un, j'accepte cette réalités, et je ne souhaite pas qu'il revienne à la vie. Quand je n'aie pas quelque chose, je ne veut pas l'avoir, je ne choisie pas les chose que j'ai, car je n'aie pas de goûts distincts.

J'ai 15 ans, mais je ne désire pas en avoir 16. Ce n'est pas moi qui ais choisie mes amis, comme je ne voulait pas en avoir, ils sont venue à moi et je ne les ais pas repoussée.

Je ne haie personne, et je n'aime personne.

"-Regarde,  Éva, comme les étoiles sont belle ! On dirait qu'elles dansent dans le ciel !"

Alice as 13 ans, elle est ma petite sœur, elle adore les étoiles. Contrairement à moi, elle désire et souhaite, et elle croie aux étoiles filantes, autant qu'elle les trouves belles.

Sur le toit, elle dit qu'on voit mieux le ciel. Surtout l'hiver, quand il neige, car le ciel est plus beau. Je ne voit pas la différence et je n'éprouve pas le besoins de le savoir.

Depuis sa naissance, je connaît le nom d'une maladie, qu'on m'as répété plusieurs fois, pour expliquer les séjours à l'hôpital réguliers que passait Alice. Je n'avait jamais demandés à savoir ce nom, mais on me l'as dit quand même. Pour qu'as sa mort, je connaisse la raisons de son décès.

"-Éva, je voit les étoiles à travers la fenêtre de l'hôpital, j'ai de la chance d'avoir une si belle vue ! "

Les parents donne des surnoms à leurs enfants, Alice, il l'appelait leurs étoile. Pourtant, à travers son cercueil, elle ne pouvait pas dire qu'elle avait une belle vue sur les étoiles. On l'as enterrés en septembre, dans un cimetière où tant de gens repose sous leurs tombe. Mes parents n'avaient plus d'étoile, qui avait cessée de briller dans un lit blanc, là ou elle pouvait contempler ce qu'elle aimait tant à travers sa fenêtre.

Sur le toit, dans la neige, les conditions qu'elle disait tellement aimée. Pour la première fois, j'ai crue aux étoiles, et j'ai désirés. Entendre une dernière fois sa voix qui me chantait le mérite des étoiles, j'ai souhaité aimée les étoiles comme elle les adorais, pour pouvoirs la retrouver un jour, dans le ciel ou elle avait brillé.

"-J'aimerais briller comme ces étoiles, Éva ! Elle illumine ce ciel, et elle me rende heureuse ! Tu pense qu'un jour, je rendrais quelqu'un heureux, Éva ?"

"-Éva ?"

Éva

Est ce que je t'aie rendue heureuse ?

Les recueils d'une vieille chouetteOù les histoires vivent. Découvrez maintenant