Chapitre 4
Partie manquante.New York, septembre 2020, 18h30. Point de vue de Trudie.
Matthews rentra juste avant le repas. La maison était silencieuse. Avec Morgan nous étions entrain d'étudier. Je lui souris, il détourna le regard tout en ouvrant le frigo pour prendre une limonade. Il ne dit pas un mot et continua sa route vers sa chambre. Je le suivais. Quand j'entrai, il me fixa avec mépris. Je m'assis sur son lit avec une tête de chien battu. Il mit ses mains sur ses hanches. Allait-il me gronder ? Puis après m'avoir fixé avec colère, il laissa tomber ses bras le long de son corps et me tourna le dos en levant la tête au ciel. Il n'allait pas me gronder ?
Matthews : qu'est-ce que tu veux Trudie ?
Moi : que tu arrête de me faire la tête...
Matthews : que j'arrête de te faire la tête ? Tu veux pas plutôt arrêter d'être arrogante ?
Moi : Okay, je me suis mal exprimé... Je veux juste te retrouver, c'est déjà trop long !
Matthews : tu ne vas pas t'excuser ?
Moi : si bien sure !
Matthews :...
Moi : je viens de le faire !
Matthews : j'ai peut être pas de répartie mais toi tu ne remet jamais tes paroles en question, voilà pourquoi je préfère me taire. La parole est précieuse et tu la gâches.
Woua, il n'y allait pas de main morte.
Moi : tu le pense vraiment ? Parce que j'ai plus l'impression que tu es entrain de faire la même chose.
Matthews :...
Moi : Tu sais, peut-être que oui je gâche la beauté des mots, mais au moins je suis fidèle à moi même. Je continuerais à argumenter même si j'ai tort, car j'ai de la répartie, peut-être mal placé, mais c'est ce dont je suis.
Matthews : et moi je préfère me taire, surtout avec toi. Parce que je suis comme ça, tout ce passe dans ma tête. Avant, tu étais constamment dans mes pensées, et je n'avais pas besoin de parler, mais maintenant tu n'utilises plus ton pouvoir. Ne viens pas me dire que tu continueras à argumenter quoi qu'il arrive, parce que c'est toi. Tu continues à argumenter car tu ne sais pas te taire.
Moi : je ne veux plus de guerre, je ne veux plus de ces pouvoirs, je veux être normal.
Matthews : tu mens.
Moi : ah bon ? Et comment tu peux le savoir ? Vas y argumente !
Matthews : je ne vais pas rentrer dans ton jeu. Tu veux d'une vie normale ? Et bien pas moi. Je l'avoue, cette vie d'humain ne me plaît pas du tout. Mais je le fais pour toi, parce que tu aura beau rejeter tes pouvoirs, tu aura beau rejeter la guerre, tes responsabilité, on sera toujours linking quoi qui l'arrive. Et ma vie sans toi, elle est vouée à l'échec. Je préfère vivre une vie sans sentiments que mourir de chagrin.
Il allait pour partir mais il se rappela que c'était sa chambre.
Matthews : sors de ma chambre.
Moi : Matthews...
Matthews : s'il te plait.
J'avais deux solutions, obéir et constater que rien n'avait changé. Ou alors, rester et me pardonner, faire ce dont je devais faire depuis le début, ce pourquoi j'avais franchis ça porte.
Moi : je vais arrêter de compliquer les choses, mais avant de m'excuser, j'aimerais juste te dire un truc
Matthews :... (regard nonchalant)
Moi : tu dis que je ne suis plus dans tes pensées car j'ai laissé tomber mes pouvoirs. Mais c'est faux. Je ne m'introduis plus dans les pensées des gens certes, mais des tiennes je n'ai jamais voulu être à l'écart. J'ai beau tenté d'y accéder mais en vain. Tu me fermes la porte. Je ne peux plus lire tes penser. C'est toi qui m'en empêches.
Il fronça les sourcils.
Moi : et j'aimerais savoir pourquoi tu fais ça, parce que je ne veux pas m'éloigner de toi, je ne veux pas passer tout mon temps avec Morgan. Je veux retrouver Matthews Lightwood, celui que j'aime. Alors excuse moi d'avoir être dur avec toi, excuse moi de t'avoir prise pour acquis. J'espère que tu me pardonneras, car je ne veux pas non plus mourir de chagrin, et je ressens de nouveaux sentiments comme la culpabilité ou les regrets.
Je m'approchais de lui et lui pris la main.
Moi : tu sais que tu peux tout me dire, alors si tu n'aime pas cette vie ou autre chose, tu peux, tu as le droit de ressentir des choses.
Il m'embrassa. Mais je ne ressentais rien. Pas de joie ni de colère.
Matthews : je suis désolé.
Cela sonnait comme un adieu. Je ne comprenais pas bien ce qui était entrain de se passer.
Moi : je ne comprend pas ?
Matthews : on peut tout oublier ?
Moi : je ne demande que ça !
Matthews : les conteurs sont a zéro, tu t'ai excusé, je me suis excusé, plus besoin de parler.
Je voulais continuer à parler, car c'est ce que je faisais toujours, mais je l'écoutais, plus besoin de parler. J'espère juste que l'on pourra recommencer à rire ensemble. En retourna dans la pièce à vivre, il n'y avait personne. Ou étaient-ils allé ?
New York, septembre 2020, 18h30. Point de vue de Morgan.
Trudie suivit Matthews dans sa chambre, je n'en pouvais plus de me retenir. Alors, tout en laissant couler mes larmes, je me dirigeai dans la chambre de Trudie. Assise sur la banquette à la fenêtre, je me sentais seule et bizarre. Steve toqua et me regarda. Je devais lui dire...
Moi : personne ne devrait être heureuse comme toi... Tu es bizarre et tu mérites d'être seule.
Steve : Ce n'est pas vrai.
Moi : pourtant ils le disent !
Steve : ils ont tort.
Moi : tu ne mérite que de recevoir mon pied dans ta gueule ! Tu es un monstre, personne ne t'aime.
Steve : Qui te dit cela ?
Moi : tout le monde !
Steve : Tout le monde ? C'est beaucoup.
Moi : tout le monde le pense, mais ils ne le disent qu'avec des regard, ce terminal n'a fait que mettre des mots.
Steve : t'as-t-il fait du mal ?
Moi : il m'a prit pas le poignet, il me l'a serrer fort. J'ai eu mal mais c'était moins douloureux que ses mots. Il m'a dit que j'étais seule et que personne ne voulait de moi et ma bonne humeur que de toute manière je faisais semblant...
Steve : tu ne dois pas écouter ce genre de personne. Tu n'es pas bizarre, tu es unique. Tu sais, on essaye de sauver le plus de personne que l'on peut, mais parfois cela ne veut pas dire tout le monde. Car on ne sait pas qui a besoin d'être sauvé. Tu dois me dire son nom et je pourrais le remonter au lycée, mais tu dois aussi en parler avec tes parents, ils te prouveront que tu n'es pas seule.
Moi : arrête de dire ça ! Je suis seule ici !
Steve : tu n'as pas de parents ? Je suis désolé...
Moi : je n'ai jamais eu de parents, je n'ai eu que Trudie et toi...
Steve : je ne savais pas ta situation.
Moi : Non tu te trompe. Je ne suis pas seule en temps normal, mais ici je le suis.
Steve : qu'est-ce que tu veux dire ?
Moi : je dois arrêter d'être quelqu'un d'autre ! Je suis paumé, personne ne veut de moi ici, mais je ne sais pas comment rentrer. Et puis il y a Trudie, ici je suis sa meilleure amie, là bas elle me déteste !
Je ne pouvais pas m'arrêter de pensées à voix haute et de pleurer ! Je devais dire toute la vérité car j'avais besoin d'eux ! Alors que je comptais aller dans la pièce à vivre Trudie cria mon nom. Avec Steve nous accourûmes. Matthews arriva au même moment que nous.
Matthews : qu'est-ce qui t'arrive ?
Steve : tout va bien ?
Moi : on t'a agressé ?!
Trudie : non, tu avais disparu...
Moi : je n'ai pas disparu, j'étais dans ta chambre.
Steve : tu devrais faire plus attention à ton amie Trudie.
Trudie : qu'est-ce qui t'arrive Morgan ?
Moi : je le suis faites harcelé au lycée.
Trudie : quoi ? Pourquoi tu ne m'a rien dit !
Moi : je ne voulais pas te déranger...
Trudie : comment j'ai fais pour ne pas le remarquer ?
Matthews : tu n'observes pas assez.
Trudie : la ferme Matthews !
Moi : il a pas tort. Peut-être que si tu m'avais regardé avec tes yeux vairons tu aurais vu la vérité sur moi.
Trudie : c'est à dire ?
Moi : peut-être que si tu avais lu dans mes pensées, tu aurais su qui j'étais. Si tu avais suivit ton instinct, celui que Captain America suit toujours.
Tout le monde était surpris, puis ils prirent un air pour faire style que je disjonctais complètement.
Moi : je suis au courant de qui vous êtes, pas besoin de faire genre.
Steve : elle a raison. Puis tu es la meilleure amie de Trudie, on ne doit pas te mentir. Tu n'es pas seule.
Moi : Si je suis seule, je serais seule jusqu'à ce que je vous dise la vérité sur moi.
Trudie : comment tu as su pour nous ?
Moi : parce que je suis...
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Avis ?
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Morgan : La fille d'IronMan
FanfictionLe temps est une chose abstraite. Le présent est subjectif. C'est un mystère que tout les hommes ont cherché à manipuler. Personne n'avait réussi avant elle. Morgan Stark avait perdu ses parents lors d'un combat pour sauver d'autres jeunes. C'était...