Euuuh je sais jamais quoi dire ! Coucou déjà ! Bon pour faire simple, je suis un peu stressée d'avoir votre avis sur ce chapitre parce que, je sais pas :') J'espère juste que ça vous plaira, je suis impatience parce que Lucy rencontre un personnage important dans ce chapitre et dans le suivant !---------------------------------------------------------------------------------------
« Quel est le programme du jour, Mes Dames ?
— Il est prévu que vous rencontriez Sa Majesté le Roi. Ses obligations ne lui permettait pas de vous faire l'honneur de sa présence pour votre arrivée, hier. »
Lucy manqua de lâcher sa tasse. Aujourd'hui, mais quand ? Ce matin, cet après midi ou ce soir ? Allait-elle le voir pour une entrevue privée, ou cette rencontre se ferait devant toute sa suite ? La pâleur soudaine de la jeune princesse inquiéta ses deux dames de compagnie. La Duchesse de Magnolia ne pensait pas susciter une telle réaction, en annonçant l'arrivée du Roi.
« Cela aura lieu après le déjeuner. Sa Majesté le Roi, souhaite vous voir dans les jardins privées de l'Hôtel particulier. »
Lucy se contenta d'hocher la tête, reprenant des couleurs. Savoir qu'elle allait avoir toute la matinée pour se préparer, la rassura. Lucy écouta ses dames de compagnie lui annoncer le programme de la matinée. Apparemment on voulait lui faire visiter les boutiques et ateliers les plus prestigieux de la ville. En plus d'être une ville portuaire florissante, Hargeon était le chef lieu de la bijouterie. Il y avait des mines de pierres précieuses qui entouraient la ville et celles ci étaient exploitées de fond en comble pour créer les plus belles parures du royaume. Grâce au port, des pays du monde venaient acheter leur bijou à Hargeon.
Lucy allait apprécier cette matinée, elle adorait les bracelets et avait hâte de voir ce que proposait le royaume de Fiore à ce niveau là. Lucy avait emmené avec elle très peu de bijou, son père craignant des attaques de bandits ou de pirates. Il avait pourtant fait le nécessaire pour que les meilleurs chevaliers accompagnent sa fille lors de son voyage, mais il avait préféré éviter les risques. Le seul vrai bijou que Lucy avait emmené sans l'accord de son père était un magnifique collier en argent, sertie de diamant et dont la plus grosse pierre en son centre était un saphir.
Il coûtait une véritable fortune, mais c'était le seul cadeau que sa mère lui avait offert pour ses dix ans, avant de décéder de sa maladie quelques mois plus tard. Un vrai drame qui avait marqué l'enfance de Lucy. Quand elle aurait une fille, elle voudrait lui transmettre le bijou, comme une sorte de tradition qui se perpétuerait bien après elle.
« Puis-je me permettre de vous appeler par vos prénoms dorénavant, Mes Dames ? Demanda Lucy
— Vous avez tous les droits, Votre Altesse, répondit la Duchesse de Magnolia. »
La Comtesse de son côté eut un sourire en coin, et Lucy s'en amusa. La forte pression qu'elle s'infligeait pour paraître parfaite, avait fait oublié à la Princesse qu'elle pouvait traiter ses dames de compagnie comme elle l'entendait. Elle avait posé une question inutile, si elle voulait les appeler par leur prénom, qui allait lui en empêcher ? Lucy termina son petit déjeuner et se leva. Ses dames de compagnie l'imitèrent.
« Allons y, je vous suis à travers la ville, Dame Mirajane et Dame Cana. »
Lucy fut donc guidée par ses dames de compagnie toute la matinée. D'ailleurs Levy les rejoignit, une fois dehors. La jeune princesse se rapprocha d'elle pour savoir ce qui l'avait empêché d'être au petit déjeuner. Respectueusement, elle lui répondit qu'elle tenait à ce que Lucy prenne un premier contact seule à seule avec ses dames de compagnie. Lucy la réprimanda, comme une enfant qui avait fait une bêtise, puis elle passa son bras sous celui de Levy comme elle le faisait depuis toujours.
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Vive la Reine!
Fanfiction« Ma fille soit bénie, tu vas devenir princesse héritière du pays le plus puissant au monde. » C'était ce que lui avait dit son père en lui annonçant la grande nouvelle. Un mariage que son père lui imposait. Un coup d'éclat pour Lucy qui n'était qu...