Héritière d'Aslan

chapitre 2

PDV Arianne

Trois longs mois sont passés depuis mon arrivé au manoir ... je n'ai reçus aucune lettre de mon père ... est il toujours en vie ? Ou m'a t-il oublié ? Tant bien que mal j'essaie de chassez cette pensée obscure .

Le professeur Digory est très gentil en vers moi , même si je le vois peu pour tout dire ...dans la journée je dois le voir à peine deux où trois fois . Pour m'occuper j'aide madame Macready dans ses tâches ... on arrive presque à bien s'entendre ... elle a un assez mauvais caractère .

La solitude occupe toute mes journées .... et oui ... j'arrive à m'évader quelque peu dans la bibliothèque ou dans les jardins . Pour pallier à l'ennui constant je dessine , je lis , je cuisine , je me balade quand le temps me le permet .

Mon grand oncle m'a annoncé hier , qu'il allait accueillir quatre autres jeunes , venant de Londres . Quatre frères et sœurs d'une même fratrie . Honnêtement j'espère que nous nous entendrons . Je n'ai jamais une de sœur ou de frère , je suis une fille unique . Parfois je regrettes de ne pas en avoir .

Les quatre enfants , doivent arrivé dans quatre jour , par le train , aux environs de quatorze heures .

Je n'arrive pas à savoir si je suis heureuse de cette nouvelle où bien angoissé , c'est tellement dure pour moi de me sociabilisé . À l'école , je n'avais point trop d'amis , j'étais considéré comme étrangère par les autres enfants car je préférais mes livres plutôt qu'une quelconque poupée ou un jeu .

J'étais différente et je le suis toujours aux yeux de tous .

Mais bon ... j'ai tournée la page .

Le jour j est arrivé , il pleuvait et parfois le soleil se montrait parmi les nuages , ce qui créait des arcs en ciels .

Je suis assise à la fenêtre de la bibliothèque celle qui donne sur l'allée du jardin , la pluie perlait et à certain moment battait la vitre . Mes doigts pianotaient d'ennui le rebord de la fenêtre , mon regard se perdait au loin , j'observais la flore et la faune par temps de pluie . J'ai vu quelques écureuil roux , des grenouilles et une biche et son jeune faon . Ce n'est pas en ville qu'il y a une telle faune . Je n'ai pas trop de regret d'avoir quitter mon nid en guerre pour trouver ce sanctuaire calme et silencieux , très proche de la nature juvénile et des arbres centenaires .

La pluie se stoppe . Et le soleil montre à nouveau le bout de son nez , me baignant de la lumière . Cacher par fois par des nuages qui fuient vers le nord grâce au Borée , le vent du nord .

Parfois je me demande se quecela fait d'être libre comme l'air . Je commence à rêvasser .

Le bruit des pas du chevalde Madame Macready , tirant la calèche me sorte de mon rêve , jeles vois arrivé , je ne bouge pas de mon refuge . Ils sont arrivés.

La gouvernante descend ,les quatre jeunes font pareils . Ce sont deux Garçons , deux filles.

La plus jeune fille à les cheveux bruns très claires couper en un carré , ils sont légèrement bouclé , elle est habillé d'un long manteau et d'un béret couleur kaki ,son aînée , à les cheveux d'un brun très foncé qui tire presque sur le noir , ils sont longs et comme sa jeune sœur ils sont de nature bouclé , elle porte un cardigan bleu marine et jupe avec un motif tartan bleu et rouge . Le plus jeune garçon à les cheveux bruns – noirs , ils sont coupés court . Il porte un chemisier beige et tient entre ses mains sa veste et enfin l'aîné le plus grand à les cheveux court blond sable et porte un très long manteau de couleur bleu marine tirant sur le gris .... chacun on une valise et une sacoche à laquelle est accrochée une étiquette . J'avais la même pour prendre le train .Ils entrèrent dans la demeure .