Agent 432

Partie n°XXVIII

Avant d'aller voir, je vais dormir une petite heure. Je dois avoir l'esprit reposé pour négocier avec lui.

Mon réveil sonna. Je le chercha avec ma main. Je balança mon portable par terre. Il va bien finir pas s'éteindre.

Je me leva avec difficulté de ce qui me servait de lit.

Il était huit heures du matin. Tout le monde doit dormir à cette heure là. Tant mieux, je ne veux croiser personne.

Je sais que le chef ne dort pas.

J'enfila un jean noir et le premier tee shirt qui vint.

Après, je me dirigea décidée vers son bureau. Je toqua.

Chef: Entre. Je sais que tu veux me parler, Azu.

Je pénétra et m'assit en face de lui.

Chef : Je sais de quoi tu veux me parler. Vas y qu'on en finisse...

Azu : Kai s'est réveillé hier. Il ne peut pas reprendre comme la moitié des gens que je connais bien ici. Hier soir, j'ai trouvé que les gens qui leur ont fait subir ça sont un gang reconstruit après la dernière confrontation.

Chef : Je savais qu'ils étaient reconstruit. J'ai déjà un espion là bas que tu connais. Wonho.

Azu : C'est vrai qu'on le voyait plus. J'ai une proposition à vous faire : laissez moi aller les prévenir du danger de nous attaquer. Je suis sûre que ça vous arrangera. Chacun y gagne dans cette intervention.

Chef : Agent 432, je ne vous laisserai pas faire ça. Ils sont inoffensifs pour l'instant. En plus, je te connais depuis longtemps, tu ne ferai pas ça juste pour te venger, si ?

Azu : Il n'y pas que ça, j'ai une preuve irréfutable que ce sont eux. Si on les laisse faire ce qu'ils veulent, vous savez autant que moi comment ça va finir.

Chef : Alors, tu veux quand te venger ?!

Azu : Et alors ? Qu'est ce que ça peut vous faire ce que je ressens vous tant que ça vous arrange ?

Chef : Je ne veux pas que l'opinion que j'ai pour toi change !

Azu : Mais combien de fois m'avez vous demandé des personnes que je connaissais même pas ? Et, vous me parlez de l'opinion que vous avez sur moi ? Qu'est ce que ça change une dizaine de morts ?

Chef : Je ne veux pas, c'est tout.

Azu : Mais, qu'est ce qu'il vous empêche ? Le fait que je me venge ? Une autre guerre de clan ? Notre implication là dedans ?

Chef : Je ne veux pas d'autres tueries d'innocents. Nous sommes des tueurs à gages, nous ne tuons que si quelqu'un nous le demande en échange de l'argent. Nous ne tuons pas des membres de gang comme ça sans demande d'un autre clan.

Azu : Et, si un chef de gang nous le demande ?

Chef : On le verra.

Azu : Bien.

Chef : Qu'as tu en tête, Azu ?

Azu : Vous verrez bien en temps voulu. Par contre, si vous ne respectez pas votre promesse, je vous tue. C'est pas grave, si vous m'en croyez pas capable. N'oubliez juste pas que vous avez formé un monstre.

Je parti sur ses mots.

Je sais très bien où trouver un chef de gang même si il a plus ses fonctions ni de membres. Son poste reste le même.

J'espère juste qu'il va accepter.

J'entra dans sa chambre en toquant doucement. De toute façon, il ne peut pas bouger encore.

Azu : Salut, j'ai un service à te demander.

Il me regarda droit dans les yeux.

Kai : Qu'est ce que je peux faire pour toi ?

Azu : Je crois que tu connais mes intentions par rapport à ce qu'ils t'ont fait ... Et je sais ton opinion là dessus mais j'ai besoin d'un petit papier.

Kai : Non, il est encore de question que je participe à ça. En fait, ils nous ont fait du mal mais c'est pas pour autant qu'il faut les buter. Grandis un peu !

Azu : Mais comprends moi un peu. J'ai toujours résout mes problèmes comme ça. Et, mes émotions et mon instinct me dictent de faire ça. Je dois les tuer pour aller mieux. Je veux te dire tout ce qui se passe dans ma tête mais tu comprendras pas et je ne sais pas comment te le dire.

Kai : Je crois comprendre ce que tu ressens. J'aurais agit pareil si tu étais à ma place. Mais, essaye de comprendre mon point de vue. Ce n'est pas en les tuant que l'animosité entre les tueurs à gages comme nous et les gangs disparaîtra. Elle ne fera que augmenter.

Azu: Je m'en tape, Kai. Cela a toujours été comme ça.

Kai : Et tu risques de mourir !

Azu : Et alors, combien de fois je me suis dit ça ? Avant chaque mission au début, j'avais cette appréhension de la mort. Mais, maintenant, je sais qu'elle traîne autour de moi. Mais, j'ai plus rien à faire. Si je meurs, le seul regret que j'aurais est de pas avoir passer beaucoup de temps avec vous mais surtout toi.

Kai : Il y a vraiment qui te fera changé d'avis ? Même pas moi ?

Azu : N'essaie même pas, Kai. Je ne dois le faire sinon je serai jamais heureuse. Sinon, j'aurais toujours ce regret au fond de moi et je ne veux pas vivre avec.

Kai : Azu...

Azu : Merci quand même. Je vais me débrouiller sans.

Je sortis de la pièce en souriant. Bien sûr, il ne faut que je montre que le fait qu'il ne supporte pas dans sa vengeance. Mais, je dois faire avec. Bah plutôt sans dans ce contexte.

Heureusement, je connais sa signature et son écriture.

L'argent que j'ai de côté va me servir aujourd'hui. Je n'ai jamais eu le besoin de me servir dedans. En ce moment, il tombe à point.

J'écris sur un post-it : "Bonjour Chef, vous avez ce qu'il vous maintenant. Je pars ce soir. Azu". Je mis tout le nécessaire dans une grande enveloppe. Je colla le post-it dessus et posa le tout sur son bureau.

Cette nuit, le moment est enfin arrivé.

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Bonjour tout le monde !

Voici un des derniers chapitres.

A bientôt.