Chapitre 5

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Ma courses m'avais emener loin, près de la mer, au dessu plus exactement, j'étais sur une falaise, assez haute, une trentaine de mètre, je marchais sur l'herbe légèrement humide a cause des embrume et me rapprochais du bord, la falaise rocheuse s'enfonçait jusqu'à l'eau et se faisait frappé par les vagues de façon régulière, c'était apaisant. Autours de moi seul le vent dans les arbre et les vagues venais troubler le calme extérieur, moi aussi je voulais cette tranquilliter, peut être que si je rejoigner les vagues ...
Tuer une partie de moi n'est peut être pas possible... Mais moi entière si.

- ne fait pas ça.

Je me reculais inconsciemment du bord avans de me retourner, devant moi se trouver un homme, assez jeune, d'une 20ene d'année

- Si j'était toi j'éviterai, ça peu paraître bien mais ce n'est pas la solution

Les larmes tremper mon visage pourtant paisible.

- Mais je veut être tranquille, je veut oublier...

-oui mais non, tu trouvera autre chose, mais ça tu ne le ferra pas aujourd'hui

Je tournais la tête vers le vide, je veut oublier, juste oublier...

-Désoler...

Je commencer a me rapprocher du bord quand il m'attrapa par la taille et me tirra loins, il me mis sur son épaule et commença a marcher, je le frappais, je lui disais de le me lâcher mais il n'en fis rien, il marcha une minute ou deux

Et me déposa sur une sorte de transat. Un bref coup d'œil autours de moi me montras une caravane, dans une sorte de clairière, avec d'un côtés les arbres et de l'autre le sable. Au loin je peut entendre les vague, régulières...

- qui est tu ?

J'avais formuler cette question sans quitté des yeux la source du bruit, c'est si apaisant.

- je suis quelqu'un de confiance .

Je tournais les yeux vers lui, et me fis transpercer par l'éclat orageux des sien. Intimidée par ce regard acier, je baisait les yeux sur mon pull, qui avais été tâche par l'eau renverser dans mon éclat au réfectoire.

- Je vais te prêter un teeshirt.

- non merci !

- j'ai déjà vu des cicatrice tu sait ? Je doit même en avoir une sacrée dose sous mes tatouages.

Mon regard se releva pour se planter sur ses bras, sans jamais recroiser son regard, ils était couvert de tatouages a l'encre noir, rendu encore plus flagrant par la pâleur de sa peau et le blanc immaculée de son teeshirt. Sur son bras gauche on pouvais voir un papillon tomber en ruine, s'effriter, entourée de sorte de liane qui serpentais de son épaule a sa main. Son bras droits s'étalait des dates, inscrite sur la partit intérieur de son avant bras, et l'extérieur était comme enrouler dans un fil barbelée.   Je ne peut qu'imaginer la signification de ses symboles...

- tu peut parler tu sait, c'est pas moi qui te jugerai, et je suis pas si vieux, j'ai 20 ans bientôt 21. Bon tu le veut en quel couleur ton teeshirt.

- peu importe... je peut me changer a l'intérieur ?

-bien sur viens.

Je le suivi donc a l'intérieur, tout en marchant je l'observa, il était assez grand,les épaules assez larges et les muscles saillant, par dessu le col de son teeshirt on devinais un tatouage qui devais d'étendre dans son dos. J'observais ses bras aussi, striée de petites marques rosée, comme gravée dans le marbre, a jamais tracée dans sa peau, dans son âme. Je pourrais me demander si mes bras seront comme les siens plus tard, mais la question "aurais je droit a un plus tard" s'impose a mon esprit.
Je suis tirer de mes pensée par sa main sur mon épaule, il me montre son bras et me regarde fixement.
- Ce ne sont que des archives Mael, elle témoigne de mon passer, toi aussi plus tard tu pourra regarder tes bras, tes jambes, tes chevilles, et te dire que tu préfère l'avenir. Tiens je t'ai pris du blanc, le noir aurais fait ressortir ta peau et tu est vraiment pâle.

Ses paroles résonnent tandis que je saisis le teeshirt d'une main tremblante "te dire que tu préfère l'avenir" toujours lui, l'avenir qui s'impose a moi... Forcer a vivre dans un avenir que je redoute.. enfin ou je me redoute, l'avenir en lui même n'est qu'une notion, j'ai peur de continuer d'être, de souffrir de me fair du mal. J'ai peur de ce que je pourrais me fair a l'avenir..

-J'ai peur de moi...

Être honnête avec moi même ne me mène qu'à cette sombre conclusion.

Je finis de me changer et ressors de la caravane.

- il te va bien, un peu grand peu être, mais bon

- qui est tu ?

- un ami, un soutien, comme tu veut

- Mais qu'elle est ton nom ?

- ah le nom, notre identité, c'est vrai, qu'elle impolitesse de ne pas t'avoir donner le mien Mael.
Je m'appel Nélho.

- C'est beau

- Je trouve aussi, et toi qui est tu Mael  ?

- pourquoi ça t'intéresse ? Pourquoi tu veut m'aider ? Qui me dit que tu va pas me pousser encore plus au fond du trou ?

- Tu y et déjà non ?

- Surment, c'est pas la question...

- Pourquoi devrai je avoir une raison ? Aider quelqu'un n'est il pas la meilleur motivation ? Te laisser dans cette position, dans laquel j'ai été plus d'une fois, n'était même pas une option.

(00h47 07/03/20)
((892 mots))

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