Suffiras-tu ?

Chapitre 4

De quoi ai je peur ? Cette question tourne dans ma tête depuis la mystérieuse phrase de ma prof, Maëla aurai sûrement répondu "la mort" mais les peur de Maëla se sont éteinte avec elle, aujourd'hui, bien que je ne sois pas suicidaire, si je devais me prendre une balle, je bougerai pas, par ce j'en aurai simplement rien a foutre, je vais mourir ? A ok ... Aucune réaction, ce n'est pas bien mais pas mal non plus, on a pas peur de quelque chose dont on est indifférent.
Non je n'ai pas peut de la mort mais de quoi alors, on a pas peur de rien...

Je suis sortis de mes question par la sonnerie stridente annonçant la fin des cours, pour mois en tout cas car il n'y avais que sport et je ne comptais pas y aller. Je rangea donc mes affaire pour aller au réfectoire et retrouver Michael, mon unique ami.

(03/01/2020 23h54)

- Maëla ! Ça fait longtemps, tu a passer de bonnes vacances ?

- Bonne et toi ?

- Génial, je suis allée chez ma mère....

Je l'écoutait distraitement déballer ses vacance en avançant dans le self, micha remplissait de plus en plus son plateau tandis que le mien n'est composée que d'une pomme et une clémentine.

- Bref elle m'a présenter son mec et c'était sympa.

- Super, je suis heureuse pour toi et t'a mère.

Il me souris et nous attendions quelques instants dans un silence confortable, je le voyer me fixer pendant que j'épluchais lentement ma clémentine, 4 morceau de sucre + 5 pour la pomme, c'était beaucoup non ? Alors clémentine ou pomme ? Du coup vu que j'ai déjà commencer a l'éplucher je vais finir la clémentine et je me réserve la pomme pour se soir, quand je travaillerai la philo...
- ....inquiétant...

- Hein quoi pardon, désoler mika je t'ecouter pas ...

- Je disait que tu manger pas assez et que c'était inquiétant, Mael on ne peut pas vivre seulement avec des fruits. Alors pourquoi tu ne mange que ça ?

- Mais je vais bien t'inquiète pas...

-... Te moque pas de moi, tu crois que j'ai jamais vu tes cicatrice ?

Je baisse inconsciemment mon sweethirt sur mes manche.

- Mael ! Il faut que ça s'arrête !

Se fus la phrase de trop, je me relevait brusquement faisant tomber ma chaise dans mon élan.

- Mais tais toi ! J'en ai besoin tu comprend?! Non tu ne peut pas comprendre ! C'est ma faute, ma faute, seulement ma faute !

PDV EXTÉRIEUR :

La jeune fille était si dévaster par les nombreuses émotion qui se déchaînaient dans sa tête qu'on aurai dit un folle, et c'est ce qu'elle était, folle, folle de regrets, folle de chagrin, folle d'une folie seulement compréhensible par elle et elle seulement, elle était seul, surtout au milieux de cette foule, et elle n'était jamais mieux entourée qu'avec ses démons...
Une fois calmer, il y eu un moment de calme, Mael reprenais son souffle après se coup d'éclat, Mika la fixait sans savoir comment réagir, partager entre la peur, la pitié et la tristesse. Puis elle mis ses main pâle devant sa bouche, se rendant compte de ses propos et s'enfuie en courant, sans même emporter sa clémentine.

PDV Maël(a)

Je courrai, courrais, sans même savoir ou, tout me convenais mais moins d'ici, loin de cette vie, de ses regret, je veut juste oublier, m'oublier.. Pourquoi es-ce si compliquer... Je veut simplement tuer un part de moi... La part de moi qui était la pendant l'accident, JE VEUT JUSTE OUBLIER BORDEL !
Pourquoi moi...

Flash back :
J'ai mis ma robe la plus courte et la plus belle, bien que ma mère m'ai interdis de sortir, c'était la soirée du siècle, interdiction de manquer ça. Je terminai de mètre du rouge a lèvre devant le miroir de ma chambre en observant m'a tenu, juste parfaite, cette soirée sera parfaite ! Après avoir re-vérifier ma tenu une énième fois j'ouvris ma fenêtre sans bruit, Carla ma sœur dormais a côtés et je veut qu'elle se repose. Je sautais agilement en bas de mon mur et me mis en route, Martin m'attendait a un pâtés de maison pour m'emmener.
*
Cette soirée était la meilleur jamais organiser, de l'alcool, des mec, de la musique et même un peu de drogue. Le paradi pour des ado comme nous. Je dansais quand la sonner retentis, je n'y fis pas attention, l'alcool avais bel et bien endormis mes sens, puis la lumière s'alluma suivi d'un éclat de voix :
"PUTAIN Y'A LES KEUF !"
Le temps de rien, j'était au poste, ils avais arrêter tout le monde et ils appelaient les parent les un après les autres... Ma mère aller me tuer...
*

- Putain Maëla mais tu te rend compte de ta connerie ?! Tu fait le mur, tu bois, tu vas en soirée, ou il y a de la drogue, de la drogue Maëla !

Au volant de notre vielle twingo, ma mère me jeter des regard assassin dans le rétroviseur et ma sœur a la place passager fixait la route.

- Merde Maëla ! mais a quoi tu a penser ?!

- Ose me dire que tu ne l'a jamais fait, regarde moi bien dans les yeux maman ! Et dit moi que tu a jamais fait le mur, alors c bon lâche moi !

Elle se retournas vers moi et ouvris la bouche pour répliquer, puis ma sœur hurla, je vis le camion, et tout se ralentis, maman se retourna, juste assez vite pour voir le camion s'écraser sur notre fin pare brise, je hurla, la scène d'horreur devant mes yeux se déroulait au ralentis. Ma mère et ma sœur furent écraser pas l'avant de la voiture, ce fus la dernière image que je vis avant de m'évanouir a cause du choque si bien physique que psychologique.

J'ouvris les yeux dans un salle blanche, un bip régulier et discret me prouvais que mon cœur battais toujours, je mis quelque seconde a me souvenir ou j'était.
Puis je me souvint, d'un coup, tout revient. Soudain, la confirmation que mon cœur battais toujours se muât en un cruel rappel a l'ordre.

J'aurai du profiter de ses quelques secondes d'oubli

- Maman ! Carla !

Je fondis en larme...
Une partis de moi était morte cette nuit et une autre regretta toujours d'avoir survécu..

Fin du flash back

(25/01/20 00h54)
((1046 mots))

Fait un sourire et prend soin de toi 🖤