Worldwide Girls! | -:-:-Miyo Yukiyama-:-:-

Chapitre 5 -:-:- Premier jour

Chapitre en relation avec "Les chose sérieuses commence" :
-:-:- https://www.wattpad.com/761806645-worldwide-girls-les-choses-s%C3%A9rieuses-commencent -:-:-

-:-:--:-:-

Légende des langues utilisées :
Ecriture normal : Japonais
Ecriture italique : Coréen

-:-:--:-:-

"Atatatatata zukkyun ! Watatatatata dokkyun ! Zykkun ! Dokkyun ! Zukkyun ! Dokkyun ! Yada ! Yada ! Yada ! Yada ! NEVER ! NERVER ! NERVER !"
Suite a ce son sortie de l'obscurité, il y eu de mouvement. Masaki s'était précipité sur son téléphone pour couper son réveil.
-Punaise, marmonnais-je encore mal réveillée. Quand tu avais dit que ton réveil était fort je ne pensais à ça.
-Hehe, désolée.
Je laissais échapper un son, que les autres prendrais surement pour un grognement, en me redressant sur mon lit avant de prendre la direction de la salle de bain sans oublie de saisir mes vêtements au passage. J'eu le temps de voir Rania sortir elle aussi de son lit et de se rattraper pour éviter une chute.

Entre l'eau et les autres bruits produit par ma brosse, j'arrivais à entendre mes trois cadettes discuter de la non-présence des TWICE-san et du réveil plus que désagréable de Masaki. J'avais été rapide, mon pyjama rangé dans mes affaires pour ne pas laisser de désordre, je rejoignis les jeunes dans la cuisine en finissant de réajuster mon jogging rose, que j'avais accompagner d'un sweat croc-top blanc à bande noir.
-C'est gentil de leurs part de nous avoir laissé le déjeuner, commentais-je en voyant la table.
-Il y a un mot, dit Maria en attrapant un petit papier appuyé sur le saladier qui ornait le meuble. C'est écrit en hiragana, ajouta-t-elle avant de nous dévoilé le contenu du message. "Chères traines, nous vous souhaitons bon courage pour votre premier jour, les épreuves seront rudes et durs mais il ne faut surtout pas abandonner, si vous avez besoin de quoi que ce soit vous pouvez nous demander, nous ferons de notre mieux pour vous aider. PS : un van viendra vous chercher à cinq heure moins le quart, ce sera votre van.".
Comme par reflex, Ranai leva la tête en direction de l'horloge murale. Elle indiquait 4h15. Elle soupira et pris un croissant.
-J'aurai du mal à m'habituer à la vitesse ça c'est sûr.
-Allez vous préparer déjà, dis-je. Vous pourrez manger en cours de route.
Par cette simple phrase, je voulais fixer un objectif pour mes jeunes camarades : optimiser au maximum notre temps pour dormir et nous reposer le plus possible. Ayant l'air d'avoir pleinement réalisé ma présence, les filles me dévisageaient de haut en bas, confuses. Sans oublié de passer les yeux qui leurs servaient de scanner sur mes chaussures agrippé par ma mains droite et mon sac à mes pieds.
-Quoi ? repris-je un peu gênée par la situation.
-Comment ça se fait que tu sois déjà préparé ?
J'haussais les épaule en regardant Maria qui venais de me questionner avec un soupçon de surprise. L'appel du ventre se faisant sentir, je pris un gâteau à la confiture que je mordis sans attendre avant de répondre aux trois, toujours interloquée.
-Vous devriez vous dépêcher, parlais-je la bouche pleine. J'ai déjà préparé vos sacs.
Elles me regardèrent sans lâché leurs expressions d'étonnement. Elles avaient tellement été concentré sur le mot de nos aînées qu'elles n'avait pas remarqué que j'avais profiter de ce temps pour mettre le nécessaire pour la journée dans leurs sacs.
-Quoi ?! J'essaye de me  montrer utile et gagner du temps ! M'exclamais-je devant leur manque de réactivité probablement dû à la courte nuit que nous avions eux.
-Ah euh... Merci, fini par me dire Masaki.
Une fois partie dans notre chambre provisoire, j'échappais un soupire. Assise sur l'une des chaises entourant le table, je jetais un rapide coup d'oeil à mon portable, 4h19. plus que 26 minute avant l'arrivé du van. Tout en poursuivant mon petite déjeuné, mon regard alla se perdre vers la ville plongée dans le noir où seule quelques tâches de lumière jaune-orangé laissé deviner une possible présence de vie très matinale. Je me levais en direction du frigo pour récupérer une bouteille d'eau afin de la glisser dans mon sac. Masaki réapparu dans la pièce lorsque je m'apprêtais à fermé la porte du meuble froid. L'envie de la taquiner me pris lorsque je vis l'état dans lequel elle était : quelques mèches de ses cheveux étaient en bataille.
-Tu t'es battue avec le lisseur ?
-Non, disons que j'ai eu du mal à trouver quoi mettre.
A en juger par sa tenue, elle avait fini par se décider sur un pull rouge un peu grand pour elle et un pantalon noir. une fois assise, la mi-japonaise mi-coréen, de ce que j'avais retenu d'autre sur elle, entrepris non sans peine de mettre ses chaussures.
-Maria et Rania ont bientôt finis. Elles mettent leurs chaussures dans la chambre.
-Je vois.
Il y eu un petit vide entre nous. Mon regard était une nouvelle fois partir dans le vague du silence de la ville.
-Ça va ?
Je me retournais vers la plus jeune. Masaki avait pris place en face de moi avec un air inquiet. Je soupirais pour la énième fois avant de prendre un vers d'eau.
-Ça va ne t'inquiète pas, je réfléchissais seulement.
-A quoi ?
-Rien d'important, murmurais-je.
Même si je ne voulais pas me l'avouer, mes pensées étaient pleine t'interrogation sur notre avenir proche, à toute les quatre. Entre l'organisation de nos entrainement, l'attitude des nos professeurs, l'intégration avec les autres trainees et membres des groupes. En somme, notre vie dans cet univers encore bien trop sombre à mes yeux. Pourtant, je ne voulais pas montrer mes inquiétudes. Je me sentais responsable de ses trois jeunes filles qui allaient vivre tout ça avec moi.
Une main se posa sur mon épaule droite. Je levais les yeux vers la propriétaire de celle-ci et mes yeux furent accueillit par un petit sourire de Masaki.
-Ca va bien se passer tu verra, un peu dur au début mais on y arrivera.
-Hm...