Harry Potter : Georges X Oc

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"Oh, mince - désolé. "

Ce n'est qu'à ce moment-là, après ce qui ne semblait pas du tout et pour toujours en même temps, que je sentis ses lèvres quitter les miennes. Je me suis retourné, essoufflée , pour ne voir que Neville Londubat, ses chaussures jetées autour de son cou, s'excusant et rougissant abondamment alors qu'il remplaçait la pile de livres qu'il avait apparemment rencontré. Je le fixai, me sentant un peu brumeuse, alors qu'il montait rapidement les escaliers vers ses dortoirs, marmonnant toujours «désolé, désolé, désolé».

J'étais alors consciente du fait que les bras de George étaient enroulés autour de moi, son visage à environ deux pouces du mien. Une de ses mains était sur ma taille, l'autre dans mes cheveux - et la mienne reposait sur sa poitrine. La pièce était silencieuse. La seule chose que je pouvais entendre était le son de ma propre respiration. Je levai les yeux vers lui, croisant son regard, lui demandant - est- ce vraiment arrivé ou est-ce que je l'ai imaginé?

«Tu n'as aucune idée de combien de temps j'ai voulu faire ça» murmura-t-il.

J'ai secoué ma tête. C'était réel alors. George m'avait embrassé. Et je l'avais embrassé en retour - avec beaucoup d'enthousiasme. Je ne pouvais pas m'en empêcher - je souris.

"Tu es un tel cliché", répondis-je.

Il ri. Je me suis tenu sur la pointe des pieds, enroulant mes bras autour de son cou, et j'ai fait quelque chose de fou - je l'ai encore embrassé. Je ne pouvais pas croire ce qui se passait, ce que je faisais - mais c'était si bon. Je n'ai jamais voulu que ça s'arrête.

"Addy" chuchota-t-il contre mes lèvres.

"Quoi ?"

Je m'éloignai à contrecœur de lui, fronçant les sourcils. Il prit mes mains dans les siennes, les caressant doucement.

"Ce que je voulais dire, c'est que ... je t'aime."

"Je pense que tu as rendu ça très évident", répondis-je en haussant les sourcils.

« Je veux dire - je voulais le dire comme il le faut ... »

Je souris, secouant lentement la tête.

"Moi aussi. Je t'aime aussi, George Weasley."

Merlin, ça faisait du bien. Il sourit.

"Méchante" chuchota-t-il, avant de m'attirer dans un autre baiser .

Nous nous sommes assis à nouveau sur les canapés et avons parlé, ri et embrassé. Cela ne faisait que quelques minutes, mais je savais déjà que je ne pourrais jamais m'en lasser. Cela ne ressemblait à rien de ce que j'avais ressenti auparavant - c'était explosif, c'était magnifique. C'était bien.

"Peut-être qu'on devrait aller se coucher" dis-je après un moment.

"Pourquoi ?"

"Parce que nous devons nous lever pour le Quidditch demain."

"Je ne veux pas me lever pour le Quidditch. Je veux continuer à t'embrasser."

Je ris, lui volant un rapide baiser.

"George, tu as toute la vie pour m'embrasser maintenant."

"Je peux ?"

Je l'ai frappé sur la poitrine alors qu'il souriait largement.

"Tu peux si tu ne fais pas ce stupide sourire", ai-je souri.

"Tu aimes mon stupide sourire."

"C'est vrai."