Harry Potter : Georges X Oc

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Le jour de la Saint-Valentin, George et moi avons décidé d'aller au salon de thé de Madame Puddifoot, juste pour rire. Nous avons passé tout le temps à nous appeler par les pires surnoms possibles - '' mon sachet de thé préféré frais, adorable et savoureux '' était l'un d'eux - et avons discrètement blagué les autres couples là-bas en leur donnant une mauvaise haleine ou en leur faisant renverser leur thé sur leur L'autre moitié. C'était hilarant - nous avons fini par être expulsés de l'endroit par le propriétaire, mais je m'en fichais vraiment.

La veille de la deuxième tâche, je marchais avec Fred et George dans leur chambre secrète, où ils stockaient leurs produits et passaient du temps à les travailler. Ils voulaient préparer leurs affaires pour le système de paris qu'ils avaient installé pour le tournoi. Le château était étonnamment calme cette nuit-là probablement parce que tout le monde voulait dormir une bonne nuit pour se reposer le lendemain.

"Je suis nerveuse pour Harry" dis-je. "J'espère qu'il a compris ce truc d'oeuf entier."

"Espérons qu'il l'a fait. Sinon, je ne pense pas -"

George a cessé de parler au milieu de sa phrase et je savais pourquoi. Nous venions de tourner un coin pour nous retrouver face à quelqu'un que je ne m'attendais pas à voir - Nik.

"Nik! Salut!" M'exclamai-je maladroitement.

"Bonsoir, Addy."

Je me sentais incroyablement mal à l'aise. Après tout, je ne lui avais pas parlé depuis qu'il m'avait invité au bal. Je ne l'avais pas beaucoup vu près du château depuis lors. Je me demandais s'il était en colère contre moi, ou s'il était parti. Je sentis George me serrer la main.

"Comment ça va ?" Demandai-je, essayant de sourire aussi gentiment que possible.

"Bien" acquiesça-t-il. "Et toi ?"

"Je vais bien, merci."

J'ai vu que ses yeux voyageaient de mon visage vers ma main droite - celle qui tenait George. Je me racle la gorge.

"C'est George, au fait. Et Fred" dis-je maladroitement.

"Bien sûr. Ravi de vous rencontrer."

"De même", dit l'unisson.

Un silence gênant s'ensuivit. J'ai entendu Fred rire à côté de moi et j'ai résisté à l'envie de le pousser fort dans les côtes.

"Es-tu enthousiasmé par la tâche de demain?" J'ai demandé.

"Oui. Ça devrait être divertissant."

"Oui bien sûr."

Encore un silence.

"Eh bien, je te vois", a déclaré Nik après un moment.

"Ouais. Très bien."

Il hocha la tête, puis reprit sa marche. Dès qu'il a tourné le coin, j'ai soupiré bruyamment.

"C'était gênant", rit Fred.

"Je ne l'aime vraiment pas", a déclaré George.

"Pourquoi? Il était gentil avec toi. Plus gentil que je ne l'aurais pensé" soupirai-je.

"Je ne l'aime pas, c'est tout. Quelque chose sur son visage."

"Nez bizarre" acquiesça Fred.

"Et il t'a embrassé. Il n'avait pas le droit d'embrasser ma petite amie."

"Je n'étais pas ta petite amie à l'époque", répondis-je, amusée.

"Ne t'en fais pas" il haussa les épaules.