Mon Père nous à Abandonner

Les Grandes Vaccances : Partie 3

Accompagné de son oncle , Mansour se rend à sa maison qu'il n'a pas revue depuis une décennie  . Oncle s'est perdu ou bien. Dis-je Mansour, non pas dit tout neuve . Mais pourquoi cette question ?
    -Ah je me sens perdu là .
    - C'est cas même tout à fait normal car il y'a beaucoup de changement dans le quartier et tous.
   - Ça alors vraiment j'ai l'ère d'un étranger .
Mais bon peu importe tous ces changements l'importance en est que je vais enfin revoir tous mes amis et la famille aussi.
   -Comme tu l'as dit neuve , c'est ça le plus important. En fin nous sommes de retour neuve
  - Waw ! Cet air m'avait beaucoup manqué , cet environnement. Que je me sens chez moi. Dans les rues j'aperçois des gens à qui leur visage m'est familier, mais leur noms n'échappe gravement. Oh! quelle honte, j'essaie de camoufler en leur saluant en premier , mais d'autres ont échappé à mon sort.
- Je n'en peu plus Oncle , cela me met mal alaise. Fait quelque chose . Pleas!
- D'accord j'y veillerai.
- Super, c'est en ce moment qu'il me représenta certains geans méconnue, à cause de la durée et la vieillesse.
- J'avoue que j'étais un parfait , un si bon dupeur . Je saluais les geans comme si je leur connaissais réellement.C'étais à la fois amusant et honteux.Même si certaines rues m'était méconnues , la mienne était gravée à jamais dans ma mémoire. N'est-ce pas c'est de l'autre côté notre demeure oncle ?
- Oui en effet. Mais comment tu l'as su ?
- Oncle ces images, l'architecture, les peintures tous ça étaient les seules souvenirs les plus profonds de j'avais. Donc impossible que je l'es oublie.
Près  de chez nous , il adressa des salutations aux aînés du quartier, et à tout ceux qu'il voyait ( les adultes y compris les enfants) . Il était respectable et respecté par tout le quartier. Disons que c'est un jeune  travailleur, ambitieux dont son intérêt est celui de notre localité, notre quartier. Il disait <Asaloumou hanlay koum> ( Que la paie soit avec toi); < Wa hanlay khoum salam > lui répond l'autre.
La phase la plus difficile est arrivée. Je suis devant chez moi , j'entends des cris et je sentais  la joie d'être entouré de ces proches , les rires , les taquineries. J'étais fou de joie .Nous sommes entrés dans la maison sans même être remarqué à cause du débat qui porté sur ( la charismatique des femmes) du coup chacun argumenter pour défendre son cause .Soudain ma cousine se retourna,  à ça plus grande surprise et cria , c'est Mansour ou bien je trouve.
Tout le monde se tournèrent vers l'entrée. Non tu ne te trompes pas ,  c'est évidemment lui ,lui dit mon oncle.Eh venez voir  , venez vite voir c'est Mansour.
   - Mansour !
    - Oui c'est Mansour notre cher frère.
     - Abdou ! Abdou! ton frère est là. Oui il est ici.
-Mon frère, mon frère cria Abdou en courant.Il fonça vers lui et le sera fort. J'arrive pas le croire Frérot mais tu as grandi Petit Frère.
  -Ah  bon toi aussi tu l'es.Tu ne change jamais Abdou , tu aimes toujours taquiner les  gens.
  - Banh Oui c'est mon point fort.
Après avoir fait ces salutations à la famille et autour des voisins  , il demanda sa Grand-mère qui il n'a pas encore vu depuis son arrivée. Ta grand-mère est parti rendre visite une amie à Pikine Talibou Makk.Ah ok je vois .
    - Mais pourquoi tu ne nous a pas dit que tu venais Mansour lui dit sa Tante ?
  - Il sourit et lui dit : je l'es fait exprès car je voulais vous faire une surprise.
  _ Tu as réussi mon petit. Mais bon comment tu vas ? Tu as bonne mine . On t'a bien enlevé je vois ?
- Bien sûr comme vous l'avez constaté. Ils ont bien pris soin de moi. Dans mes études et tous. Mais ils auraient dû faire pareil pour ton petit frère Abdou . Ah non Tata dit pas ça devant lui . Mais peu importe c'est mon frère et quoi qui puisse arriver il le seras à jamais.D'accord petit frère, oui en effet. Mais bon arrêtez tous ces questionnement, vous ne voyez pas qu'il est fatigué. Laissons le reposer, et après nous aurons tout le temps lui demander.
- Bien dit petit frère, ton intelligence ne cesse de me surprendre .
- Banh merci , laisse moi ta valise . Je le mettrai dans la chambre de grand-mère. je vais me reposé un peu , parce qu'on a beaucoup de choses à nous dire .
- D'accord , je t'attendrai, j'irai nulle part et je veillerai à ce que personne ne te dérange, pas même grand-mère.
Oui je compte sur toi frangin.  Mansour regagna la chambre de grand-mère où il a passé tout son enfance. Il toucha le lit doux et rempli de souvenirs aussi bon que mouvais. Je se souviens des cauchemars qu'il faisait lorsqu'il était en enfant, quand il avait peur du noir , des cris dans des rêves mystérieuses mais surtout les petits jeux qu'il faisait avec son frère et sa Nounou . Il carassa si fort l'oreillette et se mise à pleurer des larmes de joie. Oh cela ma tellement manqué. J'avoue que grand-mère ne m'a pas dit tout oublié. En effet mes jouets sont toujours là, regarde mes chaussures. On dirait celui d'un nouveau-né. Ah! Je me sens si bien dans cette pièce.Il pense , se souvenir pendant des heures, jusqu'à ce qu'il n'a plus sommeil .Avec son ére curieux, il ouvrit la porte et se met derrière le rideau à chaque fois qu'il entendit une voix qui lui semble être familière. Il continue ceci jusqu'à entendre une voix si douce , un son unique, une voix innocente et fantastique, celui de sa bien-aimée et nostalgique de grand-mère. Brusquement il s'agita de joie , son cœur battait si vite et fort comme s'il avait un arrêt cardiaque. Il ne peut ni bouger ni sortir de le chambre.