The hobbit : Fili

904 26 1
                                    


Je sentis une odeur inconnue, avant de ne sortir un nez de ma cachette, et observer une bande de nain, souffler, reprenant leurs souffle, et buvant de l'eau trouver dans les jarres sur la table.
Beorn déteste pourtant les nains. me dis ma conscience.
-Vous ne vous sentez pas observer ? dit un nain blond au reste de la troupe.
-Notre hôte est peut être entrain de défendre son territoire et sa famille. dit un humain qui les accompagnait.
-Un autre ours géant ? commencèrent à paniquer quelques nains.
-Non, ne craignez rien. Le maître des lieux a peut être un sale caractère, mais il n'en n'ai pas de même pour sa fille. N'ai je pas raison Naimi ? demandât le magicien en observant l'obscurité d'où je les guettait.
-Gandalf. dis je en reconnaissant la voix, et sortant de l'obscurité.
J'étais de la même taille que les nains, qui me regardaient bizarrement.
-Wahou. murmurât un d'entre eux.
-Enchanté, je suis Naimi, fille de Beorn. Acceptez notre hospitalité pour la nuit. souris je à celui que je devinais être leur chef.
-Je suis Thorin. Et voici mes fidèles compagnons. Un ours a essayé de nous attaquer. dit il alors que je ramassais ma chevelure rousse pour l'attaché.
-C'est Beorn. Nous sommes des change peau. Il défend le territoire et la ferme des orques. Ils aiment bien la viande de notre bétail, quand ils passent pars l'a. dis je en les invitant à s'assoir autour de la grande table.
-Gandalf pouvez vous s'il vous plaît ...? demandais je au magicien qui servit un verre à chacun.
-Je ne sais pas ce que vous venez faire ici Thorin, mais mieux vaux t il que personne ne sache que vous êtes ici. Dormez ici, prenez du repos. Je veille sur la maison. dis je en rapportant dans l'obscurité.
Au delà de l'étable, Beorn m'avait construit une petite étagère, où je rangeais mes affaires.
Je mit une cape, pris une dague avant de ne sortir par la petite fenêtre qui était entre ouverte.
J'entendis les nains se coucher dans la paille, avant de ne percevoir que des ronflements.
Je vis le tour du propriétaire, surveillant les animaux et rugissement du change peau à l'horizon.
-Je suis l'a. dit une voix à distance dans mon dos.
Je me retournais et vis un nain blond, les deux mains en l'air signe d'innocence et un sourire charmeur sur le visage.
-Fili, pour vous servir. dit il en baissant la tête.
-Naimi, de même. Je suppose. dis je en rangeant ma petite arme.
-Que faites vous ?
-Je surveille. Les orques sont dans les parages.
-Vous... pardonnez moi mais, comment un petit gabarit comme vous compte tuer une orde d'orques ?
-Comment vous. En me battant. dis je simplement en haussant les épaules.
Il m'avait simplement sourit. Puis, il était venue à coter de moi, et nous avions parler, jusqu'à ce qu'il en soit épuisé.
Il s'endormit simplement sur de la paille, j'allais chercher une couverture et le recouvert avec.
Il était mignon, l'air paisible et serein sur le visage.
Je mis la table pour le lendemain matin, avant d'aller me percher sur une poutre, et dormir.
Beorn rentrât au première lueurs du matin, et en voyant une compagnie de nains dormir, il relevât la tête. J'étais assise contre la pourpre centrale, entrain de coudre.
-Tu les a accueillit ?
-Oui. Ils n'avaient nul part autre ou aller.
Il grognât avant de préparer à manger.
Uns à uns ils se levèrent, mais je ne bougeait pas de mon perchoir.
-J'ai eu un peu froid. dit un brun à Fili.
-Certains on eu de la chance d'avoir une couverture. Le regardant malicieusement un vieux nains.
-Estimez vous heureux de ne pas être morts. dit le magicien.
-Merci de votre hospitalité. dit leur chef à Beorn.
-Ne vous faites pas d'illusions maître nain. Je déteste les nains, mais je déteste par dessus tout les orques.
-Vous êtes le seul ? Comme vous? demandât le Hobbit.
-Non. Dans cette maison nous sommes deux.
Fili et son frère se regardèrent et comprirent.
-Naimi. dit Beorn en prenant une goulée de l'eau.
Tous regardèrent autour d'eux, le cherchant.
-Je suis l'a. dis je au nains qui relevèrent la tête.
Je descendis de mon perchoir pour aller prendre du pain avec de l'eau.
-Alors vous aussi vous êtes une change peaux ?
-Oui maître Hobbit.
La discussion s'arrêtât l'a.
Je partit leurs préparer des réserves, de l'eau, de la viandes sécher.
-Vous ne m'aviez pas dit ça. arrivât une vois derrière moi.
-Mais, parce que vous ne me connaissez que depuis hier soir, Fili. dis je au blond.
-Et pourtant j'ai l'impression...
-De quoi ? demandais je.
-De vous connaître depuis longtemps. C'est étrange. dit il en murmurant la dernière phrase.
Je le fixait, son regard rieur et ses lèvres qui s'étiraient.
-Naimi. Vient. dit la voix de Beorn au loin.
Je baissais la tête et m'excusait.
« Accompagnes les jusqu'à la forêt. Guide les chevaux pour le retour. Sous forme humaine » dit il.
-Mais il n'y a pas assez de chevaux. dit un nain alors que j'aidais Bilbon a monter le siens.
-Je peux très bien... commençais je.
-Venir avec moi. dit Fili en m'agrippant le bras et me hissant jusqu'à devant lui.
Je fût presque projeter dans ses bras, alors qu'il tenait les rennes pour guider le cheval.
-Tu vas quand même me manquer petite. dit il.
-Vous aussi voyageurs. dis je en rigolant.
-Pourrais je vous demandez une dernière faveur? Pouvez vous me montrer l'animal que vous incarnée ?
-Que si vous me promettez de revenir, une fois votre périple achevé.
-Bien évidemment Naimi. dit il en mettant son visage dans mon cou.
Il stoppa la monture à l'arrière du groupe et je me retournais vers lui, l'embrassant avant de descendre.
-Allez voyageur. Voici la forêt de Grand Peur. Ne quittez pas le sentier. dis je en rigolant.
-Merci pour tout, Naimi. dit le magicien.
Tous virent me remercier en face, me faisant par moment des accolades.
Se fut Fili à me dire au revoir en dernier. Il me pris dans ses bras, et murmurât sa promesse.
-Retrouvez votre foyer. dis je alors que les cheveux commençaient à reprendre le trot vers la maison.
Tous ses retournèrent, allant de l'avant dans les bois. Mais le magicien vit quelques chose, et le temps qu'ils ne se retourne j'étais transformé.
Je rugissais, observant le blond qui se faisait bousculer par son frère.
-C'est une vraie lionne. rit même leur oncle.
Décidant qu'il était temps, je regardais une dernière fois le blond, avant de retourner le dos et retourner chez moi en courant, guidant les chevaux jusqu'à leurs enclos.

Imagines Où les histoires vivent. Découvrez maintenant