Narnia: Edmund

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« Lorsque mille ans auront passé, vous vous retrouverez » avait dit le grand lion, après la bataille contre la sorcière blanche.
Je sentais du sang couler de ma plaie au ventre, alors que le fils d'Adam me suppliait de ne pas le laisser. Le roi de narnia était alors venu me « sauver ». Mon corps ce remettrai de cette blessure, mais en milles ans.
J'étais donc rester protégée par cet arbre mille ans. Je dormais au cœur de ce chêne qui me logeait, attendant mon heure.
Je suis que mon temps enfermé dans le bois touchait à son terme, lorsque la corne royal raisonna.
J'entendais des chevaux piétiner la terre, faisaient raisonnés mon lieu de calme .
-C'est celui l'a ! criât une voix.
Je reconnue celle du jeune roi.
Je voulais crier, lui dire que j'étais bien l'a. Que je voulais le voir, le reprendre dans mes bras.
Je le voulais, mais je ne pouvais pas. J'étais comme bloquée. Mon corps ne me répondait plus.
J'attendais, prisonnière plutôt qu'hôte de cet arbre.
Des coups d'épées, mais aucunes lumières. Des injures, mais aucuns son clairs et précis.
Pas d'Edmund, mais le noir que j'avais connu depuis mille ans.
-Nous réussirons demain Ed. dit une voix féminine.
-Je... elle me manque. Tellement. dit le roi proche de moi.
-Je sais. Mais on l'a retrouver. Peter va faire venir les meilleurs bûcherons.
-Mais ils la tueront. Il faut... je ne sais même pas ce qu'il faut faire.
-Edmund...
-Tu parles d'un roi, je suis incapable de défendre la femme que j'aime d'un arbre, alors mon peuple?
-Reposes toi. Nous serons l'a demain.
J'entendis les pas s'éloigner, avant de ne réussir à poser la main sur l'écorce.
-Je t'aime. Je te promet de trouver une solution pour t'aider à sortir de cet arbre. Il y'a sauvé, je ne lui veux pas de mal. dit la voix du roi avant qu'une lumière perce dans le tronc.
Un morceau d'écorce tombât, me laissant voir le ciel orangé de fin de journée.
Un autre pour que je puisse voir le haut des arbres.
Et petit à petit tout tombât, me laissant observer tranquillement le monde extérieur.
-Je suis tellement désolé Candice. Si j'avais pas voulu jouer au petit roi, jamais tu ne te serai prise une flèches dans le ventre.
-Mais me revoilà. Réussis je à dire la voix dérailler.
Il relevât la tête, les yeux pleins d'espoir.
-Tu es l'a...
-Oui. dis je en essayant de me défaire des écorces.
Il en cassât d'autre, avant de m'aider à en sortir.
-Merci. dis je au roi qui ne faisait que me regarder de haut en bas.
-Tu es l'a, c'est bien toi. dit il comme un enfant.
-Oui, comme avant. dis je en l'embrassant.
Je ne comptais plus les secondes.
-Ta blessure, ça va ? demandât il après un long baiser.
Il découvrit le col de ma robe abîmée, pour passer ses doigts sur la cicatrice de la flèche.
-J'ai vécu une vie et deux ans dans l'attente de ce moment.
-J'ai cru passer mille ans sans toi. dis je en surenchérissant.
-Il va vous falloir d'autres robes princesses, cette robe est trop petite maintenant. dit une voix au loin.
Je me retournais pour voir le reste de la fraterie nous observer.
-Vous êtes l'a! dis je en courant vers mes amis.
-Nous sommes l'a. dit Susan.
-De nouveau.sourit Lucy.

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