Harry potter : Olivier

968 49 0
                                    




Il ne faut pas croire que c'est parce que nous vivons dans un monde de sorciers, que notre vies est forcément meilleur. Hormis les problèmes de seigneur des ténèbres et criminels en fuite, d'esprits qui nous aspire notre âme et créatures plus dangereuses les unes que les autres, en ne citant que des serpents de 20m de long, des oiseaux qui se prennent pour le roi du monde et t'attaque si tu t'inclines pas, et des sirènes qui veulent prendre le thé chez elles avec toi sauf que tu respire plus.
Bref. Hormis ces choses minimes dans le monde sorcier, les élèves de Poudlard ont les mêmes problèmes que des adolescents moldus, à savoir, les relations, les autres, la vie, la scolarité, là gestions de la nourriture en chambre, le shopping, et surtout dans mon cas actuel, les coups de soleil sur les fesses.
-Je ne t'écouterai plus quand tu me dira, « viens à la plage avec nous Didi, ça va être cool. »
-Mais c'est rien. essayais de minimiser mes camarades de chambres.
-Tu rigoles ? Je peux même plus m'assoir. dis je en observant mon arrière train et le bas de mon dos dans le miroir. Je ressemble à Gryffondors sans déconné.
-Mais on y est pour rien c'est le soleil.
-Mais vous auriez pu me dire « didi on va pas te mettre de la crème solaire sur les fesses, nos crush ils vont s'imaginer qu'on kiffe les filles »
-Exacte ! dit Angie.
-Mais ça veux absolument rien dire de mettre de la crème, à part que vous sauvez votre pote de ça. dis je.
-Aller, va demander à l'infirmière une pommade et ça passera. dit Mylène en allant à la douche.
-Une pommade une pommade. Je vais redevoir aussi blanche que le cul d'un elfe de maison et adieu le bronzage. soufflais je en reprenant le chemin de l'infirmerie.
-Vous ne devriez pas vous baladez dans les couloirs seule. M'accueillit l'infirmière.
Elle me sourit et m'amenât a coter d'un lit. Elle tira les rideaux pour que personne ne voient et attendit en serrant les bras sur la poitrine.
-Vous savez que aujourd'hui, comme il faisait beau et chaud on a eu le droit d'aller ce baigner au lac noir. dis je en la regardant.
-Montrer moi votre coup de soleil mademoiselle, je vois déjà votre nez un peau rouge et les épaules.
Je me tournais et soulevais ma robe de plage.
-Ah. dit elle simplement avant de partir.
Après quelques minutes d'attente, je la vis revenir avec un papier.
-Allez voir le professeur Rogue et mettez en avant de dormir. Demain ça ira mieux.
-Merci. dis je en prenant le papier.
Je partit à travers les couloirs jusqu'au cachots.
-Non Dubois, je ne peux pas rectifier votre note.
-Mais monsieur... entendis je avant de frapper à la porte entre ouverte du bureau de la chauve souris de ce château.
-Oui ? dit la voix du maître des potions agacé.
-Excusez moi de vous dérangez professeur, l'infirmière m'a dit de venir vous demander une pommade, elle n'en n'avait plus.
-Oui. dit il en prenant le bout de papier dans ma main, avant de me laisser seule avec le capitaine de quidditch dans un silence gênant.
Le dernier souvenir que j'avais de lui, c'était la galoche qu'il m'avait donné à la fin d'une soirée beaucoup trop arrosée, il y a deux semaines. J'ai beaucoup trop de choses à gérer entre mon cœur et mon cul aujourd'hui.
-Tenez mademoiselle, cela devrais suffire. L'infirmière m'a spécifié la zone à recouvrir. Si je puis me permettre, dit il moqueur. Faites vous aidez. Maintenant vous et Dubois dehors. dit il en reprenant un ton sévère.
Je pris la pommade sans rechigner, le remerciais et sortis à toutes vitesse.
-Ça va te servir à quoi ?
-Ça ... dis je en regardant la crème jaune presque visqueux. Ça c'est contre la connerie de mes potes. dis je.
-Ta vie à l'air passionnante. dit il en marchant a coter de moi.
-Pas tant que ça. Dis je.
-Mais je t'écoute, on rentre a la salle commune, soyons partenaire de trajet. dit il en passant son bras sur mes épaules et me souriant.
Je me retenue de lui dite qu'on avait déjà été partenaire mais il semblait avoir oublié, alors je lui souris simplement avant de lui expliquer.
-Mes potes ont refuser de me mettre de la crème solaire sur les fesses parce que les gars qui étaient à coter les  intéressaient et elle avait un peu honte. Sauf qu'elle ne me l'ont pas dit.
-Et ?
-Et j'ai le cul brûler.
-D'où l'expression moldus non ? Se moquât il en tournant le visage vers le miens.
Je lui souris simplement.
-Je sais pas ce qu'on dit sur moi.
-Quoi mais je ne  voulais pas insinuer quoi que... dit il presque affolé.
-Je rigole Olivier. Je sais. dis je en me moquant. En attendant, j'espère qu'elle vont bien vouloir m'aider cette fois. dis je en franchissant le portrait de la grosse dame.
-T'inquiète pas ptit coeur. dit il en enlevant son bras. Si elle refusent, tu m'appelles. dit il en me smackant simplement. Et on reparlera de cette soirée l'a. dit il en chuchotant avant de tournée les talons et même laisser planter à l'entrée de la salle commune presque pleine de lions.

Imagines Où les histoires vivent. Découvrez maintenant