Prologue

104 7 3
                                    

Il y a bien longtemps au temps de la ma- quelques grésillement et une voix plus aigu mais assez cassé pour paraître grave intervint. Heu... Mais qu'est-ce que c'est que cette intro ? On est plus au Moyen-Âge ! Mais qu'est ce que c'est que ce script ! Mes dieux rien ne va... Bon laissez moi faire cela ira plus vite. Il y a quelque temps, genre vraiment pas longtemps. Au temps des voitures et des téléphones, le destin d'une équipe de volley repose sur les épaules d'un jeune garçon. Son nom ? Jean-Antoine.

On se retrouve devant un lycée fait de vieille pierre et portant le nom de Camelot. Alors oui, c'est un peu étrange comme nom pour une école toute simple, mais que voulez-vous que je fasse ? Bref, devant la porte de ce lycée au nom plus qu'excentrique se trouve un jeune homme aux cheveux noirs et aux yeux bleus, des pommettes assez hautes, une peau blanche et un sourire idiot sur la figure. En même temps, cela peut se comprendre. Ce jeune homme a fait un sacré chemin pour venir jusqu'ici depuis son petit village de campagnard. Il doit y rejoindre un amie à sa mère, Gaïus, le médecin de ce lycée.
Alors qu'il allait faire un pas et rentrer dans cette école, il sentit un peu de vent et resserra son foulard rouge autour de son cou. Ce qui étrangement allait bien avec son gilet marron et son tee-shirt bleu. Je ne vous l'avez pas dit ? Le jeune garçon porte sur lui des vêtements qui pourrait paraître étrange sur quelqu'un d'autre mais qui lui allait étrangement bien, comme si il portait cela depuis des siècles.
Il entre dans cette école et commence alors à chercher l'infirmerie. Par chance, il croisa un pion qui réussit à lui indiquer le chemin. Le porteur du foulard rouge y va et lorsqu'il se retrouve devant la porte blanche de l'infirmerie, il toque. Une voix enroué lui répondit d'entrer alors il ouvrit la porte. Il tomba sur un homme âgé, qui devait avoir la soixantaine à tout casser, portant des cheveux blanc ou grisâtre, ainsi que des rides au coin des yeux et de la bouche. Quand Gaïus le vit, il sourit et lui dit simplement :
" Tu es enfin là Merlin, ta mère se faisait un sang d'encre, je crois que tu devrais la prévenir que tu es vivants." le jeune homme sourit et hocha la tête.
" Vous avez raison Gaïus, si on veut survivre tout les deux, il va falloir que je l'appelle." ledit Merlin, sortit sin portable de sa poche et appela sa mère.

Après cinq petites minutes de discussions téléphonique, Merlin mit fin à l'appel.
" Du coup Gaïus, comment allons-nous nous organiser ?" le vieille homme lui lança un regard alors qu'il préparait une substance verte qui ressemblait étrangement à une crème hydratante ou a du poison pour tuer les rats.
" Je vis dans cette école. Comme je suis aussi un peu le concierge et le CPE, j'ai le droit à un petit appartement dans cette école. Tu pourras y vivre avec moi. Je tiens à te préciser qu'il faudra être discret, ne pas t'attirer d'ennuis. Tu m'aideras quand même un peu avec l'infirmerie pendant tes études.
- Pas de soucis Gaïus ! L'appartement est là-bas ? Je vais aller y jeter un coup d'œil pour déposer mes affaire." Gaïus hocha la tête et alors que Merlin se dirigeait vers la chambre, le vieil homme l'arrêta et lui dit :
" Après tu viendras prendre ceci et le donner au femmes de ménages. Elles vont en avoir besoin.
- Mais qu'est ce que c'est ?" demanda Merlin en désignant cette immonde crème verte maintenant en train de sécher rapidement sous forme de petit boule.
" Et bien ce sont des billes de poison anti-rats."

Après cette perdu plusieurs fois dans les couloirs, Merlin réussit a donner ce poison au femmes de ménages. Il se redirigea alors vers  l'infirmerie. Arrivée devant celle-ci il ne toqua pas. beaucoup trop fatigué par cette journée pour le faire. Fatigué par ce long trajet qui l'avait mené jusqu'ici et par tout ses allers et retours faits dans les couloirs de l'école pour trouver les personnes à qui donner ces boules puantes. Gaïus le remarqua et le fît alors manger rapidement pour que Merlin puisse aller vite se coucher.
Alors que Merlin était dans son lit, il sourit. Car il se disait que la journée du lendemain allait être fabuleuse, qu'il allait faire de nouvelles rencontres et même si il avait bien compris qu'il allait devoir beaucoup travailler, il n'avait pas peur. Il se souvint alors de la remarque de Gaïus sur le fait qu'il fallait se faire discret. Il n'était pas inquiet là-dessus non plus, il avait toujours était quelqu'un de très calme et discret.

Bien sûr que non son nom c'est pas Jean-Antoine ! Bon je reprends... le destin d'une équipe de- grésillement et changement de voix, celle-ci devient plus grave, plus mystérieuse. Le destin d'un grand royaume repose sur les épaules d'un jeune garçon. Son nom ? Merlin.

Je crains que l'histoire se répète.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant