𝕊𝕚𝕔𝕙𝕖𝕟𝕘 𝟙

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𝕄𝕒 𝕖𝕚𝕟𝕖

•il devait être bientôt minuit quand l'homme nommé Sicheng soupira

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•il devait être bientôt minuit quand l'homme nommé Sicheng soupira. Il déposa sa main contre le mur, puis se rapprocha de la vitre.
Là où il pouvait habilement déposer son regard sur la court, les jardins, les quelque employés de maisons, mais surtout sur elle, sa future femme. Yan. Elle qui se laissait bercer par la fébrile balançoire fixée à un arbre dans le jardin.
Il contemplait sa robe sali par la boue, ses chaussures abîmés, ses cheveux ébouriffés mais toujours splendides, ses yeux noir pétillant, ses mains légèrement salis. Mais, surtout se somptueux et honnête sourire qui ornait ses lèvres.
Aux yeux des autres, elle avais l'air négligée, mais aux yeux du chinois elle semblait si parfaite, si épanouie. Et ses tout se qui comptait pour Sicheng, il aimait la voir heureuse même si cela nécessite qu'elle ruine de centaine de milliards de robe et chaussures or de prix.
Il était fou amoureux d'elle, et espère que cela soit réciproque.
De son côté elle laissait ses pieds l'aider à se balancer délicatement d'avant en arrière sur la balançoire. Elle aimait sentir le vent caresser sa peau, elle profitais que sa mère soit occupée avec sa belle-famille pour s'amuser seule même si la nuit était déjà tombée sur la Chine.
Quelque employés de sa famille passaient devant-elle, se ruant vers la petite cabane du jardin ne remarquant même pas la jeune femme. Ils étaient vraiment intéressant à regarder, quoique qu'ils fassent ils ont toujours l'air en retard même si ils sont en avance.
Cette simple penser lui arracha une léger rire.
Elle vint maladroitement accrocher les corde de la balançoire de ses mains négligée et écorchée. Qu'importait son âge, elle n'arrivait à se passer de cette sensation de flotter et de sentir le vent faire virevolter quelque mèche de ses cheveux.
Ses yeux papillonnaient, ils passaient un peu partout dans le jardin puis finirent par se poser par Sicheng. Le Brun la fixais depuis la fenêtre de sa chambre. Interloquée, elle plantais le bout de ses talons arrêtant la balançoire.
Dans ses pensées elle se disait "ses moi qu'il fixe comme sa?"
Un voile d'indifférence était plaqué sur le visage de son future mari. Il ne tarda pas à détourné le regard puis partir du champ de vision de sa future femme. Surprise, elle resta un instant sans bouger mais un courant d'air frais faisant virevolter ces cheveux la faisais sortir de sa rêverie.
Elle était véritablement amoureuse de lui.•

~deux ans plus tard~

•il était bientôt 1 heures 50 du matin. Sicheng fut pris d'une insomnie, il avait eu beau tenter de s'endormir dans les bras de sa bien-aimée, détailler son visages en espérant trouver le sommeil, rien n'avait fonctionner.
Alors il était sortis du lit, avait ouvert les deux grandes fenêtres de la chambre et s'était poser sur le balcon. Il avait pris soin de ne pas faire de bruit et de refermé derrière lui, mais ce vide dans le lit du couple avait réveillée son épouse Yan.
Cette dernière fut perturbée, tapotant la place où devait être habituellement son Roi, mari Sicheng, mais comme elle si attendais la place était vide. Alors, soupirante elle déposa son regard vers le balcon étant sur de le trouver ici, et, effectivement il y était.
Elle voyait son dos nu, ses bras déposer sur le murets l'empêchant de faire un saut dans le vide et ses cheveux brun voler au gré du vent, le rendant tellement mystérieux et magnifique. Yan soupira en passant une mains dans ses cheveux.
Elle ne tardait pas à se lever, dévoilant sa longue et couvrante robe de nuit ainsi que ses cheveux noir long et ondulée. Ses pieds la guida jusqu'à son mari. Elle ouvrait délicatement les deux grandes fenêtres puis les referma, sortant de la chambre toujours sans un bruit.
La fraîcheur de l'air la fit frissonner puis soupire d'aise. Sicheng lui fit toujours dos, alors Yan se permetta d'avancer vers son Roi puis passa ses bras autour de sa taille, posa ses lèvres sur le dos nu du Chinois.•

Yan: vous n'arrivez pas à dormir mon Roi ?

•dit elle d'une voix somnolente faisant sourire Sicheng.•

Sicheng: non, le sommeil semble me guetter de loin malheureusement... et vous ma reine ?
Yan: votre présence met indispensable pour ne serait-ce que fermer un seul œil.

lui susurrât-elle en souriant, en frôlant la peau de son mari à l'aide de ses lèvres.
Sicheng sentait son cœur s'accélérer à l'entente de ses simples mots, ils étaient doux, majeur depuis seulement deux années, s'était mariée il y a un an, et même pas sept mois plus tôt ils avaient appris qu'ils s'aimant l'un l'autre.
Ils ne pouvaient être plus comblés.•

Yan: Mon Roi... venez vous coucher, je ne puis dormir sans vous...je vous en pris.

le Roi sourit à nouveau. Il déposa ses mains sur celle de sa Reine, les détacha puis se tourna juste après vers elle. Ses doigts ne tardaient pas à saisir le menton de sa femme. Le Brun posa délicatement ses lèvres sur celle de la noiraude avant de l'abandonner pour rentrer dans leurs suite.
Yan ne perdit pas son temps et suivit l'élu de son cœur, heureuse de pouvoir se rendormir à nouveaux dans ses bras.•

Yan: je vous aime mon Roi.
Sicheng: de même, je vous aime ma Reine.

Sicheng: de même, je vous aime ma Reine

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𝕴𝖒𝖆𝖌𝖎𝖓𝖊 𝖂𝖆𝖞𝖁Où les histoires vivent. Découvrez maintenant