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je le regarde avec ses yeux ronds, mais crache le morceau mon gars.

T'ES QUI

- je suis Tailor Rosemunt,le manager ET meilleur amis de Castiel.  avec un clin dœil

Je soufflais, je pensais parler au fils caché de Trump mais voilà que ce n'est rien d'autre que le manager de ce gosse de riche.

- serais tu déçus ? il semble perturbé.

- je ne suis pas l'une de ces plus grandes fans si tu veux tout savoir.  dis-je ennuyé.

- Vu ce qui ce trame sur ton ordinateur, ça ne te dérangerai pas d'être aussi réussi que lui pourtant.

et c'est la que le débat de ma vie prit place.

( prenez le aussi dramatiquement que vous le pouvez )

- HAH non ! parle moi de John Rodger, Marcus Elliot ou encore de Tom Lincoln. Eux ce sont des modèles. des personnes qui n'ont pas eu de famille aisé pour les soutenir pour leur ouvrir des portes qu'ils ont eux même fracassé grâce à leur travail et à leur acharnement pour la réussite.

il se tourna donc pour me faire face une expression dure sur le visage.

- Il a lui aussi beaucoup souffert pour être la ou il est aujourd'hui.

- sans doute,j'estime simplement que ce n'est pas comparable.

un chocolat chaud sortis de nul part vient atterrir sur notre table, il remercie vaguement la serveuse qui manque de lui sauter dessus.

OW MY GOD MAIS ?

il bois à l'aide d'une paille sa boisson tel un enfant, ce qui m'arrache un rire qu'il ne tarde pas à suivre.

- je pense savoir quel genre de femme tu es. tu es très ambitieuse, j'aime beaucoup cette qualité. dit-il plus sérieusement.

- Je n'ai aucune autre ambition que de rentre ma vie meilleure.

il semble songeur, puis me dis tout d'un coup.

-j'aimerai énormément vous aider.

Je déglutis. je regarde fermement ses yeux afin d'y déceler toute trace d'hypocrisie.

Cet homme est un manager reconnu mondialement, il a beaucoup de notoriété et pourrai me donner très rapidement de la crédibilité ce qui devrai être un très bon départ pour moi.

mais..

-on échange de quoi ? dis-je subitement.

- Un service 

- pervers ?

- Non. il sourit à la vue de ma brutalité et hoche la tête pour confirmer sa négation.

- illégal  ?

- Non plus.

si c'est deux points sont ok je pense que je n'ai pas tellement à m'inquiéter.

- alors j'aimerai énormément recevoir votre aide également. dis-je avec sourire narquois.

...

il était bientôt 16heures et j'avais passé tout le début de mon après midi à discuter avec Tailor.

c'était un garçon extrêmement drôle et attachant, j'avais l'impression d'être un ange tombé du ciel.

il m'avait clairement avoué que les gens sintéressaient que très peu à lui et que cela fesait une éternité qu'il n'a pas eu une discutions aussi crue avec une personne inconnue.

en gros, c'était un bisounours.

- Alors très chère on est d'accord sur tout les points, on se rejoint ce mardi à 17h chez moi.

Je fronce les sourcils.

- Oh, il rit, je n'ai que très peu de client mon emploie du temps est réservé à 70% à carter. du coup je préfère recevoir mes autres clients chez moi, c'est plus simple.

c'est mignon je trouve.

- très bien. je t'appellerai.

*

le mall est immense, et le magasin que Lucie avait choisis été littéralement immense. et avait l'air d'être très luxueux.

- Les filles ce bal d'automne est la clef, il y aura des élèves du Dortblass qui apparament le fêtent tout les ans avec nous. dis Lucie en sautillant sur place.

-Mais comment tu sais tout ça ?brailles Catalie.

elle se contente de nous lancer un clin d'œil et de filles entre les robes.

4 heures.

c'est le temps qu'il nous a fallut pour trouver nos robes.

on a adopter plusieurs techniques,
la technique de se diviser et revenir aux cabines 30minutes plus tard pour les essayages : une horreur,comme la grosse merde que j'étais, je prenais 20ans pour trouver une robe à mon goût.

alors elles ont finit par reconncer et opter pour la technique numéro deux.

on devait se choisir mutuellement deux robes chaqu'une.
et la aussi c'était un fiasco.

- TU ME TROUVE GROSSE À CE POINT JE NE FAIS DU L CATALIE. je crie avec une voix faussement aiguë.

-t'as vu cette robe avec ce décolleté plongeant, TU AS OUBLIÉ QUE JAI DES FRAISES À LA PLACE DE SEINS.

- encore heureux, je pensais que c'était des graines de tournesol. pouffais- je.

et c'est ainsi mes amis que débutat la guerre froide.

on se rapportait des robes de plus en plus moche, avec tout sauf nos tailles.

- MA CHÉRIE  ÇA CEST TA COULEUR JAUNE PIPI EXCELLENT

- voyons très chère ne sous estime ce rose flashi flashi un régale.

...

et j'en passe.

par contre je me suis tapé les barres de ma vie.

après on a pris la technique la plus simple et la plus efficace.

demander aux vendeuse, qui nous avaient montrer qu'il y'avait enfaite un deuxième étage et nous avions rapidement trouvé notre bonheur.

voilà les robes qu'on a finit par acheter.




sur la route vers un restaurant. Lucie fronce les sourcils en lisant un message sur son téléphone.

- Lucie tout vas bien ? je lui demande inquiète

COLDOù les histoires vivent. Découvrez maintenant