Chronique d'Inaya: Orpheline militaire

Partie 45

Salam Aleykoum,

Partie Précédente:

Moi: hm... ça te dirait qu'en rentrant je te prenne un nouveau téléphone, celui-là commence à ce faire vieux puis en même t'en tu changeras de puce

Imane: sah ?

Moi: oui, je vais peut-être changer le miens aussi pour un iPhone 11

Imane: woua, tu rigole pas toi

Moi: c'est pas juste pour changer de téléphone j'ai vue qu'il prenait de super belle photo et vidéo et quand ta des enfants pouvoir prendre des photos souvenirs avec eux c'est mieux avec une bonne qualité

Imane: je comprend, mais c'est aussi pour changer de téléphone

Moi: ...mouais un peu aussi

Imane: * rire * je le savais

Fin

Les autres sont rentrer donc avec Imane, qui porte Aïna, on est partie au salon.

Aymen: vous avez fais quoi * se retourne * ...aujourd'hui ? Imane, t'es ici, on c'est grave inquiété, Imad il te cherche partout. Pourquoi t'es partis comme ça ?

Moi: calme toi déjà et respire

Imrân: * entre * alors t'étais ici ?

Imane: Imrân ?

Sophia: * prend Aïna * tu viens Ilyan on vas jouer dans la chambre ?

Ilyan: d'accord

Elle les prend et pars, je lui fais un petit sourire qu'elle me rend avant de rejoindre la chambre.

Moi: asseyons-nous avant de parler

Imrân souffle puis il vas s'assoir avec les gars et Imane on se met en face d'eux.

Aymen: pourquoi t'es partis comme ça ?

Imane: je voulais voir Inaya c'est tous * regarde ailleurs *

Imrân: tss

Aïdan: sinon ça vas ?

Imane: oui t'inquiète * petit sourire *

Aymen: c'est tous ce qui compte

Imrân: quoi, elle pars comme ça et on lui dit rien ?

Aïdan: fais pas comme si tu savais pas pourquoi elle était partie

Imrân: ta gueule

Aymen: hé parle pas comme ça !

Imrân: donc moi je dit un gros mot et on me cris dessus et elle elle fugue et nada ?

Aïdan: la vérité Imrân commence pas

Imrân: commencer quoi hein ?

Aymen: ne recommencer pas, vous avez failli vous battre devant Jeddi et vous voulez reprendre ?

Moi: pardon ?

Aymen: laisse Ina-

Moi: * me lève * c'est une blague j'espère ?

Aïdan a baisser la tête et Imrân a regarder ailleurs.

Moi: mais vous êtes malade ?

Imrân: c'est-