Salem Aylikoum.
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Maïmouna- Hé Nour !
Je me retourne vers elles.
Amira- Qu'est-ce que t'as depuis le samedi du début des vacances tu nous évites pas ??
On était le mardi de la deuxième semaine des vacances.
Maïmouna- C'est vrai ça, même ce jour là tu m'as évité.
- Qu'est-ce que j'ai ?
Maïmouna- Bah oui.
- J'ai une question, t'as bien profité de l'argent ? Non pardon vous avez bien profité de l'argent ?
Amira- Hein ?? Mais de quel argent tu nous parles ? Tu délires ou quoi ?
- Moi je délire ? C'est sûr que de se servir d'une personne vulnérable, sans amis c'était plus facile !
Maïmouna- On te comprend pas la ?
- Vous me comprenez pas ? Vous voulez peut être que je vous rafraîchit la mémoire ?
Amira- Bah là oui.
- Se servir de moi pour être la cible d'un jeu, d'un pari pour qu'après mesdames touche de l'argent, ça vous rapelles rien ? Bizarrement moi cette histoire je m'en rapelle, Billel me l'a dit.
Elles répondent pas et se regardent.
- Vous pouvez vous regarder toute la journée maintenant, mais se sera sans moi j'ai pas votre temps alors merci mais vos amitiés d'hypocrite j'en veux pas.
Je ferme ma porte et rabat correctement mon sac sur mon épaule.
J'essaye de passer en les contournant mais Maïmouna me retient.
Je regarde sa main sur mon bras puis elle.
- Lâche mon bras.
Maïmouna- Ecoure Nou-
- Je t'ai dit de lâcher mon bras.
Amira- On voulait pas te faire ça, on pensait pas que tu étais une vraie amie, on est vraiment deso-
- Maïmouna je t'ai dit de lâcher mon bras.
Elle lâche mon bras et pars.
De l'allée je leur dit puisque sa résonne.
- Vos excuses ne répareront rien à ces mois d'hypocrisie.
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- *rire* Sofiane la !
Sofiane- Mais vas-y c'est pas ma faute si t'es claqué et que tu sais pas marcher.
- Hé c'est bon j'ai pas vu la marche c'est pas ma faute.
Sofiane- Mais y'avait pas de marche Nour !
