Chapitre 18. Tenner ✔️

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En plus de devoir me coltiner une infirmière qui prend plaisir à faire des injections comme si elle faisait ses ongles, j'ai une certaine aversion pour les aiguilles. Je me demande si je dois faire confiance à cette femme ? Sa aurait dû être Mackenzie. Après ce qui s'est passé, rien de plus déroutant qu'un amour à sens unique. Du moins c'est ce qu'elle pense. Mes mots ont eux un tel pouvoirs, si fort, j'ai inconsciemment gravé dans son coeur, dans son âme, une insécurité. Ce que je ressens est fort, mon choix à été vite fait et largement justifiée. Je pense à son bonheur. Ma priorité n'es pas de la blessé, mais les circonstances vont clairement la différence. J'ai pris cette décision sans penser que cela serait immensément pénible. La douleur que je ressens est réelle, j'ai la sensation d'avoir le cœur transpercé. Si c'est ça l'amour, Je ne suis pas sûr d'apprécier.


Mackenzie peut avoir n'importe quel mecs à ses pieds. Pourquoi moi ? Sa n'a pas de sens pour quelqu'un qui propage la terreur partout où il va. Le comble est que ses sentiments sont partagés. Aïe aïe aïe ! Je suis comme un parasite qui possède une substance dangereuse, particulièrement toxique pour les humains, je pique là où sa fais mal. J'ai des ennemis à tout les coins de rues, si ils découvrent mon talon d'achille, en l'occurrence, Mackenzie, mes adversaires la considérons comme la première cible à abattre. Je ne prendrai pas le risque. Je l'aime plus que tout, je m'en voudrais à mort si on lui faisait du mal. Je vais devoir caché mes sentiments. le plus essentiel est le bien-être de Mackenzie, le reste n'a pas d'importance. Avec le temps mes sentiments se sont renforcés. Amarré dans mes pensées, je ferme les yeux, quand je l'es ouvrent, je pose mon index à mes lèvres. La sensation que j'avais eu peu avant, je la ressens encore.


À cet instant précis je subi une grande colère envers moi-même. Ce mélange d'amour et de danger n'a rien de positif et me pompe tout mon énergie. Pour me changé les idées je récupère le portable qui est caché sous mon oreiller. Pour me débarrasser de l'infirmière je lui ai volé son cellulaire par nécessité. Elle m'a évidemment soupçonner d'en être l'auteur et s'est empressé de déposer plainte auprès de Mackenzie. Comme son nom l'indique"mon ange" est venu à mon secours et m'a défendu bec et ongles.


Je compose un numéro et amène le petit appareil à mon oreille.


— Allô ?


— Dit moi tout.


— Ryan est actuellement à New York pour affaire. Je l'élimine ?


N'allons pas trop vite en besogne. Je m'occuperais personnellement de son cas. Cet homme a marché sur mes plates bandes, pour mon plus grand plaisir.


— À par le surveiller, ne fait rien d'autre.


Je n'es pas élaboré de plan d'attaque. Ce n'est pas un problème. Je me fie simplement à mon étoile et à l'inspiration du moment. J'ai besoin d'apaiser ma douleur, pour y parvenir, je vais renvoyer à Ryan ce qu'il m'a infligé.


— Très bien.


— Comment vont les affaires ?


— Mal...très mal. Esteban pense que tu lui mets à l'envers, donc j'ai conclu un marché.


C'est moi le mentor qui décide de tout. Pablo c'est clairement quel est son rôle. Prendre une telle décision sans mon accord ajoute du carburant à mon feu, je pourrais pesté avec la premier personne qui me cherche des noises.


— Tu te fous de moi !!


— Jai essayé de vous appeler, mais tombé sans cesse sur votre boîte vocal, en plus, il voulait une réponse dans l'immédiat.


Je n'ai pas trop le choix, maintenant que c'est fait, reste à savoir de quoi il s'agit. J'espère qu'il ai pour une fois fait fonctionner ses neurones.


— Et ?!


— Esteban à ordonné une baisse de 30% sur la marchandise. Sur ce coup j'ai été plus malin et n'es rien accepter.


Enfin ! Il à réfléchis avec sa tête.


— Vous allez être ravie patron. Je lui ai proposé une femme. Chacun est gagnant.


Le commerce d'être humain est une chose qui me dépasse. Mais je ne suis pas seule à faire tourner l'entreprise. Ses générations de femme veux tout suite acheter des Louboutin, un sac chanel, avec des hommes qui exhibe des liasses de billets sous leurs nez. Pas besoin qu'on viennent à eux, elles même viennent à nous.


— T'a été pas mal, je l'admet.


— Esteban été heureux d'apprendre qui elle était.


— Pourquoi ?


— J'ai eu l'excellente idée de l'inspectrice.


Ne me dite pas...


— Tu me parle bien de Mackenzie là ?!!!


Pablo jubile derrière le combiné.  Je regarde dans le vide et me demande pourquoi j'ai à faire à une bande de tocard ! Même si je ne peux pas apporter à Mackenzie mon amour, c'est mon devoir de la protéger. Personne ne l'a fait pour moi. Avec le temps je me suis bâti une carapace, elle remplaçait la protection que je n'ai pas reçu. J'avais eu l'impression que tout ma vie était en péril. Lorsque Mackenzie est apparue, rien me semblait menaçant, j'ai fini par me réfugié dans ses bras.


— Ouais.


Je vais le butée. Toute les femmes qu'ils veulent, pas Mackenzie !!!


— Je t'arrête tout suite, connard ! Si tu touches un seul cheveux de Mackenzie t'es un homme mort !!!


— Mais...


— Il n'y a pas de mais qui tienne ! Cherche s'en une autre. Suis-je clair ?!


— Comment je vais faire maintenant ?


— D'emmerdes toi ! T'es malin, tu trouveras bien une solution.


— Okey.


Je raccroche sans tarder avant de dire des mots que je pourrais regretter. Sa y est ! Pablo à réussi à gâcher ma journée. Je cherche à levé du lit en vain. Mon corps à mal partout. Pourquoi Mackenzie n'es pas là pour me dorloter ? Ce que je dit et fait vont à l'opposé de ce que je pense réellement. Quelqu'un frappe à la porte. Celle-ci s'ouvre sur mon ange qui entre calmement dans la pièce.


— Salut... Je t'ai apporté ça.


Mackenzie tiens entre les mains un plateau repas et le dépose maladroitement sur le lit. Dans un réflexe inconscient je réagi sans réfléchir et attrape sa main.


— Tu m'évite ?


— Non... Qu'est-ce qui te fait croire ça ?


J'ai une sorte de détecteur de mensonge interne. Je sais immédiatement quand Mackenzie me raconte des bobards.


— Je n'aime pas quand tu me fais la tête.


Mackenzie paraît d'un coup confuse. Instinctivement, je rapproche mon visage et four mon nez dans son cou. Mackenzie referme quelque chose que j'aime. Elle m'attire, m'obsède, me trouble. Je lutte en grande partie contre le désir. Mackenzie essai de prendre la fuite, je resserre mon étreinte.


— Je t'ai menti mon ange.


Mon cœur tambourine d'amour. J'en ai marre de me voilé la face. Elle mérite de savoir ce que j'ai sur le cœur. Au diable les conséquences !


— Tu me fait ressentir des choses que je ne pensais jamais connaître. Mon ange, si tu savais réellement les sentiments que j'ai pour toi. Je crois...je suis sûr, que je...je t'apprécie bien.


J'allais lui dire les trois mots que je redoute tant, ça à eux du mal à sortir. Pas besoin de ça, rien que dans mes gestes, Mackenzie le ressentiras. La connexion est instantané. Nous avons les mêmes pensées et ressentent les mêmes émotions au même instant. Mackenzie se rapproche le plus possible de moi, créant une intimité. Je harpe subtilement ses lèvres et l'embrasse passionnément.

Tenner Bennett - Tome 1(Réécriture)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant