Tenner Bennett - Tome 1(Réécriture)

Chapitre 28. Tenner

La nana se trouvant devant moi me regarde durement.

— Connard !

Elle pourrais m'insulter de tout les noms, ses attaques ne m'atteint pas, j'en ai strictement rien à faire, du moment qu'elle reste loin de moi. C'est sur ses belles paroles qu'elle s'en va faisant bien attention de claqué la porte.

— Sale garce.

J'allais faire de même quand un bruit attire mon attention.

— Il y a quelqu'un ?!

J'ai pas rêvé, j'ai entendu un vacarme venant de cette pièce.

Je cherche d'où provient le bruit. Il manquerait plus qu'une personne me vois dans les toilette pour dame, se serait humiliant. Mes yeux se pose instinctivement sur les 2 dernières portes que je n'ai pas encore ouverte. Je m'avance vers l'avant dernière et l'ouvre... Rien. Il ne reste plus que la dernière. Je pose ma main sur le poignet, sa devient presque flippant quand elle s'ouvre d'elle même. Je suis étonnée, mon ange en sort comme par hasard.

— Mackenzie... Tu fou quoi ici ?

Je pensais qu'elle était parti. De l'a revoir ce soir, me fait réaliser qu'avec tout les efforts du monde, jamais j'arriverai à me passer d'elle. Mackenzie es ma moitié, mon second souffle, le moteur de mon cœur, sans elle, ma vie est fade, sans importance. C'est une chance inespéré. Mackenzie est formidable, elle me fascine et m'inspire chaque jour que dieu fait. La raison que je l'aime tant.

Aucun de nous osons dire un mot, de peur qu'elle s'en fuit, je reste sur mes gardes. Mackenzie se rapproche lentement de moi, s'en que je ne puisse rien comprendre, elle m'embrasse. Je suis le premier étonné, une occasion comme celle-ci, je ne vais certainement pas passé à côté. Je réponds à son baisé, il m'on tant manqué. Cette sentation est divine. À travers se baisers je ressens son amour, je suis rassurée, elle m'aime encore. C'est à mon tour de lui montrer la force de mes sentiments, pas besoin de parler, nous communiquons de cette manière que je déclare d'exceptionnel. Mackenzie quitte ma bouche, ce n'es pas pour autant que je l'a lâche, je l'a maintient fermement dans mes bras de peur qu'elle ne m'échappe.

— J'ai tout entendu.

Maintenant elle sait à quel point je l'aime, à vrai dire, je me sens plus léger.

Je souris contre ses lèvres.

— Je t'aime mon ange.

Je sais que l'endroit n'est pas très approprié pour lui déclarer ma flamme, j'avais besoin de lui dire. De voir son visage illuminé par mes mots me comble de bonheur. Je prends un énorme risque, je me fiche pas mal sur le coup, seul l'avenir me diras si c'était une erreur, pour l'instant, je savoure ce que j'ai de plus cher, je compte bien profiter, chaque seconde, chaque jour, chaque moment à les déguster avec ma bien aimée.

— Je t'aime Tenner Bennett.

L'amour peut nous rendre idiot, cela se confirme par mon sourire qui étire mes lèvres. Excepté de l'embrasser, je n'ai rien d'autre à rajouter. Ses pieds décolle du sol, je la plaque contre le mur, j'ai tellement envie de son corps, je suis au garde à vous sans qu'elle n'est rien fait.

— Mon ange reste avec moi ce soir.

Ce n'est pas une question, je l'a veux pour moi, corps et âme, seulement une nuit. J'éspère qu'elle acceptera.

— Je suis venu accompagné Tenner.

Quoi ?! Elle n'est pas seul ? De l'entendre me dire qu'elle à quelqu'un dans sa vie est l'effet du bombe, mon cœur se brise. Mackenzie viens de m'enlever le peu d'espoir que j'avais. Elle ne pouvez pas me le dire plus tôt ! Je l'a pose immédiatement au sol.

— Qu'est-ce qu'il y a ?

Elle se fou vraiment de ma gueule en me posant cette question.

— J'ai compris.

Je dois sortir d'ici.

— Pourquoi tu pars ? J'accepte de passer la nuit avec toi, avant, laisse moi le temps de retrouver ma copine qui m'accompagne, se serait pas sympa si je le faisais pas.

Merde ! Je me suis gourée. Mon sourire d'imbécile réapparaît.

— J'ai... J'ai pensé que tu avais un mec.

Mackenzie passe ses bras autour de mon cou, comme à mon habitude, des milliers de frissons parcours mon corps rien qu'à son touché.

— Comment veux tu que je sois avec un autre, alors qu'il n'y a qu'un seul qui fait battre mon coeur.

J'éspère que c'est de moi qu'elle parle.

— Et je peux savoir qui est cet homme chanceux ?

— Un mec très beau qui ferait fantasmé n'importe qu'elles femmes. De nombreuses personnes vois du mauvais en lui, hors, il à un coeur en or, je suis même tombé amoureuse de lui. Rien ni personne ne pourra m'enlever ce gars de mon cœur. Tenner Bennett, c'est comme ça qu'il s'appelle.

Je m'accapare de ses lèvres, c'est un pur délice. J'ai une folle envie de lui faire l'amour, dans les chiottes ce n'est vraiment pas l'endroit idéal, Mackenzie mérite mieux, ce soir je vais lui prouver que j'en vaut la peine.

— Hum hum...

Merde ! Nous sommes interrompu.

— Je peut pisser ?! Et les toilette des hommes c'est de l'autre côté.

Qu'elle aille au diable ! Nous partons dans un fou rire exagéré.

Depuis tout petit je n'ai jamais vraiment connue le bonheur, grâce à Mackenzie je connais dès à présent sa signification. Je ferai tout pour maintenir notre histoire intacte, qu'il dur, non pas des jours, ni des mois, mais à l'infini.

Nous venons d'arriver à l'hôtel. Sarah et Sonia doivent sûrement dormir. Mackenzie à pu retrouver sa copine pour la prévenir de son départ, j'ai également fait de même avec Bryan qui n'a pas chercher la raison, et c'est tant mieux. De toute façon il n'as pas à le savoir. Ma vie privée ne concerne personne.

— C'est beau ici. Tu n'as pas peur que les flics te trouve un jour ?

Sincèrement non, je fais très attention. Elle croit quoi, que j'ai débarqué ici en tant que Tenner Bennett. Je ne suis pas idiot à ce point.

— Des faux papiers existe de nos jour. Ne jamais utiliser de carte bancaire, toujours en espèces. J'ai plein de petite astuce, si tu es sage, je te dirai quelques une.

— J'aimerais bien.

J'entrelace mes doigts au sien accompagné d'un sourire béat. En son absence j'ai tellement espéré de la revoir un jour, je réalise à peine qu'elle est dans mes bras. Cette séparation était impraticable, j'en ai conclu que notre amour était aux oubliettes. Faut croire que devant l'impossible on peut ni réussir ni échoué, seulement maintenir l'amour assez pur pour n'être défaite de rien.