Chapitre 1

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Pdv de Oumou Kalssoum

Je prends ma voiture et me rends dans mon cabinet. Aujourd'hui j'ai un cas critique je dois défendre quelqu'un qui a violé un mineur . Je vous le dis je fais les licite . Donc j'étais un peu en retard j'arrive et porte ma tenue et ça commence . J'ai même pas écouté ce que l'autre disais.

Lui : On vous écoute Dramé

Je me lève

Moi : Il n'y a rien a dire à part que mon client est le fautif oui il l'a violé .

Toute la salle me regardait sûrement se demandant comment puis-je faire ça.

Juge : Avez-vous des preuves.

Moi : Pleins

Je leur montre toutes les preuves et ils le condamnent.

A 13h je rentre chez moi. Sur la route une voiture a failli renverser la mienne mais alkhamdullilah que ce n'est pas le cas . Il vas m'entendre ce con . Je sors de la voiture et vois qu'il voulait avancer je me met au milieu de la route et il s'arrête, je pars ouvrir la portière et le fait sortir

Lui : COMMENT OSE TU ?

Moi : NON MAIS JE RÊVE tU AS Failli ME TUER.

Lui : Ce n'est pas le cas alors pourquoi en faites-vous un problème?

Moi : drôle hein yaw douma sa morome yakk sa kanam bou WoW ngua khaw maa raye baparé di oubbi sa guémmine bi ngua geunia bross(je ne suis pas ton égal avec ton visage mince là t'as failli me tuer et tu te permets d'ouvrir ta grande gueule là qui avec tes dents qui recommandent d'être brossées )

Lui : héee petite je ne suis pas ton égal. De quel droit te permets tu de me parler comme ça ?

Moi : Pathétique ! Du droit que toi tu t'es permis de faillir me tuer.

Les gens essayaient de nous calmer mais moi j'étais très en colère et je ne réfléchissait même pas.

Lui : Laissez moi lui casser la gueule.

Moi : Si t'es un homme rek vient tu verra avec qui tu as  affaires.

Lui : Laissez moi.

On le calma , moi j'étais là à l'attendre pour qu'il vienne vraiment j'ai envie de me battre ça fait longtemps .

Il finit par ouvrir sa porte pour partir.

Moi : thiim yaw do gorre sakh gorre bou tol ni yaw nguaye nékke fi di khoulo ak ay djiguéne(Tu n'est même pas un homme, un homme comme toi tu reste là a te disputer avec des filles).

Lui : PUTAIN c'est à moi que tu dis ça je te jure sur le Saint Coran que tu vas regretter.

Moi : Tu oses dire de ta bouche le saint Coran ?

Il ne me répond même puis  entre et dégage.

Moi j'arrive à la maison très en colère . Je sonne et c'est ma mère qui ouvre.

Moi : Bonjour maman.

Mais elle me répond pas . Je trace alors mon chemin . J'étais entrain de prendre mon bain lorsque la porte s'ouvre sur ma mère avec une Cravache à la main . Elle me tire par les cheveux et commence son rituel . Je saignais et personne n'était à la maison je ne savais pas pourquoi elle me frappait.

Elle :Imbécile depuis ce matin je t'attends pour que tu me prépares le déjeuner et tu pars faire ta pute .

Moi je ne disais  rien même mes larmes ne sortaient pas . Quand elle s'est fatiguée elle a arrêté et moi je suis partie lui faire le déjeuner. Après je fais la lessive prépare le dîner et pars me  coucher .

A l'encontre de mon avenirOù les histoires vivent. Découvrez maintenant