BEYOND THE SCARS

25- revelation(1)

Pdv Candice

Je grogne avec douleur alors que je suis propulsée brutalement à la moquette dure de sa chambre.

- t'es vraiment têtue comme meuf tu le sais ça?, s'énerve t-il en remuant le téléphone dans sa main.

Je reste figée au sol. Il va m'assassiner ca y est.

- que vais je donc faire de toi...

- si t'as l'intention de me tuer, fais le qu'on en finisse.

- t'écoutes quand je te parles? Je ne peux littéralement pas le faire.

- t'as pas besoin de moi pour que Jaz et Keith t'apportent ce dont tu as besoin. Ils le feront!

Il s'accroupit à mon niveau.

- et bah tu vois...non, ils ne le feront pas de leur plein gré parce que c'est quelque chose qui appartenais à leur père.

Il dit ça tout en me fixant d'une telle rage.

- cesse de me compliquer la vie tu veux bien, s'écrie t-il.

- si tu voulais pas que je te complique la vie, t'aurais pas du tuer mon ami, lui crachais-je les larmes aux yeux.

Jaz avait raison, j'aurais du appeler la police avant elle, mais  j'ai eu trop le traque. Si ces gens ne sont pas déjà tous en taule après tous les meurtres qu'ils  continuent de commettre, ce n'est sûrement pas moi qui vais réussir à changer quoi que ce soit maintenant. Le système est tellement corrompu. Je voulais m'assurer qu'ils contaient venir vite à New York pour que tout ça se termine enfin.

Il se passe une main sur le visage en soupirant, exaspéré.

- Au lieu de te faire retourner au sous sol, je te laisse une chambre à toi seule, dans cette maison. T'aurais mes servantes à tes quelconques besoins et personne ne te fera de mal. Peux tu te décoincer au moins pour quelques temps en attendant l'arrivée de tes idiots d'amies et accepter cette offre, sans ne plus rien tenter du tout?

Je continue de le fixer pour voir s'il est sérieux.

- j'ai été bien plus que gentil avec toi, je t'assure que tu ne veux non seulement pas sentir la partie de moi ou je ne suis pas sarcastique et encore moins celle où je torture sans merci. C'était ta dernière chance.

Ma respiration se rends plus attelante et je ne sais pas quoi répondre. Il se lève et sors de la chambre en indiquant à Carla de m'accompagner à la mienne.

Je me relève et la suis. Lorsque nous passons la porte je découvre un gigantesque couloir aux murs blancs, décorés des plus grands portrait au monde. Tout a l'air sophistiqué et je reste encore épaté. Nous rentrons dans l'une des immense chambre, qui se trouve être la mienne.

Tout est incroyablement parfait.

Alors que je sculpte la pièce Carla me fixe.

- je serai à vos besoins 24/7.

- écoutez pas besoin de...

- j'insiste, me coupe t-Elle. Mademoiselle, si vous me permettez j'aimerais vous donner un conseil.

J'hoche la tête.

- le patron à raison. Il peut être désagréable quand il veut vraiment...et le meurtre de votre ami n'est rien comparé à ce qu'il peut faire quand il est réellement en colère. Vous êtes la première avec qui il a été aussi indulgent. Prenez le à votre avantage.