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5. Trahison

C H A P I T R E
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Jeongguk prit appuie contre le mur de la chambre d'hôtel, tandis qu'il regarda, sourire au coin des lèvres, Yoongi s'habiller de son gilet par balle, de ses gangs, puis il attrapa son arme et la réajusta, un son s'en dégagea, ce qui voulait signifié qu'elle était chargée à plein. Il posa son regard sur son fusil de précision, un tireur d'élite n'était rien sans cette arme d'une précision aberrante. Il posa son regard droit par la suite, prêt du viseur télescopique lui permettant de viser sa cible de loin. Jeongguk mordit sa lèvre inférieure, le trouvant attirant ainsi, il devait se l'avouer, si il n'était pas aussi petit il l'aurait probablement mis dans son lit hier, se dit-t-il, avant qu'il ne pouffe de rire amusé par ses propres pensées. Son partenaire plaça son fusil derrière son dos, prêt à partir, jeongguk soupira tout en le suivant après avoir refermer la chambre d'hôtel. Leurs pas résonnèrent dans les couloirs poisseux et vide du bâtiment, avant qu'ils n'arrivent jusqu'au parking. Ils prirent la route, afin de se diriger à l'endroit où jeongguk savait où se trouvait Jungho, le kidnappeur d'hoseok.

Il arrivèrent dans un périmètre de plusieurs mètres auprès du bâtiment. Les yeux talentueux du tireur d'élite scruta chaque toit qu'offraient les bâtiments au alentour. Le noiraud le regarda faire, presque admiratif, quand soudain, il vit l'emplacement idéal.

— Ce type est aussi dangereux que Taehyung, je ne veux pas te mettre la pression.

— Je ne suis jamais autant à l'aise, qu'allonger au sol avec un fusil de précision, une balle en pleine tète ne sera pas difficile à exécuter. Toi, plutôt fais gaffe, tu seras sur le terrain contrairement à moi. Tu es sur de pouvoir t'occuper des autres membres du gang ?

En guise de réponse, jeongguk sortit de sa poche son arme qu'il enclencha, sourire aux lèvres.

— Tu verras par toi-même.

Yoongi roula des yeux, puis sortit de son véhicule afin de se diriger à quelques rues plus loin. Il lui fallait 18 minutes pour s'installer, alors dès que leur heure indiquée arriva au compteur c'est impatient avec le sang remplit d'adrénaline qu'il sortit à son tour du véhicule et s'aventura dans le bâtiment abandonné. Hoseok se trouvait forcément dans un autre bâtiment non loin, alors les partenaires de crimes s'étaient mis d'accord qu'ils devaient laisser un de ses hommes vivant, afin qu'il lui indique où il se trouvait. Les pas du noiraud résonnèrent tant le bâtiment était vide. Ce silence était bien trop parfait, se dit-il déjà amusé par les prochains événements. Soudain, lorsqu'il tourna par la droite il vit un homme lui faisant dos et alors qu'il s'approcha de lui, il se fit encerclé de part et d'autre par deux autres hommes braquant leurs armes sur lui.

— Essayez de me tuer, si vous l'osez.

Sa remarque fit rire l'homme lui faisant dos, ce dernier se retourna vers eux, et alors le sourire du noiraud s'agrandit. Il faisait enfin face à Jungho, son ancien boss, et désormais son ennemis.

— J'arrive bien trop tard. Je suis persuadé que la brigade te tuera avant même que tu puisses me redonner mon argent volé.

Son sourire s'agrandit davantage, avant qu'il ne l'avoue l'air faussement désolé:

— Tu ne pourras pas emporter ton argent avec toi dans ta tombe.

— C'est ce qu'on verra enfoi-

Une balle traversa le batiment, et écrasa completement le front de l'homme afin de se loger dans son cerveau. Au même moment, les deux hommes se mirent à tirer sur jeongguk, hors, ce dernier se baissa, laissant les tueurs s'entretuer en se criblant de balle quand enfin, il se releva et sortit deux armes dont il appuya sur les détentes pour logea deux balles dans chacun de leurs cranes. À ce geste, jeongguk soupira lorsqu'il entendu les beuglements de son partenaire dans son oreillette :