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8. Alliances

C H A P I T R E
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Le son procuré par le passage des pneus de voiture, sur une route béni par la pluie, donnait au sein du véhicule une atmosphère ironiquement calme dans la situation dans laquelle se trouvaient les deux jeunes hommes. Au volant, se trouvait le fondateur de l'organisation Dazai, sur le siège à ses cotés, son compagnon, qui ennuyé par leur relation platonique avait osé tromper Kim Namjoon. Le fournisseur d'arme s'en ait aperçu, et est donc apparu en plein milieu de leur débat au sein d'une chambre d'hôtel. Hotel dans lequel ils sont sortit, par derrière, avec en main le corps sans vie de l'homme ayant partagé plusieurs nuit avec Seokjin. Ce dernier ne fut guère étonné de constater que cet homme était mort, après que le business man se soit acharné sur lui. Bien qu'il se pensait hors de danger, Namjoon attendu qu'il pénètre dans leur véhicule pour le rouer de coup. C'est ainsi que Seokjin s'était retrouvé à sucer sa lèvre inférieure en sang, alors que sa chevelure blonde se trouvait ébouriffée.

Puis, il jura entre ses dents lorsque celui au volant s'arrêta en bord de route, en pleine campagne où la foret dense les entourait. Ne vous méprenez-pas, il n'avait pas besoin de se débarrasser du corps ainsi, cela serait plus dangereux qu'autre chose, non, Namjoon lui, avait de parfaite connexion, le genre de connexion qui pourrait couvrir tout ses problèmes, même..de ce type.

Il sortit un briquet et une cigarette de sa poche, et dès lors qu'il le fit, le blond à ses cotés gloussa de terreur. Il s'enfonça davantage dans son siège, puis il se mit à le supplier en lui hurlant :

— Fais pas ça putain, Namjoon, arrête! Arrête!

Ne s'en suivit que de simple cris du douleur, dès lors que le blond sentit le bout de la cigarette s'écraser contre sa peau. Sale bâtard de psychopathe, fut les premières mot qui venu à Seokjin qui tenta d'étouffer ses pleurs. Une grimace de dégoût se dessina sur son faciès, lorsque le conducteur vint lui lécher sa plaie.

— Je t'ai pourtant avertit de ne pas l'ouvrir, tu sais très bien que tes cris m'excitent, lui susurra-t-il à oreille, tandis que sa main baladeuse arrêta sa course entre les jambes du blond.

Seokjin roula des yeux, alors qu'il s'enfonça davantage dans son siège tandis que le conducteur lui sourit tout en redémarrant le véhicule. Vers une destination improbable, le palais de la gouvernance, là où résidait le gouverneur lui-même. Qu'est-ce-qu'un trafiquant d'arme ferait ici, la question ne se posait pas lorsque le trafiquant en question avait fondé une alliance avec le gouverneur lui-même. Il se gara devant le palais, de plusieurs centaine de mètres carrés, de trois étage, avec à l'entrée des escaliers des pierres authentique sur lequel marchaient les nombreux gardes du corps devant. Seokjin se sentait étouffé en peu plus, mal à l'aise, son regard se posa à ses pieds tandis que Namjoon sortit de son véhicule alors que trois gardes vinrent à lui. Il ouvrit son coffre, et en aucun cas les salariés n'avaient été surpris par son contenu. Tous comprirent, et demanda à un d'amener le nécéssaire.

Puis, L'assistant du gouverneur se mit à descendre les marches d'entrée, surpris par sa tardive venue au soir. Il s'avança alors et le trafiquant lui offrit le plus faux et misérable sourire qu'il ait pu voir.!Seokjin soupira, s'impatientant, puis il vit son compagnon se cambrer respectueusement devant le membre de la gouvernance.

— Je vous verrai à l'aube, vous et le gouverneur, lui dit-il après s'être excuser de cette visite des plus déplacée.

On aurait pu croire que Namjoon était le plus à l'affût du danger, hors, il n'en avait pas à s'en soucier. Ainsi, était la raison pour laquelle il refusait que jeongguk soit sous son toit un jour de plus, sa relation avec le gouvernement était secrete, hors elle ne le serait plus bien très longtemps désormais que la piste de la maison de prostitution semblait prêt à leur fournir d'intéressante information. Dans les alentours de minuit, hoseok fut soulagé d'entendre enfin l'arrivé de Taehyung et de son partenaire dans la chambre du prostitué à travers son écran enregistrant toutes les fréquences de sons. Il réveilla alors aussitôt ses deux autres partenaires, avachi contre le canapé. Ceux-ci se levèrent, à moitié endormit, en s'avançant vers hoseok, ce dernier augmenta le son du micro, ce qui laissa entendre les gloussements du jeune homme s'empalant sur le membre de son pire ennemis. Jeongguk manqua de dégorger le peu qu'il avait sur l'estomac, à l'entente de la fellation, puis il laissa une remarque de plus s'échapper d'entre ses lèvres.

— Si seulement il pouvait lui mordre sa queue, il réfléchirait deux fois avant de profiter de ce putain de système, tsk.

Sa mâchoire se crispa de colère, alors qu'il passa ses mains dans sa chevelure, agacé. Tandis que Yoongi le frappa à l'épaule, tout en le taquinant, il lui partagea le fond de sa pensée :

— On sait tous que t'hésiterai pas à t'agenouiller devant lui.

S'en amusant, le fiancé de son défunt meilleur ami se mit à rire timidement, l'agaçant d'autant plus, que sa remarque était offensante.

— Yoongi, ta gueule tu veux ? Ça a l'air d'un psychopathe.. même au lit, je veux pas finir zigouiller ou attaché en mode bondage, c'est pas mon délire.

— Chut, il a enfin finit.

— Et en plus il n'est pas performant.., constata-t-il dans un soupir tout en croisant ses bras contre son torse.

Hoseok roula des yeux à la remarque du plus jeune. Agacé, le noiraud enfonça sa langue contre le fond de sa joue droite, comme il avait l'habitude de faire tout en passant ses doigts tatoués dans sa chevelure au fil du temps que leur conversation avançait, le sang de ce dernier montait en température.

— Du nouveau concernant le patron ?, demanda son ennemi à son partenaire.

— Le gouverneur veut te rencontrer pour te féliciter d'avoir tué le gang d'immigrant.

Dans l'appartement-hôtel, on pouvait entendre la frustration du noiraud lorsque le tueur de la brigade s'était attribué tout le mérite devant son partenaire.

— C'est une blague, c'est nous qui nous sommes tapés tout le boulot!

Ses deux coéquipiers demeurèrent silencieux, immergés par leurs deux cibles.

— je me demande quelle sera ta récompense petit enfoiré.

— De l'argent ?

— Ou tes putains à volonté ? 

Jeongguk mordu ses lèvres alors qu'il croisa ses bras contre son torse tout en soupirant il prit sa chevelure entre ses mains tatouées.

— Je commence à regretter de ne pas avoir réussit à convaincre le prostitué de lui briser ses couilles de ma part.

— L'endroit ?

— À la frontière. À l'aube, 6 heures pile, ne sois pas en retard tu rateras le plus gros du spectacle.

Hoseok, suivit du petit ami du défunt Jimin sursautèrent de surprise dès lors que le noiraud fessa son poignet contre le table, faisant trembler l'ordinateur, avant qu'il ne fasse quelque pas dans la pièce tentant de se reprendre de ses émotions, et de sa colère compulsive. Ses poings étaient si serrés, qu'on croirait que ses veines pourrait transpercé sa fine peau blanche tatouée. Il mordu ses ongles, nerveusement

— Alors maintenant on n'a pas le droit de s'approcher de la frontière, mais ses enfoirés il le peuvent ? Me dites pas de me calmer, parce que vous savez très bien tout comme moi qu'il y vont pas pour pique-niquer.   

Jeongguk n'était pas au bord de ses surprises, notamment, il n'était pas encore conscient de l'impacte qu'aurait cette rencontre à la frontière sur le groupe entier. Les alliances du gouvernement seraient dévoilés au jour, et ils en sauront les premiers spectateurs, au péril de leur vie.