Tu N'es Pas Seule

Chapitre I

Hey, j'espère que vous allez bien, moi, oui. Comme dit dans le résumé, j'ai décidée écrire cette fiction après avoir revue la vidéo de Mélissa ou elle a dénoncer être une victime des violences conjugales, ce que je ne comprends pas. Comment un peut faire du mal à la femme qu'on aime ??? Bref... Je mettrais peut-être des étapes que Mélissa à vécue dans la vrai vie.
Bonne lecture.

PVD Externe:

10 juillet 2005:

- BON SANG, ÇA FAIT MAL, cria Kara en serrant la main de sa meilleure amie.
- Eh, eh, ça va aller, Kara. Ça va aller, tu verras, lui murmura-elle en lui essuyant le front, en sueur.
Kara Danvers est une jeune adolescente de 16 ans. Sa vie est assez banale, des parents gentils, une grande sœur adorable, de bons amis, un copain du nom de Mike. Mais récemment, celui-ci a appris que Kara était tombée enceinte et voulait garder le bébé. Mike avait directement refusé et l'avait quitté en prétextant qu'elle l'avait trompé. Bien sûr, c'était faux. Et cela lui avait brisée le cœur. Mais elle avait malgré tout décider de garder le bébé. Elle n'avait pas le droit de prendre la vie de cet enfant. Il mérite de vivre. Elle ne savais pas encore si elle allait l'élever, mais elle allait au moins mettre son enfant au monde. Ce qui n'allait plus tarder. Kara à perdue les eaux moins d'une demi-heure auparavant et les contractions se rapprochaient de plus en plus, ce qui était extrêmement douloureux pour l'adolescente.
- Kara, ça va aller, on est presque à l'hôpital, la rassura Éliza, qui conduisait.
La voiture s'arrêta, les adolescentes sortirent et alla à l'intérieur ou une infirmière installa l'adolescente enceinte sur un fauteuil roulant. Les trois femmes se retrouvèrent vite en salle d'accouchement, à attendre que que le col de la jeune blonde, qui était à 7cm, se dilate jusqu'à 10cm, ou elle commencera à pousser.
- N'oublie pas, Kara, dit la future grand-mère à sa fille, une main sur son épaule. Dès que tu auras des contractions, il faudra que tu pousses. De toute tes forces.
- Mlle, si vous voulez, quelqu'un peut rester avec vous pendant l'accouchement.
La blonde tourna la tête vers sa meilleure amie.
- Est-ce que Lena peut rester ?
Son amie la regarda, surprise.
- Euh, tu es sûre ?
- Oui. A 100%.
- Alors, oui, si tu le veux vraiment.
La future maman souria à sa meilleure amie. Elles se connaissaient depuis l'enfance, elles avaient été dans les mêmes écoles, les mêmes classes et elles étaient très vite devenues amies. A la mort de la mère, de la brune, Éliza avait accueillie la petite fille chez elle, le temps que ses grands-parents s'installent en ville, pour que la petite brune ne perde pas de vue son amie, qu'elle aimait comme une sœur Elles étaient plus que des amies. Elles étaient comme des sœurs.

Plus tard:

La sage-femme, qui mesurait le col de Kara, releva la tête.
- Ça y est, vous êtes à 10cm.
- Oh, ma chérie, dit Éliza. Je sais que tu pourras le faire. Je t'aime, ma fille.
- Je sais, maman.
Elle regarda tendrement sa fille une dernière fois et sortit, sachant que la prochaine fois qu'elle l'a verrait, celle-ci serait maman, et elle mamie.
- Bien. Votre mère vous l'a déjà dit, mais dès que vous avez une quelconque contractions, vous poussez de toute vos forces. Ok ?
- Ok, dit la jeune femme, peu rassurée.
- Tout va bien se passer.
La blonde sourit à la brune. Soudain, elle sentit son ventre durcir. Elle sentait l'envie de pousser grandir en même temps que sa contraction
- Oh bon sang, ça fait si mal...
Kara se redressa, le visage déformé par la douleur. Une douleur qu'elle ne pouvait pas comparée avec toute celles de sa vie. Elle cria et poussa, la douleur ne faisant qu'augmenter. La blonde serrait de toute ses forces la main de sa meilleure amie, qui grimaça légèrement de douleur.
- C'est bien, Mlle, c'est très bien, le bébé est entrain de sortir.
- Allez, tu peux le faire, Kara. Tu es fortes. Allez, pousse.
L'adolescente poussa plus fort, augmentant la douleur. C'était insupportable. Kara bascula la tête légèrement vers l'arrière, haletant.
- Respirez, Mlle. La tête est sortie, vous y êtes presque. Encore une poussée et ce sera fini.
- J'en peut plus... Ça fait si mal...
- Ne dis pas ça, je sais que tu peux me faire. Je te connais. Je sais que tu es fortes. Alors, pousse.
La blonde rassembla ses forces, se redressa et poussa de toute ses forces, dans les larmes de douleurs. Celle-ci dissipée, la blonde s'affala sur le lit, épuisée par tout ces efforts, alors que les pleurs du nouveau né retentirent.
- C'est un garçon, dit la sage-femme en posant le petit corps sur la poitrine de la nouvelle maman.
Celle-ci observa son enfant, le sourire au lèvres.
- Oh mon dieu.
Les larmes de joie coulaient le long des joues de la blonde.
Elle fut emmenée dans une chambre où sa mère l'attendais
- Oh qu'il est merveilleux, s'exclama Éliza.
- Mon fils.
- T'as craquée ?
- Il est merveilleux.
- Tu vas le garder, questionna la brune.
- Jamais je ne le laisserais. Il est mon fils. Je veux vraiment l'élever.
- Et nous serons là, lui dit sa mère en posant sa main sur l'épaule de sa fille.
- Comment tu veux l'appeler ?
La blonde observa son fils qui lui souriait, lui rendant son sourire.
- Je crois que Paul lui ira bien. Et j'aimerais que tu sois sa marraine, Lena.
- Qu-quoi ? T-tu es sûre ?
- Absolument. Je sais que tu seras parfaite dans ce rôle. Je te connais.
- Merci, Kara.
- De rien, Lena. Meilleures amies de la vie ?
- Meilleures amies de la vie, dit la brune en caressait la tête de son filleul.
Kara regarda son enfant tout souriant.
- Bienvenue, Paul, dit la nouvelle mère en lui embrassant le front.

2008:

- Maman ?
Kara se retourna dans son lit en sursaut. Elle vit son fils, debout, à l'entrée de sa porte de chambre.
- Tu as un problème, mon chéri ?
- J'ai fait un cauchemar.
- Je vois. Allez, viens.
Le petit garçon monta dans le lit de sa mère et se blottit contre elle. La jeune femme enroula ses bras autour de son fils.
- Je t'ai réveillée, demandait le petit brun à sa mère.
- Non, j'arrivais pas à dormir. Alors, raconte moi ce cauchemar.
- On était dans la clairière et des méchants monstres sont venus. Et après je me suis réveillé. Et dès que je ferme les yeux, les méchants monstres reviennent.
La jeune blonde caressa affectueusement la joue de son fils.
- C'est juste un cauchemar. Ça n'arrivera jamais, je te le promet.
Il se serra contre la blonde.
- Je t'aime, maman.
- Je t'aime aussi, mon chéri.
Au bout de quelques minutes, elle sentit la respiration de son fils s'apaiser. Elle compris alors qu'il s'était endormie. La blonde le serra contre elle et lui embrassa la tête. Cela faisait maintenant un mois que Lena avait déménagée en Irlande, afin d'essayer de trouver du travail. Un mois qu'elle vivait temporairement chez sa sœur, le temps de trouver un appartement temporaire. Depuis la naissance de son fils, Kara faisait tout pour l'élever sans aide. Elle demandait à peine à sa mère ou sa sœur de le garder. Seule Lena, la marraine de Paul l'avait aider, et devoir vivre chez Alex l'ennuyait. Elle voulait pas déranger sa sœur, qui flirtait avec une amie a elle. Sa rupture avec le père de Paul lui avait fait comprendre allait devoir se débrouiller seule. Elle s'était fait la promesse de ne plus jamais être dans une relation amoureuse, au grand désespoir de sa famille qui voulait la voir heureuse avec un homme, pour pouvoir se concentrer uniquement sur son fils. La jeune femme aimait son fils de tout son cœur et jamais elle ne laisserait seul. Elle embrassa le front de son fils et s'endormit paisiblement.

Voilà, premier chapitre sur les 5 publié. A noter que je sais pas si le nombre de chapitres peut changer. J'espère que ce chapitre vous aura plu, c'est une fiction qui me tient vraiment à cœur. Si ça vous intéresse, photo du fils de Kara ( quand il avait 5 ans ) en média. Dernière chose, vous avez sûrement remarquée que le nom de Lena est Kieran, et non, Luthor. Tout simplement parce qu'ici, à la mort de la mère de Lena, ses grands-parents l'ont récupérés et se sont installés à Midvale. Ici, elle n'est pas une Luthor et n'est pas la sœur ou la fille de psychopathes. Et ses grands-parents ne le savent pas non plus.